Onfray n’usurpe pas son titre de philosophe puisqu’il m’amène précisément à faire ce que la discipline induit. Quand BHL nous énonce ce qu’il est bon de penser, Onfray nous expose ce que lui pense et ce qui sert finalement de matière à la réflexion. C’est quelqu’un qui supporte le dialogue et ne cherche pas à dicter tel le penseur maître à son élève considéré comme trop bête pour réfléchir lui même (ce que fait BHL).
Alors oui, Onfray est un philosophe au sens le plus strict et le plus étymologique du terme.
Je n’imagine de toute façon pas une seconde que cette considération puisse être comprise et/ou réclamé par quelqu’un comme toi qui a une si piètre qualité d’argumentation.
Le théorie du mécanisme hydraulique tient la route maintenant ça ouvre d’autres questions. Que peut bien contenir la pièce secrète si le monument dans son ensemble n’est pas un tombeau ? La Grande galerie avait quelle vocation pour être réalisée dans ces proportions ? Si ce n’est pour être un sarcophage, à quoi sert ce qui est considéré comme tel ? Comment considérer l’ouvrage dans une vue d’ensemble plus globale du site ?
La nature même d’une chose qui pousse à s’interroger doit être perçue comme nécessaire. C’est en ouverture ce que je considère comme juste à la lecture des vidéos de Philippe Lheureux.
Le dogme carcérale constituée par la "vérité" officielle nuit à ce qu’un esprit doté d’honnêteté intellectuelle peut attendre. Il ne s’agit pas de ne pas croire, ou de réfuter mais bien de condamner la pratique qui vise à repousser toute tentative d’ouverture de ce qu’il faut considérer comme acquis.
Un cercle est un cercle jusqu’à ce qu’on perçoive une mise en relief qui nous le fait en réalité apparaitre comme une sphère.
La théorie du tombeau de fait tient difficilement la route si on ne retrouve aucune manifestation funéraire et pour croire et étayer des allégations il faut un minimum plus que du fantasme ou du dogme auquel s’accrocheront mordicus les garants de la "vérité".
La terre est plate et on sanctuarisera dans la douleur cette vérité si d’aventure elle devait être remise en question.
Je souhaite bon courage à Philippe L. dans l’établissement de ses théories qui ont le mérite, appréciable, de penser qu’en matière de théorie historique rien n’est acquis et tout doit être réévalué au fil de l’évolution des connaissance.