therasse

Information intéressante relative à un nouveau pas en avant vers la main-mise sur les médias !

Mais pourquoi donc a-t’on desactivé le lien ?? A la demande de qui ?

A la Star Ac, il sortirait en première semaine !

"La plus grande saloperie"...sauf que dans un pays où les médias sont tous concentrés entre les mains de quelques marchands d’armes, Internet reste l’unique moyen à tout un chacun d’exprimer opinion ou ce qu’il sait.

Un journaliste dont le papier serait refusé par son rédacteur en chef ou son patron conserve ainsi le droit de prendre position quitte à devoir se planquer derrière un pseudo.

Ainsi, des gens comme Karl Zéro montrent leur sympathie avec les thèses alternatives sur le 11 septembre en accueillant certaines infos et vidéos de Reopen sur leur site.

Au XVIIIème siècle, les articles de l’Encyclopédie circulaient sous le manteau. Aujourd’hui, il y a la toile et les pseudos.

@USA_613 : Vous avez parfaitement synthétisé la problématique que pose la confrontation d’une culture démocratique et laïque avec l’Islam.

Pour ma part je n’ai rien à ajouter si ce n’est qu’en période de crise ce type de violences pourrait bien se renouveler, je que je ne souhaite évidemment pas.

Mais ce n’est pas en se mettant à plat ventre face aux extrémistes que nos politiciens éviteront la confrontation. Nos concitoyens n’attendent-ils pas plus de fermeté de nos représentants face aux exigences des musulmans.

Je pense notamment à celles qui concernent les programmes scolaires (suppression de tout ce qui contredirait leur religion ou serait de nature à instiller le doute dans les esprits) et la liberté d’expression en général.

Il y a probablement une différence de perception entre la peine privative de liberté entre la France et les Etats-Unis qui tient au puritanisme américain, c’est que là bas la peine est un châtiment, on est "punis" quand on a "fauté". Etre condamné à la peine de mort, c’est aller brûler dans les flammes de l’enfer.

Alors que chez nous, il n’y a pas cette notion du mal, il y a illégalité et dangerosité du délinquant ou du criminel et donc protection de la société par mise à l’écart de l’individu susceptible de récidiver.

C’est ce qui justifie sans doute l’absence de prescription aux USA.

Alors que chez nous, on considérera qu’un individu qui s’est tenu tranquille pendant trente ans ne constitue plus un danger.