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  • 6 votes
    BA 23 septembre 2018 06:52

    Le 23 juin 2016, le peuple britannique vote « oui » à la sortie de l’Union Européenne.


    Depuis le 23 juin 2016, c’est le bordel. Le premier ministre britannique David Cameron a démissionné. Les ministres britanniques démissionnent les uns après les autres : David Davis, Boris Johnson. Les négociations sont hyper-tendues avec l’Union Européenne, qui ne veut rien céder. On se dirige tout droit vers un « hard brexit ».


    Conclusion :


    La France ne devra pas s’engager dans une procédure « article 50 » comme l’a fait le Royaume-Uni. La France devra sortir de l’Union Européenne de façon brutale, unilatérale, non-négociée.


    Ensuite, la France ne devra pas gaspiller son énergie à négocier pendant deux ans les détails pratiques de sa sortie. Elle devra décider en toute liberté, en toute souveraineté, à propos de ses futures relations avec les autres nations européennes, à propos des droits de douane, à propos des contrôles à ses frontières nationales, etc.





  • 2 votes
    BA 15 septembre 2018 09:55

    L’économie, c’est du pipeau.


    Aujourd’hui, l’économie, c’est des bulles de dettes, et rien d’autre.


    Toute l’économie mondiale repose sur de gigantesques bulles de dettes.


    Mais il n’y a pas que la dette publique qui gonfle comme une gigantesque bulle de savon. Il y a aussi la dette privée.


    Aux Etats-Unis, la dette privée atteint des proportions délirantes. Dette immobilière, dette automobile, dette étudiante, dette des cartes de crédit, … la dette privée dépasse les 13 293 milliards de dollars ! Record historique battu !


    Samedi 15 septembre 2018 :


    Dix ans après Lehman Brothers, la dette des ménages américains explose.


    L’endettement des ménages outre-Atlantique dépasse les 13.293 milliards de dollars et ne cesse d’enfler, porté par une économie vigoureuse. Mais une décennie après la crise des subprimes, certains observateurs s’en inquiètent.


    Il y a dix ans éclatait la bulle des crédits immobiliers « subprime », avec pour point culminant la faillite de la banque new-yorkaise Lehman Brothers, précipitant l’économie mondiale dans l’une des pires crises financières de son histoire. Depuis, l’appétit des ménages américains pour le crédit n’a pas diminué, bien au contraire.


    D’après un récent rapport de la Fed de New York, la dette totale des ménages outre-Atlantique a augmenté de 82 milliards de dollars au deuxième trimestre pour atteindre 13.293 milliards. Un niveau qui se situe au-dessus du précédent sommet de 12.680 milliards de dollars enregistré…au troisième trimestre 2008.


    Cette situation, qui semble logique au regard du mode de consommation américain et de la vigueur de l’économie outre-Atlantique, inquiète toutefois certains observateurs qui voient se former des bulles susceptibles d’exploser. Explications.


    La dette immobilière


    L’immobilier avait été le point de départ de la crise de 2008. L’effondrement des prix dans ce secteur, couplé à une remontée des taux directeurs, avait poussé les ménages fragiles au défaut sur leur crédit hypothécaire. La dévalorisation des actifs adossés à ces prêts immobiliers à risque avait ensuite plombé les comptes des banques, précipitant la plupart des économies mondiales dans une crise profonde. Aujourd’hui, la dette immobilière des ménages américains est plus élevée que jamais, à 9000 milliards de dollars. Mais le danger semble écarté, selon la Fed. Le taux de défaillance des prêts hypothécaires n’atteint plus que 1,1%. « Le marché immobilier s’est assaini depuis la crise de 2008. Les banques sont plus regardantes », explique au Figaro Vincent Juvyns, stratégiste chez JP Morgan AM.


