• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Les commentaires de Morpheus



  • 4 votes
    Morpheus Morpheus 23 décembre 2011 15:00

    Petit rectificatif : Pierre Jovanovic n’a pas traduit le livre, il a payé une tierce personne pour le traduire. Il participe donc à l’édition et à la diffusion en français de ce livre, mais il n’est pas exact de dire qu’il en est le traducteur.

    Cordialement,
    M.



  • 2 votes
    Morpheus Morpheus 5 décembre 2011 23:30

    Le problème n’est PAS que nous soyons dans une "crise de la dette" (comme on ne cesse de nous le seriner à longueur de temps), mais bien dans une crise du taux d’intérêt. Réfléchissez : le système de l’argent-dette VEUT que l’on crée de la dette (sans dette, pas d’argent, pas de soi-disant "création de richesse"), donc :

    1. il faut endetter un max de personnes, d’entreprise ET DONC, endetter les états.
    2. endetter les états permet de les tenir sous tutelle, donc d’imposer des "mesures d’ajustement structurelles" (aujourd’hui appelée "mesures d’austérité", on change le terme, mais la recette reste la même), ce qui va dans le sens des banques et des multinationales.
    3. plus un état (ou une entreprise) est endettée et son budget déséquilibré, plus les agences de notation dégradent la note, ce qui a pour conséquence ... d’augmenter les taux d’intérêts DONC d’augmenter la dette, forçant à emprunter ENCORE PLUS sur les marchés (grâce à la loi Pompidou, suivie par le traité de Maastricht, puis de Lisbonne).
    Tout cela est ultra logique, vu qu’il FAUT qu’il y ait plus de dette (dans le seul intérêt des banques et multinationales, bien sûr, pas des citoyens comme vous et moi).
    Donc ce débat n’a pas lieu d’être : c’est le principe même de l’économie basée sur la monnaie ET le principe de l’argent-dette (et de la réserve fractionnaire) qui doit être aboli pour que les choses changent. Sans cela, rien ne changera, le système à BESOIN de cette crise, et c’est pourquoi le système (c’est-à-dire les banquiers et multinationales) ont délibérément CRÉE la crise.
    N’oubliez pas que la loi Pompidou est aussi appelée "loi Rotschild", ce n’est pas par hasard : c’est la loi des banquiers.



  • 3 votes
    Morpheus Morpheus 5 décembre 2011 21:11

    Mouai ...

    On voit bien avec ce doc que l’histoire est toujours une question de point de vue.

    La gentille Amérique, victime du méchant Empire Britannique, et les ignares Européen au milieu du jeu de quille.

    Comme si les USA ne pratiquaient pas la stratégie de guerre perpétuelle. N’importe quoi ^^ La politique étrangère des USA est, depuis le début, une stratégie de guerre perpétuelle, de conquêtes, de génocides, d’esclavage (hier, les noirs, aujourd’hui tout le monde, par la dette).

    Ils ont fait leur prospérité et leur puissance en pillant les ressources partout dans le monde.
    Ils ont des bases militaires partout dans le monde.
    Ils ont l’armée la plus puissante au monde, avec un budget colossal.

    Et ce doc voudrait nous faire croire que les méchants, c’est l’Empire Britannique. Faut arrêter de se foutre de la gueule du monde.

    USA et GB travaillent de concert au pillage de la planète et la mise sous tutelle du monde, par le biais de la stratégie de guerre perpétuelle. ENSEMBLES, pas concurremment !

    Ce doc est tout aussi propagandiste que les médias mainstream.



  • 1 vote
    Morpheus Morpheus 22 avril 2011 17:06

    Combattre une croyance n’implique pas nécessairement combattre le choix de croire, cependant, c’est (presque) toujours de cette façon que la critique faite contre les croyances religieuses est perçue par les religieux. Refusant la critique et la remise en question de leurs croyances (je répète encore que la croyance n’est pas la Foi, mais sa négation !), il place d’autorité le champ de la critique dans le champ de la liberté de choisir, en ne concevant la critique que de façon personnelle : en attaquant leurs croyances (leurs religions), on les attaquerait, EUX !

