• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

BA

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 576 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 2 votes
    BA 24 juillet 2018 08:49

    A propos des nombreux mensonges de l’Elysée :


    Affaire Benalla : l’audition du directeur de l’ordre public ébranle la version de l’Elysée.


    Jusqu’ici c’était le caractère dérisoire selon certains de la punition qui avait suscité sur ce plan la polémique, même si Bruno Roger-Petit avait déclaré qu’il s’agissait là de "la sanction la plus grave jamais prise contre un chargé de mission travaillant à l’Elysée".


    Mais l’audition par la commission des lois de l’Assemblée nationale ce lundi soir d’Alain Gibelin, directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police, a semé le doute dans les esprits sur la réalité même de la suspension.


    En effet, à travers les réponses qu’il a apportées aux questions de Marine Le Pen, Alain Gibelin, qui a également souligné que la présence du chargé de mission élyséen Place de la Contrescarpe le 1er mai n’était pas régulière, a indiqué qu’Alexandre Benalla avait participé à des réunions préparatoires à des déplacements d’Emmanuel Macron tout au long la première quinzaine de mai. 


    La députée élue dans le Pas-de-Calais a d’abord interrogé le haut-fonctionnaire de la manière suivante :


    "Nous avons bien compris, vous nous l’avez expliqué tout à l’heure, qu’il y avait des réunions en amont pour préparer des grands événements dans lesquels le président de la République a vocation à se déplacer dans Paris, que vous n’y étiez pas à titre personnel mais que l’intégralité de vos services étaient présents. J’aimerais juste savoir s’il y a eu une réunion de ce type entre le 2 et 18 mai ?"


    Laconiquement, Alain Gibelin a répondu  : "Oui, très certainement".


    La parlementaire a relancé : "Comme vous nous avez indiqués tout à l’heure que monsieur Benalla était présent à l’intégralité de ces réunions, il ne vous est pas apparu qu’un jour monsieur Benalla n’était pas présent à l’une des réunions qui ont pu avoir lieu entre le 2 et le 18 mai ?"


    Le directeur de l’ordre public a alors développé, avec davantage de détails : "Non. Et je répète que la sanction prise à l’encontre d’Alexandre Benalla à aucun moment n’a été porté ni à ma connaissance, ni à celle de mes collaborateurs."


    La présidente du Rassemblement national a tiré les conclusions de ces éléments : "Nous avons bien compris que personne ne vous avait informé de cette sanction mais vous venez, par la réponse que vous venez de m’apporter, de m’indiquer que cette sanction n’a en réalité pas été appliquée puisqu’il y a eu des réunions entre le 2 et le 18 et monsieur Benalla était présent avec vos services ?"


    "Oui", a simplement rétorqué Alain Gibelin. 


    La version de l’Elysée apparaît une nouvelle fois fragilisée. 


    https://www.bfmtv.com/police-justice/l-audition-du-directeur-de-l-ordre-public-remet-en-cause-la-realite-de-la-suspension-d-alexandre-benalla-1494103.html





  • 4 votes
    BA 22 juillet 2018 15:00

    Une accusation terrible. Il faut penser que le journal de Joffrin disposait d’éléments pour la lancer.

    Lors du scandale du Watergate, le Washington Post eut la peau de Richard Nixon. Pour le protéger ses proches mentaient et leurs mensonges s’effondraient les uns après les autres. C’est que le journal américain avait une source haut placée qui l’informait. Son nom de code : « Gorge Profonde ».


    À l’Élysée, ou place Beauvau, il y a une « Gorge Profonde » qui renseigne les journaux. Le Monde, d’abord. On n’imagine pas un seul instant que sans son aide ce journal aurait pu identifier la brute qui frappait un manifestant à terre.


    Gérard Collomb, prétendument au courant de rien, ment.


    Bruno Roger-Petit ment. Les services de l’Élysée mentent. Et comme lors du Watergate, leurs mensonges s’effondrent les uns après les autres.


    Maintenant c’est Libération qui, à son tour, bénéficie de l’aide providentielle de « Gorge Profonde ». Il faut lire attentivement l’éditorial que Laurent Joffrin consacre à l’affaire. Il note – et c’est l’évidence » - qu’Emmanuel Macron est protégé par des dizaines de policiers spécialisés. Quel besoin avait-il d’un Alexandre Benalla ? Sauf à ce qu’il rende des services particuliers…


    Une preuve parmi d’autres : le boulet de l’Élysée habite dans une résidence appartenant à la présidence de la République. Une autre preuve : il accompagne toujours Macron dans ses déplacements privés, à la mer, à la montagne….


