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concombres

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  • Premier article le 26/09/2013
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    concombres 27 avril 2015 23:06

    @CauseToujours

    Ok. Merci pour la réponse.

    Alors elle ne prête aucune légitimité au suffrage. C’est bien enfin c’est pas mal mais ça fait pas un allié. Le veganisme est soluble dans tous les systèmes politiques à priori. Si l’homme doit devenir vegan pour des raisons écologiques/économiques, les démocraties de marché s’y accommoderont très bien. D’ailleurs il semblerait qu’il le devra.

    J’ entend bien que la question de l’animal cristallise pas mal de questions politiques de fond sur notre rapport au monde. De là à ce que, depuis cette question puisse s’échafauder une vision du monde, "une vision vegane de la société", ca me semble un peu tiré par les cheveux...

    Ca peut même être dangereux. Quand je vois la foultitude de vegans qui bouffent de la nourriture de chimistes, faux pâtés, saucissons végétales et autres trouvailles des derniers labos américains qui sont très forts, eux, en veganisme, ca me désespère. Ces vegans là se sont emparés de la question animale comme d’une question politique totalisante, et se sont passés de penser la technicisation et la mécanisation du monde, l’aberration que constitue le rapport de la ville à ses conditions d’existence en matière de nourriture etc.

    Je vois pas bien comment on peut se démerder des problèmes quasi métaphysiques de notre monde de dégénérés par la petite lorgnette du traitement des animaux. Leurs cris peuvent bien êtres terriblement insoutenables, ca n’en fait pas pour autant une brèche possible vers l’émancipation globale.

    Tout ca pour dire que le veganisme n’est pas à mon sens un projet politique qui pourrait suffire à subvertir le nihilisme occidental.

    PS : Je connais des vegans qui sont vegans comme moi je ne suis pas cannibale. Il n’en font pas un projet politique, il s’agit pour eux d’une composante éthique, pas des moindres certes, mais une composante.



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    concombres 27 avril 2015 19:14

    L’homme est un animal. Son rapport à l’animal, c’est celui qu’il entretient avec lui-même et ses semblables. Ce rapport au monde. C’est l’ économie. Cochon, poule, homme, femme, arabe, juif, salarié ou retraité, les mêmes procédés sont à l’oeuvre. Domestication, esclavage, affectivité comptable, amour algorithmique etc.
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    Si Mélanie veut mettre fin au monde économique je suis avec elle et ca marquera entre autre la fin du ’désassemblage’ mécanique de l’animal marchandisé.
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    Maintenant si elle veut sauver les animaux parcequ’ils sont mignons ( notons que c’est déjà bien dans un monde économique ) et que, en bonne abolitionniste, les moyens qu’elle se donne sont ceux de la loi, donc de la justice, donc du gouvernement ; je lui dit adieu nous nous retrouverons sur les barricades face à face.



  • 3 votes
    concombres 27 avril 2015 12:24

    @wendigo
     
    C’est là que réside l’esprit du complotiste. Croire que l’enjeu est dans l’information.
    Il y a une sorte de jouissance perverse et compétitive à celui qui relatera avec le plus de justesse le désastre présent.
    Vous sur-enchérissez dans le scepticisme.

    C’est de la diversion narcotique et pacifiante.



  • 1 vote
    concombres 28 mars 2015 15:35

    l’idéologie du sans frontière c’est l’idéologie du riche et du fort

    Les frontières physiques ne dérangent pas les riches, ils les survolent en jet.
    Elles ne dérangent que les pauvres et les nomades.
    L’accès à la mobilité est un facteur de richesse et le riche tient à ses privilèges.
     
    La mobilité du riche a totalement aboli les contraintes territoriales. et la frontière c’est justement l’artifice qui permet de quadriller un territoire, lorsque celui-ci et rendu totalement uniforme et abstrait.



  • 2 votes
    concombres 19 mars 2015 21:31

    @Joe Chip

    "manipulables et incapables de faire la part des choses entre le vrai et le faux, entre un pastiche et la réalité..."

     

    La réalité est un pastiche dans le google-monde réifié.

    Ceci n’est pas une parodie mais un chant. Et ce ne sont pas des militants mais des prophètes.

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