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V_Parlier

V_Parlier

Administrant initialement la chaîne Youtube "Vincent Parlier" qui a subsisté jusqu'au 22 mars 2024 (et sa version protégée contre la censure : https://odysee.com/@v_parlier:1?view=content ) où étaient principalement abordés les sujets de politique internationale et de société, j'ai consacré pendant quelques années mes publications principalement à la géopolitique et à l'arrogance de ce camp hétéroclite s'étant autoproclamé "monde libre", hormis la parenthèse à propos de la répression covidomane ayant particulièrement sévi sur les peuples de cette entité. Ce « monde libre » est d'une arrogance non seulement dangereuse pour le monde entier mais aussi pour nous, de la part de dirigeants qui voudraient régir le reste du monde à coups de menaces sans être capables d'assurer tranquillité et pérennité de l'économie réelle sur leurs propres territoires. L'inversion accusatoire est la norme déjà depuis longtemps. Certains pays ont le droit d'intervenir n'importe où sous de vagues prétextes de renversements humanitaires de régimes, d'autres sont désignés comme le mal absolu s'ils font de même...

Ce "monde libre" est schizophrène, à la fois paranoïaque pour désigner ses ennemis extérieurs et insouciant quand il s'agit d'assurer sa propre indépendance. Il est au pied du mur. Les chantres de la « mondialisation heureuse » feignent de découvrir subitement que nous sommes totalement désindustrialisés et que notre « économie des services » va se retrouver le bec dans l'eau suite à la fermeture de notre gigantesque parc touristique. Et peu importe les aboiements rageurs de nos dirigeants pointant du doigt les causes imaginaires de notre faillite, alors que le prétexte du covid n'a pas suffi. C'est l'heure du retour sur Terre pour les grands rêveurs.
A l'occasion je publierai encore quelques articles si je constate que quelque chose mérite d'être apporté au milieu des nombreuses réactions dont je prend connaissance ici et ailleurs. Mais à présent les dés sont jetés. On peut échanger pour partager constats et visions mais il est inutile de tenter de convaincre plus. De toutes façons la machine est déjà en train de se déboulonner. Encore faut-il savoir quel sera le vrai plan de ceux qui tentent d'en resserrer (maladroitement ou dans le cadre d'un plan prémédité ?) les boulons. Là tout n'est que supposition... p margin-bottom : 0.25cm ; line-height : 120% ; a:link

Tableau de bord

  • Premier article le 26/06/2015
  • Modérateur depuis le 16/07/2015
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Derniers commentaires




  • 7 votes
    V_Parlier V_Parlier 26 juillet 2015 15:37

    Broyer des foetus jusqu’à l’âge de 6 mois (celui de prématurés viables) pour "faire de la recherche et sauver des gens" comme disent certains... Le sacrifice humain dans sa version moderne, plus scientifique et fructueuse (en terme d’efficacité) mais tout aussi cruelle. Que ce soit ou pas contre de l’argent d’ailleurs.
    Un monde où cela parait normal est-il voué à perdurer ? L’avenir le dira.



  • vote
    V_Parlier V_Parlier 24 juillet 2015 21:32

    @lupus
    "juste que c’est pas ce que recherchent la majorité des jeunes français."

    Je le sais bien. Mais après avoir goûté pendant deux ans aux sous-emplois en CDD il y en a qui, par la force des choses, deviennent moins ambitieux (à tort ou à raison, comme tu dis...)



  • 1 vote
    V_Parlier V_Parlier 24 juillet 2015 13:35

    @lupus
    "vos mômes y font tous des études"...

    Oui et on voit ce qu’on leur propose à la sortie de leurs longues études, ouaip ! A côté, ce truc çà c’est pas si mal. Il faudrait se renseigner un peu ! Dans notre merveilleuse économie prétentieuse de "croissance post-industrielle" (un paradoxe hypocrite qui ne dit pas son nom, quoi qu’on vise comme idéal) il n’y a pas que les ouvriers qui se retrouvent à la rue (ou tout au moins : hors circuit). Ceux qui sont encore bien au chaud à leur petite place relativement protégée ouvriront les yeux un jour, quand çà leur tombera dessus. Et là peut-être qu’ils envieront même un statut de salarié pas si bien payé mais à l’abri de la misère, avec du temps de liberté le week-end ! A côté, la situation de ces "associés" de coopérative leur semblera un paradis.



  • vote
    V_Parlier V_Parlier 23 juillet 2015 20:39

    @Avlula
    Cela fonctionne au sein d’une communauté où chacun est prêt à jouer le jeu, avec une tête bien faite. La différence entre nous deux est que je ne crois pas qu’une nation entière en soit capable. Allez dire au français moyen qu’il va faire une croix sur ses loisirs clés en mains pour se trouver lui même des activités enrichissantes, le taux de succès ne sera pas si élevé. Il ne peut s’agir donc que d’initiatives locales et volontaires, certes louables (p.ex. les SEL) mais qui peuvent être menacées si elles ne sont pas protégées par des structures adaptées, juridiquement et aussi physiquement ! Si ce mode de fonctionnement se répandait (ce qui serait une bonne et stupéfiante surprise pour moi), les néolibéraux n’apprécieraient pas que trop de gens sortent de cette économie qui ne veut pas d’eux comme travailleurs mais les attend en tant que consommateurs endettés... Les intéressés seraient donc très vite considérés comme des travailleurs non déclarés, des fraudeurs ! Et oui, les "socio-libéraux" sont libéraux quand çà les arrange ! Le mode opératoire n’est donc pas si trivial puisqu’il sous entendrait donc de créer des mini-états dans les états et capables de se défendre, bref... le crime de séparatisme qui, rappelons le, mérite souvent les bombardements au nom du "monde libre" !

    C’est ainsi que dans l’histoire ce sont créées petit à petit les tribus puis les nations, plus grandes donc plus fortes pour se protéger de la spoliation. Et une fois la taille critique atteinte, on est obligé de revenir au mode de fonctionnement "classique", monétisé et administré d’en haut...



  • 1 vote
    V_Parlier V_Parlier 23 juillet 2015 20:12

    @yoananda
    Ce qui est drôle c’est qu’ils sont presque gênés d’avouer qu’ils passent 20% de leur temps en réunion alors que dans les bureaux de multinationales (même chez les cadres "simples" et assimilés cadres) on en passe bien plus ! (Au point que çà pèse, d’ailleurs, pour rester poli...).

    Cependant j’aimerais savoir comment ils font quand quelqu’un veut tirer parti de la coopérative en refusant à chaque fois d’en faire sa part comme les autres. Il doivent bien avoir un processus de mise au ban des tire-au-flanc sinon çà ne marcherait pas aussi bien.

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