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Étirév

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    Étirév 20 janvier 2021 09:35

    Jésus est un personnage fictif derrière lequel des usurpateurs ont caché quelque chose de GRAND, et ont voulu avec cela dominer le monde.



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    Étirév 19 janvier 2021 13:12

    Des premiers révoltés des nations, parias, paresseux souvent, égoïstes toujours, aventuriers schismatiques et mus par un orgueil funeste, refusant continuellement de s’astreindre à un travail régulier et à la contrainte du devoir, créant une aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent tel que dans le Judaïsme, lorsque celui-ci se substituera à l’Israélisme après la captivité et l’exil, passant ensuite par la Grèce et ses philosophes qui amènent une décadence masculine, et se poursuivant, ensuite, dans le Catholicisme romain, puis un peu plus tard dans le protestantisme puritain, et parachevant leur « œuvre » désagrégatrice et amorale, dans la Maçonnerie moderne... tout ceci est l’histoire de la mue du « Serpent », ennemi éternel du genre humain, devenu aujourd’hui, dans une toute-puissance, apatride, supranationale et heureusement en fin de règne, ce qu’on appelle les « mondialistes » ou la « Main occulte ».
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    Étirév 17 janvier 2021 16:17

    Précisions sur l’origine des constructions.
    Les premiers essais de construction de la jeune humanité ont été retrouvés partout. Ce sont les Dolmens (chambres de pierre) et les Menhirs, monolithes enfoncés en terre isolément, en allées ou en cercles, de dimensions parfois colossales.
    La destination des Dolmens et des Menhirs de l’époque néolithique a beaucoup préoccupé les savants, qui cherchent toujours dans l’humanité jeune des causes semblables à celles qui font agir l’humanité vieille. Pour retrouver la signification des choses matérielles, comme pour comprendre le sens des symboles, il faut apprendre à contempler le monde avec la naïveté de l’enfance et l’esprit de la jeunesse. On comprendra alors que les dolmens n’ont aucun rapport avec les sépultures, attendu que la jeunesse pense à la vie, non à la mort qui était un phénomène nouveau pour cette jeunesse primitive.
    Si les dolmens sont enfoncés dans le sol, ce ne fut pas pour y cacher les défunts, comme le font les modernes, c’est parce que la terre s’est élevée depuis qu’ils ont été construits ; ils étaient d’abord sur le sol, et non sous le sol, et les tumulus qui les recouvrent sont d’origine postérieure. La profondeur de leur enfouissement peut donner des indications sur la date de leur édification si l’on arrive à calculer de combien la terre s’élève dans un temps donné.
    On dit que le « Men-hir » druidique vient de « Man-herr » (homme seigneur) et le « Dol-men » de « Doll-man » (homme Seigneuresse), indication précieuse qui nous fait comprendre que les uns étaient destinés aux hommes et les autres aux femmes (Menhir a formé minaret).
    En effet, les dolmens qui sont composés d’une ou de plusieurs chambres, généralement précédées d’un vestibule ou d’un couloir d’accès, sont la première ébauche des maisons et ont certainement été édifiés pour abriter la première famille, la Femme et l’enfant. C’est le premier nid de l’humanité, le nid de pierre, le Mégalithe. Sur les parois intérieures, on a trouvé de naïfs et bizarres dessins.
    Non seulement la femme s’abrite, et abrite avec elle ses petits, mais elle cherche à les protéger contre les dangers du dehors. C’est pour cela que souvent les dolmens sont précédés d’une allée couverte, une sorte de galerie d’une certaine étendue.
    Le dolmen de Mané-Croch, près du village de Cracuno, en Bretagne, avait quatre chambres.