    Cette attitude démontre un refus catégorique, d’une part, de considérer que certains puissent ne pas croire ce en quoi ils croient, d’autre part, de toute démonstration des incohérences et de l’inanité de leurs croyances. Les religieux qui réagissent comme cela ne défendent pas leur Foi, ils démontrent leur ignorance de la Foi et l’aveuglement de leurs doctrines, démontrant par là même la pertinence des critiques faites à l’encontre du phénomène religieux.

    Quelle importance si, pour certains, Dieu n’existe pas ? Après tout, ils disent cela pour eux-mêmes, ça les concerne. De même que la croyance, en principe, concerne le croyant, pas les autres. Malheureusement, les choses ne sont pas si simples.

    Énormément de croyants sont heurtés par les convictions qui vont à l’encontre de la leur, et s’en trouvent contrarié, voir très en colère. Qu’il suffise de voir la réaction récemment en Afghanistan suite à l’autodafé d’un Coran (tout un !) par un pasteur protestant au USA ... Bon sang ! Ce n’est que quelques bout de papier relié avec de l’encre dessus, et ils seraient près à étriper ce type, simplement parce qu’il commet une provocation en brulant du papier, et cela parce que "symboliquement", c’est une attaque à leurs croyances.

    Franchement, j’en reste pantois. Il y a là une montagne de contradictions dans cette attitude entre des croyants (l’un protestant, les autres musulmans, tous de religion rédemptionnistes, donc ayant la même source, l’Ancien Testament). La Bible, le Coran, la Torah, sont de véritables "recueil" de contradictions multiples et variées, mais les croyants se dressent de façon impulsives et violente lorsque quiconque ose s’en prendre, même symboliquement, à ces textes.

    On ne cesse, au sein des trois religions rédemptionnistes, de nous dire que le message de Dieu est un message de paix et d’amour, mais dans les faits, que voyons-nous (et je vise aussi bien les juifs que les chrétiens ou les musulmans) ? Violences, guerres, meurtres, massacres, inquisitions, holocaustes, tueries, etc. au nom de Dieu, de la Foi et de la religion. Bon, si ça c’est pas contradictoire, je sais pas ce qui est contradictoire ... ???

    Alors, vu sous cet angle, certains expriment que poureux , il sont sûr que Dieu n’existe pas (ce qui signifie d’après moi simplement qu’ils rejette les religions - les religions, pas les croyants), quelle importance ?

    En ce qui me concerne, bien que né dans le religion chrétienne (j’ai même été enfant de cœur) j’ai rejeté la religion (les trois religions rédemptionnistes, en tout cas), et cela ne m’empêche pas d’être dans une démarche spirituelle (qui ne repose pas sur une croyance, certes), mais qui n’est pas l’athéisme non plus. Or, je n’ai aucun problème avec les critiques que ma démarche peu soulever. Mes convictions ne sont pas entachée par la critique, parce que je comprend qu’elle ne concernent que moi.

    C’est tout le problème des religions : elles cherchent toutes à imposer leur vision, et à empêcher toute critique ou mise en question de leurs croyances, de leurs dogmes. Cela a été vrai pour le judaïsme ; c’est encore vrai dans pas mal de communautés chrétiennes (notamment aux USA) ; et c’est très vrai dans beaucoup de communautés musulmanes, qui est le mouvement rédemptionniste le plus jeune des trois.

    Ne peut-on interpréter les réactions des croyants face aux critiques faites contre leurs croyances ou à l’encontre du concept de Dieu comme étant une menace pour leur propre croyance ? Comme si ce déni affirmé de Dieu rendait leur Foi plus fragile ? Moins certaine ? N’est-ce pas, d’ailleurs, la raison qui expliquerait la véhémence de nombre de croyants, de par le monde, et à travers l’histoire, à contrer tout qui critique leur croyance, à savoir : un manque de Foi, justement ; n’étant pas sûr, au fond d’eux-mêmes, ils ont besoin de se rassurer en convainquant un maximum de personnes autour d’eux de croire la même chose qu’eux, jusqu’à vouloir que tout le monde crois la même chose, ce qui devient le prosélytisme et le fascisme religieux ...

