Tous ensemble, mais avec des limites L’Europe quel beau rêve pour certains, enfin, quelques uns, s’ils correspondent au profil ! À force de nous vendre une Europe humaniste et paradisiaque, on en oublierait qu’aujourd’hui elle est plus une nécessité qu’un choix. Evitons les cours d’histoire aussi rétrospectifs que partisans, le taux d’absentéisme ne peut se permettre ce luxe. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/05/05/post-it-tous-ensemble-mais-avec-des-limites/
Dieudonné persécution sur un récidiviste S’il fallait faire un choix, quelle face du métissage devrions-nous sauver : l’angélisme stérile ou l’abomination extrémiste ? Pas d’alarmisme, n’ayez crainte, la troisième possibilité, celle de la nuance, du bon sens, de la majorité et de la moyenne prévaut sur tout positionnement de société. Quand l’espace politique devient le révélateur d’une construction morale articulée par une histoire parfois repentante, souvent sélective et un ressentiment ne différenciant pas l’intime de l’universel, on peut légitimement s’attendre à une guerre civile passive qui ne porte pas son nom. Faire des diagnostics c’est le sport national. Là où l’on cherche une raison idéologique on peut trouver des solutions pathologiques. Mais sous les projecteurs peu importe les victimes, seuls comptent les bénéfices. Quant à Dieudonné, qui il est n’est pas la question, ce qu’il est, voilà la réponse. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/22/16-mesures-mon-chargeur-est-surcharge-indigestion-d’integration/
Le problème des révoltes révolutionnaires de nos jours, c’est la confusion des genres, des géographies, des époques et des définitions.
Un soulèvement populaire en Birmanie ne rejoint en rien un pique-nique syndical de fonctionnaires à Paris.
L’overdose de temps libre provoque des abus de langage sémantique, des prises d’otage de figures historiques, des jumelages outranciers de luttes issues de la famine et de l’obésité. Voilà les bases de l’économie du romantisme revendicatif dans les pays occidentaux.
Lorsque nous effectuons une analyse des modèles ou des structures de contestation, nous constatons une chose commune : la non tolérance des partisans du pour ou du contre.
Il y a une prétention bien malhonnête à avoir la rébellion systématique quand nous sommes à l’abri du besoin matériel garantissant la diffusion la propagande de canapé et que, dans le même temps, nous pouvons nous plaindre tranquillement et judiciairement de cette oppression machiavélique tuant les dissidents apolitiques à coup de cancer de la prostate ou du sein.
la suite ici :
Aimez-vous le mensonge ? Quelle est la frontière entre la naïveté individuelle et la croyance collective ? On peut admettre qu’il y a une certaine fascination de la part des citoyens du monde à, dans un premier temps, complètement intégrer et promouvoir un mensonge institutionnel puis part là à le fustiger et à l’emmener sans procès vers la potence. Les réjouissances de la crise nous offrent un théâtre des plus pittoresque où des mythomanes négocieraient l’avenir du monde avec des hypocondriaques. La misère humaine semble être un drame commun, une fois l’alarmisme obligatoire du compassionnel passé, réfléchissons sur les ressorts psychologiques de notre besoin de mensonge. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/30/note-de-service-aimez-vous-le-mensonge/
Aimez-vous le mensonge ? Quelle est la frontière entre la naïveté individuelle et la croyance collective ? On peut admettre qu’il y a une certaine fascination de la part des citoyens du monde à, dans un premier temps, complètement intégrer et promouvoir un mensonge institutionnel puis part là à le fustiger et à l’emmener sans procès vers la potence. Les réjouissances de la crise nous offrent un théâtre des plus pittoresque où des mythomanes négocieraient l’avenir du monde avec des hypocondriaques. La misère humaine semble être un drame commun, une fois l’alarmisme obligatoire du compassionnel passé, réfléchissons sur les ressorts psychologiques de notre besoin de mensonge. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/30/note-de-service-aimez-vous-le-mensonge/
1- D’un côté, nous avons une industrie culturelle déclinante n’assumant pas le proxénétisme économique et la pandémie infantilisante qu’elle exerce sous le regard de son débiteur. Celui-ci est à la fois une fondation philanthrope de gestion nationale et une entreprise d’import/export. 2- De l’autre côté, nous avons une infinité de niches de population n’ayant rien à voir les unes avec les autres, mais faisant front par principe de précaution. Nous prouvant par la même occasion à quel niveau de léthargie se trouvent nos sociétés occidentales pour qu’un luxe devienne une lutte nécessaire. 3- Au centre, se trouve le gros du troupeau qui n’a pas d’avis et fait preuve d’intelligence situationniste ou d’indifférence banale sur ce combat qui est à la fois d’avant-garde et d’arrière-cour. 4- Dans toutes les batailles, il y a des pertes acceptables. Mais comme nous ne prenons plus plaisir à nous salir les mains avec une de ces barbaries ancestrales, les invectives servent de nos jours de courroux médiatique ou de Hit Combo virtuel pour le bonheur des voyeurs générationnels et des lâches éternels. 5- Quand on pratique l’affrontement constant ou la paix commémorative pour occuper son temps, c’est que l’on est plus en mouvement. Alors la guerre civile des flux a-t-elle un sens ? La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/13/creation-internet-et-insultes-gratuites/
