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Étirév

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    Étirév 14 mai 2021 17:57

    Laurent Alexandre, n’est-ce pas le prosélyte du transhumanisme qui, dans « Le Monde » du 03/11/2015, disait ceci : « Dieu n’existe pas encore : il sera l’homme de demain, doté de pouvoirs quasi infinis grâce aux nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier notre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort. »
    C’est toujours la même vieille tentation : convaincre les hommes de renoncer à leur autonomie, à leur singularité, à leur différence.
    À l’ère des machines et de l’informatique, beaucoup se prennent pour des robots. Or, les robots ne vivent pas. Ils n’ont pas d’intériorité. Ils ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent à l’instar de ce dégénéré d’Alexandre qui n’a même pas besoin d’être robotisé pour perdre son autonomie : sa bêtise suffit amplement à ses maîtres.



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    Étirév 6 mai 2021 10:34

    Il ne s’agit pas d’une simple crise, mais d’un cycle qui passe le relais à un autre, de manière simultanée.
    Ne sommes-nous pas arrivés à cette époque redoutable annoncée par les Livres sacrés de l’Inde « où les castes seront mêlées, où la famille même n’existera plus » ? Il suffit de regarder autour de soi pour se convaincre que cet état est bien réellement celui du monde actuel, et pour constater partout cette déchéance profonde que l’Évangile appelle « l’abomination de la désolation ».
    Il ne faut pas se dissimuler la gravité de la situation ; il convient de l’envisager telle qu’elle est, sans aucun « optimisme », mais aussi sans aucun « pessimisme », puisque la fin de l’ancien monde sera aussi le commencement d’un monde nouveau. (René Guénon, La Crise du monde moderne)

    BLOG



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    Étirév 29 avril 2021 14:00

    « En hébreu, l’Allemagne se dit « Achkenaz ». Un Allemand est un Achkenazi. Dans « Achkenazi », il y a le mot « nazi ». Qu’est-ce que « Ach » et ce « K » ? « Asch », c’est le feu. « K », indique le contenant, la similitude. Le mot biblique qui dit « Achkenaz » avertit que le feu sera dans la structure quand le nazi surgira. Cette indication prend toute sa grandeur quand on se souvient qu’Hitler gouvernait le troisième Reich. « Reich », c’est « Rosch », « Resh » ou « Raïs », c’est-à-dire « Tête ». L’avènement d’Hitler consacrait donc un renseignement évolutif de première signification pour un homme de connaissance. » (D. Aubier, Réponse à Hitler ou/et la mission juive)
    EXÉGÈSE



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    Étirév 24 avril 2021 10:24

    La Russie était tombée dans un état lamentable quand apparut la grande Catherine II, qui fut pour son pays une sorte de Providence vivante, une rénovatrice de la vie intellectuelle, morale, matérielle.
    A ce moment, le pays était livré à l’ignorance, au luxe, à la grossièreté. Cela faisait une société où le désordre allait de pair avec le pouvoir.
    Il fallut une femme pour arranger tout cela.
    Catherine fut d’abord une femme malheureuse ; c’est cela qui la grandit et lui donna la connaissance de la nature humaine. « Mes deux maîtres, disait-elle, furent l’isolement et l’adversité. » Pendant 18 ans, elle vécut ainsi, isolée et désolée. Abandonnée de son époux Pierre III, qui passait ses journées à jouer avec des poupées et des soldats, et ses nuits dans des orgies immondes, Catherine fut à bonne école pour étudier l’homme. N’étant encore que fiancé, ce prince absurde et cynique se plaisait à entretenir la jeune fille qui allait devenir sa femme, de ses maîtresses et de ses intrigues amoureuses.
    C’est pendant que son mari s’amusait, que Catherine employait son temps à étudier la Russie, cette nouvelle patrie sur laquelle elle, princesse allemande, allait régner. Elle lisait, étudiait, cherchait, se rendait compte de toutes choses ; c’était le temps des idées nouvelles, elle connaissait les œuvres de Montesquieu, de Bayle, de Voltaire, de Rousseau, et s’assimilait l’esprit du siècle, qui du reste était le sien. Elle s’appliqua très sérieusement à devenir une grande souveraine, et ses efforts furent couronnés par l’attachement profond que le peuple russe lui témoigna pendant les 34 années de son règne. La Russie tout entière l’appelait sa « Mère ». Ce fut une véritable restauration du régime féminin.
    Dans des notes qu’elle laissa et qu’elle écrivait dans sa solitude, on trouve ces phrases :
    SUITE



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    Étirév 22 avril 2021 09:04

    Lorsque des dégénérés s’offrent un « bal masqué » ritualisant Éros et Thanatos, il est du devoir des Esprits libres d’interrompre la « fête ».

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