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    BA 20 juillet 2018 09:11

    Vendredi 20 juillet 2018 :


    Emmanuel Macron : popularité au plus bas niveau depuis son élection.


    Dans un sondage réalisé par BVA publié ce matin, RTL et ses partenaires Orange et La Tribune révèlent que le Président ne bénéficie pas d’un "effet Coupe du Monde", sa popularité ayant chuté de deux points pour atteindre son plus bas niveau depuis l’élection d’Emmanuel Macron en mai 2017.


    Le Président tombe ainsi à 39 % d’opinion favorable, et 59 % d’opinion défavorable.


    Seul un français sur cinq soutiendrait la politique présidentielle, et plus de la moitié de ceux ayant une opinion favorable de la personne attendent d’être convaincus par sa politique.


    Autre donnée marquante de ce sondage, aucun des partis d’opposition n’est perçu comme pouvant mieux réussir qu’Emmanuel Macron, là où les trois quart des interrogés souhaiteraient un virage social dans la politique du Président, et seulement 30 % sont convaincus que ce changement va se produire.


    https://www.bfmtv.com/politique/emmanuel-macron-popularite-au-plus-bas-niveau-depuis-son-election-1492428.html





  • 4 votes
    BA 19 juillet 2018 22:50

    Un journaliste de BFMTV sur l’Affaire Benalla : « Le porte-parole de l’Elysée a menti. »


    Mathieu Coache sur l’Affaire Benalla : « On assiste à un véritable naufrage de communication traduit par le silence de Macron. Bruno Roger-Petit a menti dans sa déclaration sur Alexandre Benalla car ce dernier n’avait pas réellement été mis à pied. »


    - BFM TV, 19 juillet 2018, 17h34


    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=gnAABMlRi4w



  • 5 votes
    BA 19 juillet 2018 13:42

    Affaire Benalla : vers une commission d’enquête parlementaire.


    Affaire Benalla : la surprenante déclaration de Nicole Belloubet.


    « La personne qui était sur cette manifestation l’a été sans autorisation. »


    Dans LE MONDE, le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron assure le contraire !


    Garde des Sceaux : « Alexandre Benalla a usurpé l’identité de la police. »


    Nicole Belloubet, garde des Sceaux, contredit le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron à l’Elysée  : « Alexandre Benalla était dans la manifestation sans autorisation et a usurpé l’identité des forces de police. »


    Une commission d’enquête parlementaire, c’est sans aucun doute ce que vont réclamer des parlementaires cet après-midi.

     

    Des élus de La France insoumise ont prévu un point presse à 14 h 30 qui portera sur une "proposition de résolution", déjà déposée le 10 juillet à l’Assemblée, "tendant à la création d’une commission d’enquête sur les conditions d’usage et de commandement des forces de l’ordre lors des événements survenus en marge de la manifestation parisienne du 1er mai".

     

    De son côté, Boris Vallaud, député (PS) des Landes, a également fait savoir que le groupe Nouvelle Gauche comptait à nouveau demander la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les événements survenus le 1er mai.


    Une première demande des députés socialistes, déposée à la suite des affrontements intervenus ce jour-là entre manifestants et forces de l’ordre, avait été repoussée par la majorité.


    https://www.youtube.com/watch?v=gQf26PNs3C4




  • 4 votes
    BA 1er juillet 2018 15:28

    Angela Merkel ne sait plus quoi faire pour éviter l’éclatement de la coalition CDU – CSU.


    Alors Angela Merkel a menti samedi : elle a dit avoir conclu des accords avec 14 pays pour leur renvoyer des migrants déjà enregistrés chez eux, dont la République tchèque et la Hongrie.


    Angela Merkel est en train de tirer ses dernières cartouches : des mensonges, encore des mensonges, toujours des mensonges.


    C’est le naufrage d’Angela Merkel.


    Varsovie dément à son tour un accord avec Berlin sur le renvoi de migrants.


    Varsovie a démenti à son tour dimanche avoir conclu un accord quelconque avec Berlin sur le renvoi vers la Pologne de migrants, comme l’ont également démenti samedi la République tchèque et la Hongrie.

    "Il n’y a aucun nouvel accord concernant l’accueil de demandeurs d’asile en provenance d’autres pays de l’Union européenne. La Pologne mène une politique d’asile très restrictive et nous ne la changerons pas", a déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère polonais des Affaires étrangères, Artur Lompart.

    Angela Merkel, sous pression dans son pays sur la politique d’asile, a annoncé samedi avoir conclu des accords avec 14 nouveaux pays pour leur renvoyer des migrants déjà enregistrés chez eux, dont la République tchèque et la Hongrie.