    J’essaye juste d’apporter une réflexion personnelle (critique) sur le phénomène religieux et ce qui m’apparait comme un des problèmes fondamentaux des religions. D’après moi, les personnes qui ont véritablement la Foi ne devraient jamais se soucier des critiques ou attaques faites contre leurs textes ou leurs croyances : au pire, ce ne sont que des épreuves envoyées par Dieu pour leur permettre d’affermir leur Foi. Reste à déterminer dans quel sens : la violence ou la paix ? Les hérétiques des premiers siècles de l’ère chrétienne (les gnostiques) en ont fait les frais : ils ont été éliminés, parce qu’ils contestaient le rédemptionnisme et le patriarcat.

    Il y a deux patrons qui dirigent dans nos consciences : le patron d’en haut, qui nous invite à développer notre pouvoir avec les autres, et le patron d’en bas, qui nous incite à exercer notre pouvoir sur les autres. Lequel déciderons-nous de nourrir ?



  • vote
    Morpheus Morpheus 19 avril 2011 14:43

    [ Le combat spirituel se mène chaque jour face aux tentations] by frère tolkien

    Frère Tolkien, vous en êtes encore là ? La spiritualité est donc un combat contre la tentation ?

    Le plus surprenant, c’est que vous cédiez à la tentation de juger vos semblables, qui selon votre doctrine rédemptionniste, sont des victimes égarées par le malin, vos frères qui méritent votre pitié et votre compassion, non vos jugements.

    Un "dieu" qui a créé l’Univers (toute chose), qui peut tout et qui est tout, aurait donc besoin de la soumission de ses créatures à ses lois, à ses codes, et aurait de surcroit besoin de l’adoration de ses sujets ? C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas ?

    Mais un "dieu" qui est source de toute chose et peut tout, n’a logiquement aucun besoin. Aucun !

    Les besoins précisés plus haut, ne sont en tout état de cause pas celui du créateur de toute chose, celui qui est, mais bien les besoins d’un monarque psychiquement très atteint, un monarque qui se prend (sans doute sincèrement) pour le dieu vivant ... Un peu comme ... attendez voir ... Pharaon ?

    Tiens, mais c’est vrai, ça. Pharaon n’était-il pas le dieu vivant, l’incarnation vivante du dieu solaire Râ ? Mais oui, voilà : voyez donc ces statues d’Isis tenant sur ses genoux Horus, le fils d’Osiris, époux d’Isis, la "vierge" égyptienne ... Curieux comme cette histoire m’en évoque une autre.

    Tiens, mais, aussi : quand donc furent rédigés ces textes bibliques qui constituent le "livre sacré" ? Et dans quelle région du monde ? ... Et comment est née l’église ? Suite à quel concile le credo fut-il édicté ? Dans quelles circonstances ? ...

    Et vous en êtes encore à croire que la spiritualité consiste à résister à la tentation ... Enfin. A chacun son rythme. Soyez bénit !



  • 1 vote
    Morpheus Morpheus 19 avril 2011 14:21

    Donc, quand on suit une autre route que la vôtre, on est inhumain ?

    Intéressante conception de l’humanité, je prend note.

    Le stuud dans l’histoire, c’est que d’après ma perception des choses, c’est vous qui êtes perturbé par la tromperie d’une entité non humaine que vous idolâtrez aveuglément. La différence entre nous est que je ne vous plaint pas, car je vous estime comme mon égal, et considère que vous faites un choix conscient. Différent du mien, mais conscient.

    Cela dit, s’il s’avérait que vous êtes réellement victime d’une tromperie, je devrais, en tout état de cause, vous plaindre, mais ce serait considérer votre humanité - c’est-à-dire la part noble de votre esprit et de votre âme - comme inférieure à la mienne, ce qui n’est pas le cas dans ma conception des choses.

    Il en résulte que cette part d’humanité qui existe en vous est étouffée par vos croyances en un mythe mensonger et illusoire, qui occulte ce noos au profit d’une pensée religieuse aveugle.