    • La dette automobile


    C’est l’un des postes d’endettement qui inquiète le plus les analystes. Les encours totaux de ces prêts aux États-Unis s’élèvent à 1240 milliards de dollars. Et ils sont en progression constante depuis six ans, constate la Fed. Sur le seul deuxième trimestre, ils ont augmenté de 9 milliards de dollars. « Depuis la crise, il y a eu différents plans pour soutenir le secteur. On a sans doute un peu forcé l’achat, sans être très regardant sur le profil des emprunteurs », note Vincent Juvyns. Des prêts automobiles ont ainsi été octroyés à des ménages peu solvables. Ils portent d’ailleurs un nom : les « subprime auto loans »... Dans une note alarmiste publiée l’an dernier, la Fed constatait que « les prêts subprime sont accordés de façon disproportionnée par les sociétés de financement automobile, et leur part a doublé depuis 2011 ». L’encours de cette dette à risque s’établit maintenant à environ 300 milliards de dollars, soit environ 25% des encours totaux des prêts automobiles. La Fed chiffre à plus de 23 millions le nombre de consommateurs détenant ces emprunts à risque.


    Plus inquiétant encore : ces ménages ont de plus en plus de mal à rembourser leur dette. « Depuis 2011, le taux global de défaillance des prêts consentis par les sociétés de financement automobile s’est considérablement détérioré », déplore la Réserve fédérale. Or, comme pour l’immobilier en 2008, ces prêts à risque sont titrisés et redistribués aux investisseurs à travers divers instruments financiers. Ce qui fait craindre le pire à de nombreux observateurs...« Il s’agit d’un domaine d’endettement des ménages que nous surveillons depuis un certain temps déjà, et que nous continuerons de surveiller », prévient la Fed. « Le danger existe et il est connu des investisseurs. C’est un risque assumé », concède-t-on chez JP Morgan.


    • La dette étudiante


    Emprunter pour étudier constitue la norme pour les Américains. Mais à 1410 milliards de dollars, la dette qu’ils ont contractée à ce jour atteint des sommets de plus en plus inquiétants. Son niveau ne cesse de grimper, tiré vers le haut par des frais d’inscriptions en augmentation. Aujourd’hui, les jeunes actifs américains débutent leur vie avec un crédit d’environ 30.000 dollars à rembourser. Un fardeau dont ils peinent souvent à se débarrasser. Outre-Atlantique, certains retraités n’ont même pas encore fini de rembourser leur prêt étudiant ! La pression est telle que, selon le think-tank, Urban Institute, plus d’un million de détenteurs d’un prêt étudiant font défaut chaque année. Et d’ici 2023, près de 40% de ces emprunteurs seront en défaut de paiement. En mars dernier, Jerôme Powell, patron de la Fed, affirmait que la multiplication de ces défauts pouvait à terme freiner l’économie américaine. Mais pas de quoi déclencher une crise systémique pour autant, assure JP Morgan. « La dette étudiante représente seulement 10% du volume de crédit des ménages. Ce n’est pas assez fort pour déclencher une crise comme en 2008. Mais on peut quand même s’alarmer de sa dimension. Cela ajoute du tourment à une génération déjà en difficulté. Des mesures doivent être prises pour rendre cette dette soutenable », affirme Vincent Juvyns.


    • La dette des cartes de crédit


    Les Américains restent très attachés à leur carte de crédit. L’encours global des dettes qui y sont liées atteint 829 milliards de dollars, un chiffre en progression de 14 milliards sur le seul deuxième trimestre de 2018. Selon une récente étude du comparateur CardHub, les ménages détenteurs de ce type de carte sont en moyenne endettés à hauteur de 8332 dollars. Un niveau jugé « insoutenable ». Le taux de défaut sur cette dette est d’ailleurs en augmentation. « Il y a une détérioration sur ce front, constate Vincent Juvyns, mais il faudrait une récession économique avec un taux de chômage en hausse et des revenus en baisse pour que cela devienne inquiétant. Or, aujourd’hui, c’est l’inverse ».


    Pas de panique mais...