Une des clefs de réussite de cette opération de communication à la fois sanitaire et marketing prend forme à travers le témoignage misérabiliste. Celui-ci valide le facteur temps, après celui de l’espace promulgué part internet. La temporalité insinue que les rescapés d’ailleurs feront les victimes d’ici. Quand le doute responsable flirte avec la mise en quarantaine systématique, la société se replie sur elle-même tout en surveillant son voisin. Dès que l’objet psychose laisse place à l’outil paranoïa, les présomptions deviennent des obsessions qui conduisent à la recherche frénétique d’un nouveau shoot d’information. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/27/bloc-note-psychose-mediatique/
Le besoin d’information permanente, alliée aux remords de ceux prêchant le vrai et pratiquant le faux, explique la pandémie de consultation chez le médecin ou sur Doctissimo. Une des clefs de réussite de cette opération de communication à la fois sanitaire et marketing prend forme à travers le témoignage misérabiliste. Celui-ci valide le facteur temps, après celui de l’espace promulgué part internet. La temporalité insinue que les rescapés d’ailleurs feront les victimes d’ici. Quand le doute responsable flirte avec la mise en quarantaine systématique, la société se replie sur elle-même tout en surveillant son voisin. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/27/bloc-note-psychose-mediatique/
Nous sommes dans l’ère du tout participatif. Pour l’occasion, tous les anciens modèles de dialogue sont liftés pour nous être vendus comme novateurs et mélioratifs.
L’excroissance faussement démocratique que représente un forum sur un média quelconque, est un laboratoire particulièrement précis sur le niveau de militantisme virtuel et de frustration illégitime des utilisateurs.
Le suffrage universel s’est-il déplacé d’un isoloir pleurant l’absentéisme notoire à un forum aussi mimétique que populiste ? la suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/17/bloc-note-forum-collectif-vs-isoloir-personnel/
Le droit à l’information en cas de force majeure se soucie peu du choix de l’information. Le voyeurisme anxiogène est une pathologie née après l’avènement de la société de la communication au nom du bon, du bien, du beau, pour une minorité. La meilleure des psychoses sait s’identifier à chacun tout en parlant à tout le monde. Elle joue sur les cordes sensibles ou pavloviennes de tout un chacun en fournissant des cadavres exquis. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/27/bloc-note-psychose-mediatique/
La confusion des genres de l’époque - liant politique, spectacle et sentimentalisme - permet à l’émotion de dicter ses vérités au doute raisonnable. La polémique pérennise le besoin de procuration des sans pouvoirs et des rebelles éternels. Lorsqu’il n’y a plus de frontière entre la noblesse et la simulation, le mensonge devient le principe moral de l’honnêteté. Les belligérants profitent des dégâts collatéraux que subissent les alibis et créent des produits dérivés à durée limitée pour les hebdomadaires. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/21/note-de-service-la-polemique-virale-pleonasme/
La confusion des genres de l’époque - liant politique, spectacle et sentimentalisme - permet à l’émotion de dicter ses vérités au doute raisonnable. La polémique pérennise le besoin de procuration des sans pouvoirs et des rebelles éternels. Lorsqu’il n’y a plus de frontière entre la noblesse et la simulation, le mensonge devient le principe moral de l’honnêteté. Les belligérants profitent des dégâts collatéraux que subissent les alibis et créent des produits dérivés à durée limitée pour les hebdomadaires. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/21/note-de-service-la-polemique-virale-pleonasme/
Entre le tournage d’un remake du 11 septembre avec Air Force One, le blues des blouses blanches et le flegme de Bachelot, l’équilibre entre police de proximité et l’intégrité physique des mineurs, le chantage exécutif de la TVA à l’embauche de masse, le sondage impartial des partisans du Cran : faites votre choix... La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/28/savez-vous-parler-le-morse-280409/
De nos jours, le nerf de la guerre, c’est le flux. ?Afin de rentabiliser celui-ci, la politique du pire et du point non retour est l’unique moyen d’alimenter les psychoses. La confusion générale et les interrogations personnelles construisent la mythologie de la panique numérique. Le chaos est le meilleur moyen de contrôle des masses, il est à la fois invisible et omniprésent. De la téléphonie mobile 3G la plus banale à la toxicomanie du clic, en passant par le rituel de la télécommande, tout est bon pour se tenir au courant de tout et de rien. Une contagion inconnue passionne davantage les foules qu’une maladie maîtrisable. ?Le nombre de morts configure la couverture médiatique. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/27/bloc-note-psychose-mediatique/