    La Foi, en dépit de tout ce qu’on vous a toujours enseigné, n’est PAS la croyance, mais au contraire, le terrassement (dans tous les sens du terme) de toute croyance, au profit de l’expérience véritable de la connaissance.



  • 3 votes
    Morpheus Morpheus 18 avril 2011 19:25

    Intéressant, cette notion de "respect" qui éructe à la bouche des croyants lorsque l’on parle de leur religion.

    Les religions du mensonge patriarcal (bibliques) n’ont eut de cesse de faire taire leurs contradicteurs, notamment la religion chrétienne, qui entre le second et le quatrième siècle, a persécuté les gnostiques, qui dénonçaient les mensonges et manipulation de cette secte chrétienne montante, comme ils contredisaient les mensonges du culte judaïque.

    La secte chrétienne a détruit les lieux de culte païens, les bibliothèques, les écoles des mystères, et a été jusqu’à éliminer physiquement les gardiens des Mystères. Pas de contradiction, pas de choix. De façon significative, étaient pourchassés comme hérétique tout qui faisait un choix différent, y compris d’interprétation de textes du livre. Il est remarquable que l’on n’apprenne pas le sens de mots comme "hérétique", d’ailleurs, qui provient du grec "hairesis" signifiant "action de faire un choix".

    On ne peut donc contredire ces religions et ce livre soi-disant saint, qui n’est qu’un salmigondis indigeste de contradictions multiples et variées.

    Les religieux se sentent insultés lorsque l’on exprime son rejet, sa colère, voir son mépris pour leur religion, car ils sont incapable de faire la différence entre eux et leur religion : ils sont leur religion, ils s’y fondent, ils disparaissent en elle, comme une ombre se fond dans l’Ombre.

    Et bien il est temps que ces sectes récoltent le fruit de leurs semences de haine, de dogmes, d’intolérance, de mépris, d’inégalité, d’injustice et de massacres, tous perpétré au nom de leur faux dieu impie.

    Messieurs et mesdames les religieux, si je suis disposé à respecter chacun et chacune d’entre vous sur un plan humain et personnel, souffrez que je pisse sur ces religions qui sont vôtre, comme vos religions ont pissé sur ma Foi parce j’ai fais le choix de tourner le dos à vos croyances.

    Morpheus



  • 4 votes
    Morpheus Morpheus 27 mars 2011 20:03

    @ flognarde

    Le fait de songer que nous avons les moyens d’organiser une civilisation meilleure, qui profite à tous plutôt qu’à 1 petit pour cent de la population comme celle que nous connaissons, n’est pas nécessairement concevoir "le meilleur des mondes" façon Huxley.

    Cette antienne est d’autant moins recevable qu’elle est contredite par le qualificatif que vous en faites : une "utopie". Primo, parce que "le meilleur des mondes" de Huxley est le contraire d’une utopie : une dystopie. Deuxio parce que le projet proposé n’est pas utopique, en dépit de ses apparences.

    Techniquement, considérant nos connaissances technico-scientifiques, il est entièrement réalisable. La seule "utopie" recevable dans ce projet, c’est celle qui concerne le renversement de paradigme qu’impose ce projet : il faut convaincre le monde que ses croyances en la pénurie, en la hiérarchie sociale, en la compétition, en la prétendue "nature humaine", etc. ne tiennent pas la route et sont non seulement de fausses croyances, mais le fondement même de tout le mal que génère notre "civilisation" actuelle. Là, oui, il y a peut-être utopie.

    Mais techniquement, la mise en place d’une économie basée sur les ressources est tout-à-fait réalisable, non pas demain ou dans un avenir proche, mais maintenant, avec nos moyens techniques et nos connaissances. Ici et maintenant !

    Ce ne serait pas un retour à l’innocence, car un tel changement de paradigme, de même que la mise en place d’un tel dispositif demande une conscience globale, une conscience élevée de l’interdépendance e toutes les formes de vie ainsi que des ressources de la planète.

    C’est donc un saut quantique non seulement nécessaire, mais indispensable, qui est proposé. Libre à vous de na pas y croire et de vous accrocher à vos croyances. Elles ne vous mènent à rien, mais c’est VOTRE problème.