    D’après Vincent Juvyns, l’endettement global des ménages américains ne représenterait à ce stade pas de danger immédiat. « La charge de la dette a baissé avec les taux bas. Et le patrimoine des ménages américains est à un niveau historique. Leur capacité de remboursement est élevée. Dans les prochains mois, nous avons du mal à imaginer qu’il y aura une récession aux États-Unis qui serait susceptible d’inverser cette situation », explique-t-il. Mais il l’admet : « en cas de retournement de cycle, il faudra pouvoir se retourner. Et il faut bien se rendre compte que la dette ne peut pas croître ad vitam aeternam ».


    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/15/20002-20180915ARTFIG00010-dix-ans-apres-lehman-brothers-la-dette-des-menages-americains-explose.php#xtor=AL-201




  • 3 votes
    BA 2 septembre 2018 08:18

    Rien, ni personne, ne peut vaincre la démographie de tout un continent.

    La démographie du continent africain explose. Durant le XXIe siècle, les jeunes hommes du continent africain vont arriver en masse sur le continent européen.

    Rien, ni personne, ne peut vaincre les invasions barbares.

    L’Empire romain a connu ça durant le Ve siècle.

    L’Union Européenne va connaître ça durant le XXIe siècle.

    Rien, ni personne, ne pourra empêcher l’anarchie, le chaos, durant le XXIe siècle.

    Le graphique ci-dessous explique les guerres qui vont arriver chez nous, sur le continent européen :

    L’Afrique tire la croissance démographique mondiale :


    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/media_large/public/me dia/demographie3_2.png?itok=l1itvQrP




  • 1 vote
    BA 2 septembre 2018 08:17

    Agnès Saal aurait bénéficié d’une seconde promotion dans la plus grande discrétion.


    Nommée haut fonctionnaire du ministère de la Culture courant août, Agnès Saal aurait au passage été élevée à l’échelon spécial d’administrateur général, moyennant une généreuse contrepartie financière, selon Mediapart. 


    Le 30 août, le Bulletin quotidien révélait que l’ex-présidente de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) Agnès Saal avait été nommée haute fonctionnaire à l’égalité, la diversité et la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la Culture. Un poste d’une durée de trois ans qui prend effet ce samedi 1er septembre.


    La nouvelle a depuis fait grand bruit, eu égard au passé sulfureux d’Agnès Saal, suspendue de l’INA en avril 2015 pour ses notes de taxi jugées excessives (50 000 euros) et condamnée à trois mois de prison avec sursis.


    Mais l’histoire ne s’arrêterait pas là, selon Mediapart, qui révèle qu’au passage, elle a été inscrite "à compter du 1er janvier 2018, donc rétroactivement, au tableau d’avancement à l’échelon spécial du grade d’administrateur général". 


    10% d’augmentation


    Or, cette inscription n’est absolument pas automatique et n’accompagne pas tout avancement de cet ordre dans la fonction publique. Elle relèverait au contraire d’une décision de l’employeur du fonctionnaire en question : en l’occurrence, le ministère de la Culture. 


    Le fonctionnaire qui en bénéficie atteint le sommet de l’échelon D de la fonction publique, juste en-dessous du stade le plus élevé, le E, réservé aux inspecteurs des finances. Et récolterait, aussi, une généreuse contrepartie financière, équivalant à environ 10 % du traitement annuel du fonctionnaire mais aussi de ses indemnités retraite, selon Mediapart. 


    https://www.bfmtv.com/politique/agnes-saal-aurait-beneficie-d-une-seconde-promotion-dans-la-plus-grande-discretion-1515692.html





  • 1 vote
    BA 24 août 2018 09:58

    Rien, ni personne, ne peut vaincre la démographie de tout un continent.

    La démographie du continent africain explose. Durant le XXIe siècle, les jeunes hommes du continent africain vont arriver en masse sur le continent européen.

    Rien, ni personne, ne peut vaincre les invasions barbares.

    L’Empire romain a connu ça durant le Ve siècle.

    L’Union Européenne va connaître ça durant le XXIe siècle.

    Rien, ni personne, ne pourra empêcher l’anarchie, le chaos, durant le XXIe siècle.

    Le graphique ci-dessous explique les guerres qui vont arriver chez nous, sur le continent européen :


    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/media_large/public/me dia/demographie3_2.png?itok=l1itvQrP


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