Si j’étais directeur de casting institutionnel, connaissant l’avis volatile voire contre-productif de vox populi et la vulgarité consubstantielle des bénévoles humanistes, il faudrait anticiper les modes savamment marquetées et les mœurs faussement transgressives en promotionnant... ... des protagonistes en forme de logo ou de statistiques, correspondant au bruit du folklore et à l’odeur du groupe, le niveau de compétence et l’expérience sont accessoires dans cette affaire si les critères de fantasmes, de représentation puis de personnification sont remplis, ne pas s’inquiéter des dommages putatifs, l’arrière-boutique n’intéresse personne tant que la vitrine est belle. ? Ou ?... des produits voués à l’échec, que la concurrence laisse en jachère car ils ne sont pas conformes au standard de vente, mais leur mise en marché plus symbolique que mercantile permet à la fois d’organiser la panique chez l’outsider et de diversifier son offre thématique, tout en fidélisant des consommateurs sans avoir à les éduquer. Ou ?... le naturel national, les fondamentaux patriotiques et le collectif docile, les pratiquants professionnels de l’hymne font de bons VRP républicains, le dirigisme empirique d’un entraîneur ou le volontarisme conditionné d’un sportif séduit les futurs licenciés comme les masochistes en manque d’autorité. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/03/25/le-subjectif-au-conditionnel-si-j’etais-directeur-de-casting-institutionnel/
les excès du White Trash made in France ou l’histoire d’un mauvais remake
White Trash. ?Le terme sera la coquetterie des prochains jours dans la presse ignorante ou en déficit d’adulescence. Le phénomène a été sociologiquement marqueté par un spécimen quelconque dans une maison de disque, major ou indépendante, il n’y a plus de différence. Il n’y en a jamais eu. ?Puisque le but principal des organes de production culturelle est de fournir une solution adaptée à toutes les niches de population, alors autant tirer avantage de la paupérisation ambiante qui unit les enfants de prolétaires high tech et de la bourgeoisie vintage dans une middle class pseudo universitaire. White Trash. Là où l’on pourrait trouver l’expression raciste comme bamboula® ou bougnoule, on y trouve une forme méliorative d’acceptation socialo-artistique qui émoustillera les mêmes illuminés qui ont mis au panthéon l’illettrisme d’Abd Al Malik. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/02/16/white-trash-made-in-france-ou-l’histoire-d’un-mauvais-remake/
Entre les tapes dans le dos qui ressemblent à une main au cul pour le juge Burgaud , les problèmes de croissance ou d’hégémonie de Microsoft, une jambe de bois sur un pansement pour le chômage des jeunes, le come back des achats impulsifs chez les Français qui ressuscite la consommation des ménages , travailler plus pour gagner plus, certes, mais ne pas travailler pour gagner autant voilà l’avenir du Smic : faites votre choix... La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/24/savez-vous-parler-le-morse-240409/
Quand un producteur parle comme un consommateur, c’est qu’il y a plus de produit à vendre, mais le souvenir et les phobies maintiennent l’illusion. Les chirurgies faussement démocratiques succèdent aux coups d’États électoraux guidés par la guerre des nerfs. Les abus de langages configurent le discours officiel.
L’inflation des pathologies économiques et des modes de régulation administrative ont crée un engouement pour la croyance à tout prix, à bas prix. Cette religion confond parabole et législation. Depuis que les maladies globales ne sont plus adaptées à la médecine institutionnelle, la réorientation professionnelle transforme les humanistes en cannibales. La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/23/bloc-note-politique-sur-mesure-espoir-a-la-carte-et-gout-des-autres/
Nous pourrions pleurer tous ensemble avec plus ou moins d’opportunisme la disparition - le temps d’un éventuel biopic pour César - de la mémoire de l’humour à la Desproges, à l’heure où il faut avoir sa carte dans un parti ou en créer un. Mais il faudrait encore plus larmoyer sur les restes de Coluche qui a malencontreusement engendré des professionnels de l’engagement, plus proches du politicien que du marionnettiste du quotidien.
Aux jeux des tests de paternité et des portraits robots, on justifie toute notre époque uniquement par le passé proche et moins par l’histoire générale.
À croire que la peoplelisation est une visée subjectivement déculpabilisante, qui pourrait avoir sa chaire d’Histoire dans le futur.
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La confusion des genres de l’époque - liant politique, spectacle et sentimentalisme - permet à l’émotion de dicter ses vérités au doute raisonnable. La polémique pérennise le besoin de procuration des sans pouvoirs et des rebelles éternels. Lorsqu’il n’y a plus de frontière entre la noblesse et la simulation, le mensonge devient le principe moral de l’honnêteté. Les belligérants profitent des dégâts collatéraux que subissent les alibis et créent des produits dérivés à durée limitée pour les hebdomadaires. La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/21/note-de-service-la-polemique-virale-pleonasme/
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