    Bonjour chez vous.



  • 2 votes
    Morpheus Morpheus 20 février 2011 13:54

    @ jmcn

    [Voter est une pratique ridicule, trop emprunte d’irrationnel, trop de place est faite au charisme et a la capacité de séduction. Les dirigeants devraient être désignés pour leur compétence, leur haut niveau de moralité, leur sens du service aux autres démontré par leur actions passées. C’est ce dont nous avons besoin, pas de voter.]

    Si vous réfléchissez bien à votre propos, vous allez vous rendre compte de votre erreur, tout au moins si votre proposition s’inscrit dans l’esprit démocratique.

    > désigner les plus compétents, les plus moraux, c’est-à-dire les meilleurs, c’est précisément désigner une aristocratie - dont le sens étymologique est justement "le gouvernement des meilleurs" ! C’est ce que nous faisons (en principe) lorsque nous votons. Par conséquent, le suffrage universel, contrairement à nos fausses croyances concernant la démocratie, n’est PAS consubstantiel de la démocratie, mais instaure dans les faits une aristocratie.

    > cela remet en perspective nos croyances sur ce qu’est la démocratie, et nos connaissances sur ce que les anciens ont découvert en pratique à ce sujet. Les Athéniens, par exemple, avaient compris de nombreux principes que nous n’appliquons pas : la limitation des mandats (tant dans la durée que dans le cumul ou le renouvellement > pas de cautérisation de la fonction politique), séparation des pouvoirs (en France, je vous défie de trouver dans la constitution de 58 où se situe cette séparation), interdiction de créer des partis politiques (la "chose publique" doit rester aux mains des citoyens) , contre-pouvoirs solides et surtout, le plus grand principe de réelle représentativité : le tirage au sort.

    Songez-y.

    Cordialement.



  • 1 vote
    Morpheus Morpheus 20 février 2011 13:40

    @ Gaspard Delanuit

    Ce que nous pouvons (devons - mais ce n’est que mon humble avis) envisager, c’est par exemple remplacer l’économie financière et monétariste par une économie basée sur les ressources.

    Naturellement, une telle proposition, allant à l’encontre de tous les présupposés imposés par notre culture (fondée sur la compétition, l’individualisme, le darwinisme social, etc.), pose beaucoup de questions auxquelles vous trouverez ici certaines réponses.

    Et si vous désirez approfondir la réflexion et en savoir plus, il y a ces trois conférences qui n’ont pas seulement l’avantage de développer et approfondir la critique du système actuel, mais font ce que Mr. Kempf, par exemple, ne fait pas : proposer une alternative.

    En tous cas, si votre question est sincère, je ne puis que vous encourager à creuser la question, en gardant bien sûr votre esprit critique et évaluer la proposition avec un regard neuf, sans a priori.

    Cordialement.



  • 1 vote
    Morpheus Morpheus 23 décembre 2010 16:43

    " Où s’informer alors ?"

    Concernant Cantona : ici



  • vote
    Morpheus Morpheus 23 décembre 2010 00:02

    On pourra toujours sortir la tondeuse ...



  • 5 votes
    Morpheus Morpheus 22 décembre 2010 14:29

    La réaction de Sentero - le déni arrogant - montre la force de cette démonstration. Elle montre aussi la force de l’orgueil et de la vanité, qui préfère s’enfoncer dans la réponse conformiste, ou plus exactement dans l’attitude adoptée, plutôt qu’admettre son erreur. Ce qui est également une attitude démontrée et expliquée par Milgram dans cette même série d’expériences sur l’obéissance.

    Le nombre d’interventions de Sentero, qui réagit à pratiquement tous les postes, montre non pas la force de ses convictions, mais uniquement que le sujet (les attentats du 11 septembre 2001 et leurs implications) sont un sujet de préoccupation majeure pour lui. Son déni n’est que la dissimulation d’un puissant conflit intérieur entre son mental et son inconscient. Son mental est assiégé, dos au mur, et résiste de toute ses forces, parce que pour lui, admettre une erreur, c’est signer la chute de son "moi", ce qu’il ne peut admettre.

    "Qu’est-ce que le mental" demande Gitta Malazsch dans son "Dialogue avec l’Ange". Et l’ange de répondre : "Non pas le conducteur, mais le conduit. C’est un instrument, un outil entre les mains du maître. Tu lèches la cuillère à sucre et tu te dis "c’est doux" ; ce n’est pas la cuillère qui est douce ; essaie de la mordre, tes dents vont s’y casser !"

    "Comme les dents servent à broyer de la nourriture, elles ont donc un lien avec broyer des nouvelles idées ou circonstances afin de bien les assimiler. La personne qui a mal aux dents est souvent celle qui a de la difficulté à se décider, faute de bien analyser les situations."



  • 5 votes
    Morpheus Morpheus 22 décembre 2010 14:05

    Le véritable visage de la "démocratie" israélienne : empêcher tout débat, toute expression qui va à l’encontre des visées sionistes les plus dures (= racistes et génocidaires). Sabotage des débats, infiltration des assemblées par des agents provocateurs, campagnes de menaces et de déstabilisation, ... Des méthodes qui n’ont rien à envier à celles des nazi dans les années trente.

    L’ancien persécuté devenu à son tour bourreau. Le retour de bâton sera dur. Très dur !



  • 1 vote
    Morpheus Morpheus 19 décembre 2010 01:41

    Ce qui n’arrive en fait que lorsque la constitution prévoit des mandats impérieux et un contre-pouvoir avec pour corolaire la récusation de l’élu s’il ne remplit pas son programme.

    Ce qu’aucunes de nos "démocratie" n’a jamais - jamais ! - inscrit dans sa constitution. Bref, ce qu’il faut, c’est changer la constitution, et ne pas rêver que les politiciens soient "intègres".

    Pour cela, il faut empêcher que ce soit des politiciens professionnel se destinant au pouvoir qui rédigent la constitution : on ne peut écrire une constitution censée limiter le pouvoir si l’on se destine au pouvoir. C’est totalement contradictoire. Par conséquent, ceux qui rédigent la constitution (assemblée constituante) doivent faire partie du peuple (tirage au sort) et être interdit de carrière politique ou d’un rôle dans le pouvoir.



  • 3 votes
    Morpheus Morpheus 19 décembre 2010 01:15

    Excellent travail de documentation, merci. Cela permet en effet de mieux cerner le personnage - et les intérêts dont elle se fait le thuriféraire.



  • 16 votes
    Morpheus Morpheus 18 décembre 2010 19:49

    Et rebelote avec cet Ultime Stratagème de la dialectique éristique de Mr. Schopenhauer. Décidément, quel manque d’imagination. Il y en a pourtant plein, des stratagèmes dialectique, pourquoi toujours celui-là ?

    Peut-être parce que, comme le définit lui-même Schopenhauer, l’Ultime Stratagème s’applique lorsque l’on a perdu.



  • 11 votes
    Morpheus Morpheus 18 décembre 2010 19:42

    Pour comprendre l’attitude autiste des médias, il suffit de comprendre la notion d’état agentique décrite par Milgram dans son expérience sur la soumission à l’autorité : une fois que l’on s’est engagé dans un processus, on ne peut plus revenir en arrière, sous peine de désavouer tout ce que l’on a déjà fait (ou dit), et donc, il faut en remettre une couche, encore plus raide. On fait cela pour lutter contre l’angoisse produite par un conflit intérieur. Pour échapper à la névrose, les journalistes entrent donc en psychose.



  • 3 votes
    Morpheus Morpheus 18 décembre 2010 19:30

    C’est vilain de stigmatiser comme cela les minorités. Elles aussi ont le droit de s’exprimer, même pour dire des bêtises. Soyons un peu tolérant envers l’ignorance, que diable, tout le monde n’a pas la chance d’être doté d’un esprit critique.



  • 6 votes
    Morpheus Morpheus 14 décembre 2010 19:55

    " On essaye de tuer les extrêmes dans l’oeuf "

    ...

    Excellent, commence par te tuer, ce sera un bon début.