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Anthony Michel

Anthony Michel

Auteur éditeur d'abord des aventures de Toni Truand (romans argotiques d'espionnage) puis d'essais décalés (Antoine Chimel) puis d'essais ésotériques, philosophiques et politiques :
Résigné et Révolté  ;
L'aNarque, l'Homme-anarchie ;
La Confiance en l'Esprit.

Auteur du projet nommé Les Cahiers d'un Anarchiste conservateur

Plus d'infos sur ses parutions : site de vente | Les livres d'Anthony Michel

« Pour toute info sur mes ouvrages, travaux d'écriture et actions,
n'hésitez pas à me contacter à l'adresse suivante : [email protected] »

Tableau de bord

  • Premier article le 13/06/2015
  • Modérateur depuis le 27/08/2015
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Anthony Michel Anthony Michel 25 juin 2015 20:07
    Vous avez apparemment bloqué sur l’expression « anarchisme conservateur » qui — comme le fait Jean-Louis Prat, contributeur à la revue du M.A.U.S.S. dans un article intitulé Orwell et Swift à propos des idées politiques du célèbre auteur anglais feu George Orwell — peut être considéré davantage comme un tempérament politique que comme un positionnement politique. En ce qui me concerne néanmoins, mon propos en la matière cherche, il est vrai, à déterminer une éthique plutôt précise de l’anarchisme conservateur, débouchant sur des positionnements politiques tranchés. Mais je ne détaille rien là-dessus pour le moment. Car, à cause de votre propos sans aucun argument — le limitant à de petites piques qui sont alors comparables à des coups d’épée dans l’eau —, vous ne m’avez pas donné l’envie de vous prouver quoi que ce soit. 
    Je vous invite donc — afin d’honorer l’esprit critique conséquent et le vrai débat d’idées — à aiguiser votre critique avec un minimum d’arguments.


  • 1 vote
    Anthony Michel Anthony Michel 14 juin 2015 11:59

    @Lord Voldemort 

    Je pense, en effet, à quelqu’un. Et j’en profite pour dire que le film Queimada (avec Marlon Brando, et une super musique du maître Ennio Morricone) est exceptionnel. Même si le montage laisse un peu à désirer, ce film est une référence scénaristique — et cela colle, dans un sens, au sujet de l’article si l’on reconnaît une paternité de l’Empire britannique (abordé dans le film) vis-à-vis de l’Empire nord-américain — en matière de dénonciation de l’impérialisme, avec son ensemble de techniques de manipulation et d’arrangements économiques et militaires.



  • 1 vote
    Anthony Michel Anthony Michel 13 juin 2015 11:39
    Une preuve n’est jamais à court d’arguments. Autrement dit, en ajouter pour appuyer le phénomène reste intéressant même si, bien sûr ensuite, il faut faire attention à la mise en forme.
    J’ai voulu faire ici un article particulièrement informatif, c’est-à-dire sans trop émettre de parti pris — bien que quand même je dise ce que je pense en début d’article — dans la mesure où le lecteur est « assez grand » pour tirer certaines conclusions. Alors, ce n’est pas toujours cette « option » que je choisis.
    Pourquoi avoir choisi celle-ci ici ? Car on peut émettre des doutes sur les intentions de l’Empire nord-américain dans les années 1980. Avait-il prévu le contre-coup terroriste du siècle futur ? Pas sûr. La bonne foi d’Hilary Clinton me laisse penser à deux options : soit les élites impérialistes avaient prévu et Clinton est l’une des seules à avoir été un peu naïve « dans l’affaire » soit c’est un pan particulièrement important de ces élites qui n’avait pas prévu et/ou se sont dits quelque chose du genre « on verra bien ». Au risque d’être vu comme un peu naïf — j’essaie juste d’être raisonnable —, j’avoue douter que certaines choses puissent être géopolitiquement préparées vingt ans en avance. Même si on parle parfois d’hégémonie pour le qualifier, l’Empire nord-américain ne contrôle manifestement pas certains pôles politiques et nationaux de la modernité (Russie, Chine) et ne peut/pouvait donc pas tout prévoir (ce qui n’empêche pas de juger que ce qu’il semble prévoir arrive en général).


  • vote
    Anthony Michel Anthony Michel 12 juin 2015 01:56

    @Éric Guéguen

    Je n’ai pas d’avis tranché concernant l’état de nature, je serais plutôt d’accord avec vous (et avec Proudhon). Aussi, je trouve intéressante l’approche de Jean-Jacques Rousseau. A noter que, contrairement à ce qui est dit parfois, Rousseau ne croyait pas l’homme bon par nature. J’ai tenté d’expliquer ça dans le dossier suivant : http://anthonymichel.fr/rousseau.htm

    J’ai compris, je crois, que vous dénonciez l’oligarchie occidentale — soient, plus « correctement » dit, les « démocraties européennes » — profitant de la tentation humaine et naturelle — et donc universelle ? — à la paresse et au conformisme (ou à un mixte des deux). Je méditerai là-dessus.

    J’en profite, pour l’heure, pour faire partager cet extrait d’entrevue de Jean-Claude Michéa (pour les Inrockuptibles le 18 mai 2014) qui rappelle deux intéressants concepts étasuniens, le soft power et le hard power, se rapprochant de ce qu’on dit sur l’endogénéité et l’exogénéité sociétale : « Le concept de soft power a été avancé par Joseph Nye en 1990 dans le cadre de ses réflexions sur les nouvelles formes de la puissance américaine. L’intérêt de ce concept – aussitôt repris par Collin Powell et les théoriciens du Pentagone – est de nous rappeler que les progrès planétaires du capitalisme s’expliquent aujourd’hui beaucoup moins par l’usage direct de la force et de la coercition (ce que Nye appelle le « hard power ») – usage qui n’a évidemment pas disparu – que par le pouvoir de séduction qu’exercent son imaginaire consumériste et son omniprésente propagande publicitaire. Il n’est effectivement pas nécessaire de mettre un policier derrière chaque adolescent moderne pour l’obliger à boire du Coca-Cola ou à mettre sa casquette de baseball à l’envers ! »



  • vote
    Anthony Michel Anthony Michel 12 juin 2015 01:26

    @Éric Guéguen

    Oui, Orwell est un peu à la mode ces temps-ci, et c’est tant mieux.

    A noter, récemment, la création du Comité Orwell pour défendre le pluralisme et la vraie liberté d’expression dans le débat médiatico-politique.

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