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Jean Keim

Jean Keim

Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis. 
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus. 
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir. 
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/12/2015
  • Modérateur depuis le 11/01/2017
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Derniers commentaires




  • vote
    Jean Keim Jean Keim 25 juillet 2016 18:44

    @gaijin
    Au sujet de l’esprit ce que vous dites ne me gêne pas, bien que je ne suis pas sûr de tout comprendre dans votre approche.

    Peut-on dire d’après vous que l’organe qui manifeste le mental est le cerveau, que celui qui manifeste l’esprit est le cœur et pour le ventre les émotions peut-être ?

    Que ce passe-t-il précisément en -500 et ensuite au 19 ëme siècle ?



  • vote
    Jean Keim Jean Keim 25 juillet 2016 14:43

    @gaijin
    Les structures sous-jacentes ... je perçois qu’il ne faut pas trop compliquer, la complication fait partie de la structure, en fait il s’agit d’un processus dans le sens technologique du terme.

    -------

    Processus :
    Suite des différentes phases d’un phénomène.
    Suite continue d’opérations aboutissant à un résultat.
    Programme en cours d’exécution (la pensée donc), avec les ressources qui lui sont attribuées (les savoirs en mémoire).
    --------

    L’expression « De tout temps » est effectivement inappropriée mais c’est très ancien, plusieurs milliers d’années, avec une amplification probablement récente.

    Je ne crois pas que l’esprit est un centre, c’est la pensée que le crée. 



  • vote
    Jean Keim Jean Keim 25 juillet 2016 08:11

    @gaijin
    Absolument, il ne s’agit pas de changer de président ou de constitution ou finalement de changer dans la continuité de ce qui existe, mais il s’agit bien d’un changement radical qui vienne non pas de la tête (au sens de boîte juchée sur notre cou ainsi que de l’élite) mais d’ailleurs et cela ne peut que déboucher sur une autre et nouvelle civilisation.

    Au sujet d’Aristote, ne se posait-il pas trop de question sur tout ? 

    Les penseurs modernes ont l’habitude de dire que notre civilisation est aristotélicienne, et / ou judéo-chrétienne ou que sais-je encore, c’est peut-être vrai mais avant tout elle est mentale, la meilleure preuve est cette manie de vouloir lui trouver un qualificatif.

    Aristote pensait tout le temps sur tout, quand il regardait une fleur, il se demandait comment définir la beauté et retournait s’enfermer dans son bureau pour y réfléchir, et convoquait ses copains philosophes pour faire un groupe de travail, et pendant ce temps, la fleur vivait sa vie de fleur et se fanait et Aristote avec. 

    De tout temps les hommes intellectuels ou manuels acceptent la pensée comme une chose qui va de soit, comme un prodigieux don - ce qui est indéniablement le cas - et n’ont de cesse de l’alimenter par des savoirs de plus en plus vastes, du temps d’Aristote, le processus était déjà bien entamé, mais lui comme les autres ne se posent pas de questions fondamentales sur ce qui est un mouvement, au sein d’un processus qui a besoin d’énergie pour perdurer.



  • vote
    Jean Keim Jean Keim 24 juillet 2016 15:53

    Le problème avec la théorie du complot est que tout ce que nous pouvons en dire, en pour ou en contre, peut être exploité par n’importe quel bord.

    Le fait d’affirmer ou de récuser l’existence d’un ou de plusieurs complots est à chaque fois un mode de pensée comme de dire simplement que je n’en sais rien.

    La pensée ne vient pas de rien, elle est un processus qui ne fait que réémettre un contenu, c’est à dire un savoir mémorisé, en conséquence la valeur du mode de pensée est celle du savoir et donc de ses sources, finalement si nous prenons un peu de recul, tout mode de pensée en vaut un autre, de même si nous demandons à une personne ce qu’elle pense de la théorie du complot, si elle n’en a jamais entendu parlé, elle n’aura sur le sujet lui-même en réaction, aucune pensée particulière.

    Il y a dans le vaste monde, de tout temps, des gens qui œuvrent à tirer des avantages dans leur sphère d’influence, ils ont besoin de passer par des alliances, de pratiquer le clientélisme, de rédiger des accords, d’utiliser parfois la force et toujours la ruse, de bafouer des lois et des droits et que toutes ces choses et d’autres encore soient réalisées à une grande échelle est évident, et avec le temps que plusieurs stratégies soient devenues mondiales est du domaine du possible, surtout avec les moyens qu’offrent la science et la technologie contemporaines. 



  • 2 votes
    Jean Keim Jean Keim 2 juillet 2016 08:41
    @Désaltère
    Il y a des milliards de planètes dans l’Univers et même si un faible pourcentage est habité par une vie intelligente ayant une technologie (spatiale) développée, ce qui en fait encore un beau paquet, pourquoi leurs dirigeants (si elles ont encore des dirigeants ont peu douter de leur degré d’avancement mais bon passons ! C’est après tout une donnée subjective), pourquoi donc leurs dirigeants s’inquiéteraient-ils pour une petite planète balbutiante qui n’est pas foutue d’aller voir ailleurs ce qui se passe et qui fait tout ce qu’elle peut pour s’autodétruire ?
    Si nous constatons dans notre jardin qu’il y a une guerre entre deux fourmilières, est-ce que nous allons s’ingérer dans son déroulement ?
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