    Puis dans l’article vient le clou qui s’enfonce dans le cercueil du chef de l’État. Voici la phrase qui explique ce que Joffrin appelle « le mystère Benalla » : « Parce que c’est un proche qui a rendu tant de services ou qui en sait trop ? Hypothèses redoutables ».


    Redoutables en effet. Joffrin subodore, laisse entendre, procède par allusions. Le directeur de Libération doit savoir des choses que nous ignorons encore. Nous attendons avec impatience la prochaine livraison de « Gorge Profonde ».


    PS : Et le Journal du Dimanche révèle qu’après l’éclatement de l’affaire, Macron a téléphoné à Benalla ! Quand on vous disait qu’ils étaient proches, très proches…


    http://www.atlantico.fr/decryptage/affaire-benalla-et-liberation-enfonca-dernier-clou-dans-cercueil-macron-benoit-rayski-3459549.html



  • 4 votes
    BA 21 juillet 2018 09:08

    Arrêtez de critiquer Benalla !

    C’est quand même lui la première dame de France !



  • 1 vote
    BA 21 juillet 2018 00:18

    Benalla est à Macron ce que Anne Pingeot était à François Mitterrand !


    Alexandre Benalla est logé dans une dépendance de l’Élysée.


    L’appartement se trouve quai Branly, dans le très chic 7e arrondissement de Paris.


    Le quotidien Le Monde affirme que le futur ex-monsieur sécurité de l’Élysée a déclaré ce nouveau domicile à l’administration deux mois après sa mise à pied, soit début juillet. Auparavant, il habitait à Issy-les Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine.


    Le Monde précise que l’Élysée dispose de 63 logements de fonction, d’une superficie totale de 5.000 m2, dans plusieurs immeubles situés quai Branly. C’est notamment là que François Mitterrand avait logé sa maîtresse Anne Pingeot et leur fille Mazarine.


    https://actu.orange.fr/politique/alexandre-benalla-est-loge-dans-une-dependance-de-l-elysee-magic-CNT0000014U6RC.html



  • 2 votes
    BA 20 juillet 2018 16:03

    Silence de l’Elysée : "Peut-être qu’Alexandre Benalla a des dossiers sur Emmanuel Macron."


    Mis à part la brève intervention du directeur de la communication et la petite phrase d’Emmanuel Macron qui balaie la question, c’est le silence radio du côté de l’Executif concernant l’affaire Benalla. Une mauvaise stratégie selon plusieurs spécialistes de la communication.


    Comment l’Elysée aurait dû réagir face à la tourmente que provoque l’affaire Benalla. Pour Patricia Chapelote, experte en communication de crise, il est étonnant que rien n’ait été fait en amont :


    "Quand on est au cabinet du président de la République et que ces événements arrivent, on sait qu’un jour ou l’autre cela va arriver dans les médias. Peut-être aurait-il fallu régler le problème avant et le rendre public pour éviter l’espèce de stupeur qu’il y a aujourd’hui".


    "C’est vrai que le sentiment d’avoir caché pendant quelques mois cette affaire ne donne jamais des bons signaux en matière de communication. C’est un peu déstabilisant et les Français ont le sentiment qu’il y a deux poids, deux mesures", explique la Présidente du cabinet d’influence Albera.


    Même son de cloche pour le professeur en communication Philippe Moreau Chevrolet : "Le silence de l’Elysée dans une affaire comme ça, il est incompréhensible. C’est désastreux. On a besoin d’explications, on a besoin de savoir que c’est géré, qu’il y a quelqu’un capable de sanctionner les manquements à la règle".


    "Ne pas parler cela veut dire que l’on a peut-être couvert les événements, que l’on a peut-être quelque chose à cacher. Peut-être qu’on est tenu par la personne qu’on devrait dénoncer et qu’Alexandre Benalla a des dossiers sur Emmanuel Macron. C’est ça qui se dit en coulisses, et c’est ça qui est insupportable parce que dans un régime comme La République en Marche basé sur l’exemplarité, tout fonctionnait bien. Il y avait besoin de réconcilier la classe politique avec les Français et là on revient 10 ans en arrière", a-t-il assuré.


    https://rmc.bfmtv.com/emission/silence-de-l-elysee-peut-etre-qu-alexandre-benalla-a-des-dossiers-sur-emmanuel-macron-1492445.html


Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité