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Étirév

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Derniers commentaires




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    Étirév 30 janvier 2021 09:58

    Tant qu’il faudra choisir un camp, tant que l’on ne sortira pas de ce dualisme systématique et source des nombreuses et perpétuelles discordes entre les hommes, on ne pourra trouver aucun recours à la Paix.
    Les « diviseurs » pour mieux régner le savent.
    Ce sont toujours les jeunes qui constituent la majorité de ses « ultras ». Or, la jeunesse est l’âge de toutes les sottises et de toutes les exactions. Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse. Aussi, elle est le bras séculier de tous les despotes, la matière première de tout militantisme extrême.
    « Dans notre société démocratique et humaniste, on encense la jeunesse alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle. », nous rappelle Louis Pauwels.

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    Étirév 28 janvier 2021 11:08

    La monarchie française, telle que nous la connaissons, nous vient de l’Empire romain, qui le tenait lui-même d’Alexandre le Grand, le vrai fondateur de toute sottise monarchique : l’idée du roi moderne, la cour et l’étiquette, nous viennent de lui.
    La conquête de la Gaule par césar laissa comme trace de son passage les luttes féodales, basées sur l’ambition et le despotisme de l’homme qui ne reconnaît plus aucune loi morale, puis les dissensions autour du principe de la monarchie dynastique, imitation de l’empire romain, qui firent régner pendant quinze siècles la barbarie latine sur le sol où s’étaient développées jadis, dans le calme et la sécurité, les Républiques Celtiques.
    L’unité des grands Etats sous un chef despote n’est pas un progrès, cela ne crée pas une civilisation, c’est un asservissement général, une décadence.
    La civilisation est dans le morcellement des Etats, dans les petites républiques confédérées et gouvernées chacune par la plus haute puissance spirituelle qui y fait régner la vérité, la justice, le bien de tous. Une unité fédérative de tous les Etats du monde dans la vérité définitivement acquise, voilà le progrès, voilà la base de la grande civilisation, de la prospérité et du bonheur des Nations.
    Mais le pouvoir de la force et de l’audace ou du hasard de l’hérédité centralisée en une seule main (Nouvel Ordre Mondial), qui peut être despotique ou imbécile (Sarkozy, Hollande, Macron, etc.) c’est une cause de ruine, de souffrances générales et de guerres perpétuelles.
    Rappelons que toutes les guerres de César ne sont qu’une suite d’attaques continuelles et d’attentats contre la vie et les biens de gens innombrables et inoffensifs, honnêtes et paisibles.
    Mais France n’a pas connu que des Rois.
    Après le départ des Romains, la Gaule fut envahie par des étrangers qui y apportèrent un nouveau ferment de révolte masculine.
    C’est ainsi que, vers l’an 241, on trouve tout à coup des peuples du Nord appelés Francs.
    Ce mot n’appartenait à aucune langue du pays. Il venait de frei et signifiait les fracasseurs, ceux que rien n’arrête.
    Mais les Francs comprennent deux peuples et deux partis : les Francs-Saliens (masculinistes), ainsi nommés parce qu’ils viennent de l’Yssel ou Sala, et les Francs-Ripuaires (féministes), qui viennent des bords du Rhin, de Cologne et d’une partie de la Belgique.
    Leurs chefs avaient un Roi suprême, ou roi inamovible, qui n’était autre qu’une Reine.
    Leurs prêtres étaient supérieurs aux chefs (petits rois), mais ils obéissaient au Roi des Rois (la Reine), appelé « si-nist ».
    Voyons ce qu’était ce Roi des Rois.



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    Étirév 22 janvier 2021 17:02
    Le Monde Ancien a pris fin avec le triomphe du Catholicisme au Concile de Nicée.
    Le Monde Moderne commence.
    Entre les deux, une époque de transition :
    Le Moyen Âge, que l’histoire classique fait commencer à la mort de Théodose le Grand (395) et termine à la prise de Constantinople par les Turcs (1453).
    Ces divisions n’ont pas de valeur pour nous. Ce qui nous intéresse, c’est de savoir comment à l’ancien gouvernement féminin va succéder le gouvernement masculin. Nous allons en étudier les péripéties. Il s’agit surtout de DÉVOILER l’histoire de la Femme en lutte avec l’Église, depuis le Concile de Nicée jusqu’à la Révolution française.
    Nous l’avons spécialement étudiée en France parce que c’est pour nous l’histoire la plus connue.


  • 1 vote
    Étirév 20 janvier 2021 11:59

    Camélia Jordana, tout comme Lilian Thuram et bien d’autres encore, fait preuve d’ignorance mais aime les « projecteurs ».

    Noirs et blancs : aux sources des premières luttes.

    Dès que ces hommes de races diverses furent mis en contact, des rivalités se manifestèrent. La race noire, qui avait mûri plus vite que les autres dans les régions de l’Equateur, était entrée dans la vie à une époque où la race blanche possédait encore la pureté de l’enfance. Cela causa aux blancs hyperboréens de l’horreur pour cette race, en même temps que la couleur noire de la peau des nègres les dégoûtait.

    Fabre d’Olivet croit que la race noire fut appelée « Suthéenne » et que les blancs firent de leur pays le domicile de l’esprit infernal, appelé pour cette raison « Suth » ou « Soth » par les Égyptiens, « Sath » par les Phéniciens, et « Sathan » ou « Satan » par les Arabes et les Hébreux. Ce nom a servi de racine à celui de « Saturne » chez les Étrusques, et de « Sathur », « Suthur » ou « Surthun » chez les Scandinaves, divinité terrible ou bienfaisante suivant la manière de l’envisager. C’est du celte saxon « Suth » que dérivent l’anglais « South », le belge « Sugd », l’allemand et le français « Sud ». Ce mot désigne proprement tout ce qui est opposé à l’élévation, tout ce qui est bas, tout ce qui sert de base ou de siège. Le mot « sédiment » en dérive par le latin « sedere » qui, lui-même, vient du celte saxon « sitten », en allemand « stizen », « s’asseoir » (Fabre d’Olivet, L’Etat social de l’homme).

    Donc, d’après cette doctrine de d’Olivet, la première lutte des hommes avait été celle des Sudéens contre les Boréens, des noirs contre les blancs.

    Les noirs sont plus forts que les blancs parce qu’ils sont plus avancés dans l’évolution sexuelle.

    Mais les Boréens ont une supériorité morale, ils sont purs, alors que les noirs sont les impurs.

    Et c’est ce qui explique que le mot Boréen est devenu un titre d’honneur, dont on a fait « Baron » en Europe. Le titre de Barons et de « hauts Barons » que s’attribuaient les Hyperboréens signifiait vainqueurs. Et c’est pour cela que ce peuple entrait dans la vie sociale avec la réputation d’un peuple vainqueur. 

    Les Celtes appellent leurs ennemis « Pélasks », c’est-à-dire peaux tannées (Pélaskon, Pélasges). La région qui entoure toute la mer Méditerranée portait autrefois le nom de « Pélasques », parce que des peuples noirs la possédaient.

    Le Péloponèse, nom qui vient de « Pélops », signifie « archipel ». Ce mot est remarquable parce qu’il signifie : ce qui domine sur la mer noire. Mais il peut se faire que le mot « noire » ait été pris symboliquement pour représenter la méchanceté ; alors, ce ne serait pas d’une lutte de races qu’il s’agirait, mais d’une lutte morale dans une même race.

    À suivre…



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    Étirév 20 janvier 2021 09:35

    Jésus est un personnage fictif derrière lequel des usurpateurs ont caché quelque chose de GRAND, et ont voulu avec cela dominer le monde.

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