    Dans le même village de Cracuno se trouve un superbe dolmen dont l’une des pierres supérieures a six mètres de long sur cinq de large et un mètre cinquante d’épaisseur au centre ; cette pierre repose sur onze dalles debout et la hauteur sous voûte est d’un mètre quatre-vingts centimètres. Le tumulus de Rondossée contient trois dolmens avec leurs allées couvertes. L’un d’eux contient une petite chambre supplémentaire.
    Quant aux menhirs destinés aux hommes, ce n’est qu’une pierre levée derrière laquelle ils s’abritaient ou se cachaient, c’est là que se pratiquait l’eummaïra. Dans les menhirs perforés de l’île de Chypre, on avait pratiqué des ouvertures par lesquelles on voyait venir de loin les témoins gênants. L’un d’eux avait deux mètres dix centimètres de hauteur sur 70 centimètres de largeur.
    On en a trouvé sur lesquels était représentée une main, ce qui les faisait appeler « iad », et, au lieu d’y voir une indécente représentation qui joue un grand rôle dans le symbolisme antique, les savants modernes aussi naïfs que prudes, ont vu dans les pierres un cippe dressé à la mémoire d’un fait.
    Les menhirs sont tantôt isolés, tantôt réunis en nombre plus ou moins considérable. Ce qui indique bien l’instinct de l’homme qui, d’abord, fait sa vie seul, puis peu à peu se réunit à ses frères en humanité pour évoluer ensemble vers un avenir confus.
    On a trouvé aussi des cromlechs, qui sont des enceintes composées de blocs décrivant des figures variées, des cercles, des ovales, des carrés, des rectangles, circonscrivant des espaces enclavés dans ces espèces de barrières, qui semblent être les terrains que les hommes ou les femmes se réservaient et dans lesquels sans doute ils ne laissaient pas pénétrer l’autre sexe. Les deux sexes ont eu dès la jeunesse une tendance à se séparer.
    Cependant, les impulsions sentimentales les réunissaient. Alors ils se cherchaient, erraient ensemble loin des autres et finalement allaient s’abriter dans des lieux écartés. Ce sont ces endroits qui furent plus tard appelés des « Lieux secrets » ou « Lieux saints ».
    On a trouvé des Mounds, tertres élevés que l’on suppose avoir été destinés aux « sacrifices » (Unions).
    C’était l’époque où de magnifiques adolescents cherchaient à dépenser le trop-plein de leur force. Mais ils avaient encore la franchise, la spontanéité, la confiance que donnent l’inexpérience et l’amour naissant.
    NB : Dans la Grande-Bretagne et dans la Gaule, on faisait des initiations symboliques dans des endroits circulaires ou ovales, destinés à représenter l’œuf d’où tout vient (Mystères druidiques).
    Les lieux d’initiation étaient découverts ; les cérémonies se faisaient à ciel ouvert. On devait les construire avec de la terre et des pierres brutes, non souillées par un outil métallique. Les métaux, le fer, étaient en abomination, parce que c’étaient les hommes ennemis qui les travaillaient et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Dans l’Edda suédoise, le feu est nommé fyr ou fur ; les Grecs, dit-on, prononçaient « pyr » comme nous prononçons « pur ».
    Le mot Pyr est phrygien, d’où Pyramis, en égyptien Pyramide. Les Pyramides étaient des Temples sacrés dans lesquels on se cachait et qui étaient construits de façon à en rendre l’accès impossible à ceux qui n’étaient pas initiés.
    Il existait en Orient des Temples du feu qu’on appelait Pyres. Dans tous les cas, il s’agissait du feu symbolique représentant l’Esprit.
    C’est parce qu’il y avait des Temples du feu sur les montagnes qui séparent l’Espagne de la France qu’on les a appelées Pyrénées, et non parce qu’elles furent embrasées.
    (...)
    En suivant l’évolution anatomique, physiologique, morale et sociale de l’homme et de la femme, il a été compris qu’il avait dû exister dans le passé de l’humanité toute une période de lumière et de paix d’abord, puis de lutte ensuite, et enfin d’assujettissement de la femme. Et tout cela devait avoir été relaté par l’histoire primitive, chantée par les premiers poètes, inscrite même sur la pierre...
    LIEN