    Mais Prague et Budapest ont immédiatement démenti.

    "Aucune négociation entre la République tchèque et l’Allemagne sur cette question n’a eu lieu", a déclaré notamment le Premier ministre tchèque, Andrej Babis, parlant de "non-sens total".

    Bertalan Havasi, la porte-parole du Premier ministre hongrois Viktor Orban, a indiqué que la position de son pays restait "inchangée depuis 2015".

    "Aucun demandeur d’asile ne peut pénétrer sur le territoire hongrois si ce demandeur d’asile est déjà entré en Grèce ou dans un autre Etat membre" de l’UE, a souligné pour sa part Bertalan Havasi, porte-parole du Premier ministre hongrois Viktor Orban, cité par l’agence hongroise MTI.

    De son côté, Bratislava a rappelé dimanche que la chancelière allemande ne s’était pas adressée à la Slovaquie sur cette question.

    "La chancelière Merkel s’est logiquement adressée aux pays d’où viennent les migrants qui arrivent en Allemagne, c’est tout. Comme ces migrants n’arrivent pas en Allemagne depuis la Slovaquie, logiquement, la chancelière n’a pas pu s’adresser à nous. Il s’agit donc d’un non-sens absolu", a déclaré le secrétaire d’Etat Ivan Korcok, cité par l’agence CTK.

    Selon CTK, le Premier ministre slovaque Peter Pellegrini a déjà indiqué vendredi, après le sommet de l’UE, que Merkel n’avait pas évoqué avec lui un tel accord et que le nombre de personnes qui seraient concernées serait proche de zéro.


    https://www.romandie.com/news/Varsovie-d-ment-son-tour-un-accord-avec-Berlin-sur-le-renvoi-de-migrants/932460.rom



  • 3 votes
    BA 5 juin 2018 12:07

    Théo et quatre membres de sa famille placés en garde à vue pour escroquerie.


    Une enquête préliminaire avait été ouverte en juin 2016, plusieurs mois avant "l’affaire Théo".


    Théo, le jeune blessé à Aulnay au cours d’un contrôle de police en 2017, et quatre membres de sa famille ont été interpellés et placés en garde à vue pour un possible détournement de subventions, rapporte ce mardi 5 juin l’AFP, confirmant une information du Parisien.


    L’enquête, confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, avait été ouverte mi-2016, soit plusieurs mois avant l’interpellation de Théo, grièvement blessé dans la zone rectale. Quatre policiers ont été mis en examen, dont l’un pour viol, dans cette affaire qui avait connu un gros retentissement.


    678.000 euros


    L’enquête a été ouverte à la suite d’un signalement en 2015 de l’Inspection du travail concernant l’association « Aulnay Events » qui avait pour mission de faire de la médiation. Elle était présidée par un frère de Théo. C’est le fonctionnement de cette association qui intéresse les enquêteurs.


    Selon Le Parisien, la structure a perçu plusieurs centaines de milliers d’euros via des emplois aidés, dont la police s’échine à vérifier la réalité.


    "À chaque fois, les salariés étaient recrutés sous contrat d’avenir par Michaël Luhaka (le frère de Théo Luhaka, ndlr) mais n’étaient jamais payés et l’Urssaf ne percevait pas les cotisations. Sauf quand il s’agissait de proches", détaille le quotidien, qui précise que « Aulnay Events » a encaissé 678.000 euros de subventions via ce système.


    Sur cette somme, 170.000 euros ont été virés sur des comptes appartenant à des membres de la famille.


    Toujours selon Le Parisien, Théo a touché 52.000 euros via cette association.


    Le frère de Théo s’était défendu dans Le Parisien d’avoir employé des salariés fantômes. Il affirme avoir recruté en CDI plus de 30 salariés pour assurer les activités d’ « Aulnay Events », dont des membres de sa famille.


    Cette procédure "n’a aucun lien avec les faits dont j’ai été victime", avait de son côté déclaré Théo à L’Obs en juin 2017, ajoutant : "Pour ce qui concerne mon frère, c’est à lui d’en répondre".


    Le 2 février 2017, Théo, 22 ans, avait été gravement blessé lors de son interpellation à Aulnay-sous-bois. Le jeune affirme avoir été violé à l’aide d’une matraque. Le président de l’époque, François Hollande, s’était notamment rendu à son chevet.


    https://www.huffingtonpost.fr/2018/06/05/theo-et-quatre-membres-de-sa-famille-places-en-garde-a-vue-pour-escroquerie_a_23451004/

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