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    Étirév 16 janvier 2021 18:37

    « Ce qui me terrifie, dans les violences conjugales, c’est le « par amour ». Cette faculté qu’ont les femmes à supporter, à pardonner, à espérer, au nom de l’amour. »
    Rappelons que l’état de servitude qu’on commençait à imposer à la Femme dans la deuxième moitié du 1er siècle avant notre ère et qu’on allait bientôt appeler « con-jugal » (avec joug) est l’origine de l’institution mariage, c’est-à-dire de l’asservissement de la femme dans une union monogame (ou plutôt monoandre) qu’on veut opposer à l’hétaïrisme, c’est-à-dire au régime de liberté de la Femme.
    À la source des violences conjugales.
    Le premier fait à enregistrer, c’est la révolte de l’homme contre les lois de la Nature.
    Ce fut dans la jeunesse de l’humanité que l’homme s’aperçut, peu à peu, de la différence qui commençait à se dessiner entre lui et la femme.
    D’abord il traversa une période d’étonnement et de tristesse quand il aperçut l’état qui résultait de la nouvelle fonction qui s’était imposée à lui. Il s’y était livré sans frein, si bien qu’il avait vu, en peu de temps, s’accentuer, en lui, les caractères du mal qui en sont les résultats, il était devenu brutal, batailleur, irritable et sensuel jusqu’à l’excès. A ses heures de réflexion il eut honte de cet état, il voulut le cacher, l’effacer. Pour cela il y avait un moyen : arrêter la cause de sa déchéance pour en arrêter les effets. II l’intenta, mais l’instinct devint plus fort que lui, il ne put le vaincre.
    Alors, s’adonnant tout à fait à la passion qui le sollicitait, il se révolta contre la Nature même qui lui imposait ce sacrifice de son Âme.
    La perversion, naissant en lui, lui enseigna le mensonge, il nia ce qui était, condamna la Nature, nia ses lois, nia tout ce qu’il avait cru jusque-là, tout ce qui le gênait : ce fut le premier pas en arrière.
    Le voilà donc divisé en deux êtres : l’un qui s’affirme et se révolte dans la vie sexuelle, l’autre qui le retient dans la vie intellectuelle, et la lutte qui va s’établir dans l’homme lui-même est le prélude de la lutte qu’il va soutenir contre la femme qui sera comme un reflet de sa propre conscience.
    La femme... il la veut, pourtant, pour son amour mais non pour ses reproches. Il la poursuit assidûment d’un désir, d’abord idéal, mais bientôt, bestial.
    Quant à elle, comme, elle ne sait pas que l’homme est un être autrement constitué qu’elle, elle croit trouver en lui tout ce qu’il y a en elle : l’amour cérébral qui élève l’esprit, qui l’invite à la contemplation de l’univers, au rêve cosmique, à l’abstraction.
    Et, dans les premières heures de rapprochement, c’est de la Nature qu’elle lui parle, du Cosmos ou d’elle-même, chef-d’œuvre de la création qu’elle veut lui dévoiler.
    Mais il ne la comprend pas, ce n’est pas cela qu’il veut.
    Cependant, dans ces premières relations, elle triomphe et fait naître en lui une ombre de sa pensée, il traduit, en rêve, ce qui est en elle, le réel, il donne une forme concrète à l’idée abstraite, mais la poétise ; sa vérité, à elle, était nue, austère, il l’habille de belles phrases, la rend embellie et comme une conception née en lui. Elle lui a beaucoup parlé d’elle. Lui, qui s’ignore, écoute ses idées révélatrices, se les assimile, fait du moi féminin son moi à lui et ainsi s’attribue si bien son âme qu’il se croit elle.
    C’est ainsi que naît sa première erreur psychologique qui grandira et s’affermira à travers les générations. Cette empreinte cérébrale, née avec le premier amour, ne s’effacera jamais en lui.
    C’est un curieux phénomène psychique que ce reflètement d’un être sur l’autre, ce miroir que tient la femme et dans lequel l’homme croit se voir !
    Mais ce prélude de l’amour ne lui suffît pas, il demande autre chose, et, alors, commencent, pour elle, les terreurs. Elle ne voulait que l’union des esprits, et les désirs qu’il exprime l’inquiètent, elle invente, pour s’y soustraire, une diplomatie savante. Mais elle est bonne, elle a pitié, elle ne veut pas le contrarier, elle l’aime trop pour cela, et elle cède elle se résigne, sans plaisir aucun, au sacrifice de sa personne.
    Lui, satisfait son besoin bestial et aussitôt la scène change.
    Il devient méchant. Il devient jaloux.
    Sa méchanceté commence par la taquinerie, les petites contradictions, les caprices imposés avec entêtement. Il substitue sa volonté à celle de la femme. En même temps sa force grandit, il va l’affirmer.
    Puis la jalousie de sexe survient.
    Tourmenté de sa déchéance, dont il sent les amertumes, dont il suit les progrès, il va concevoir, pour elle, la haine sourde de l’envie, et la tourmenter pour lui faire expier sa supériorité morale.
    La femme, qui le croit fait dans le même moule qu’elle, ne comprend pas. Elle croit ses reproches justifiés et cherche, en elle, des défauts à corriger pour éviter ses critiques. Mais plus elle cède, plus il l’accable, son but est de la faire souffrir, de la vexer, et plus elle croit à sa parole, plus il s’enfonce dans le mensonge, dans son mensonge que la crédulité de la femme fait triomphant.
    Il fut timide, d’abord, cependant ; c’est timidement qu’il osa le premier reproche, la première injure ; mais au lieu d’une réaction violente de celle qu’il outrageait, il la trouva intimidée et crédule. Elle crut, comme une vérité, ce qui était une ruse, elle prit pour une justice ce qui était une jalousie. Cela l’encouragea et il recommença.
    Ces moments de fausseté manifestés, par des outrages qui expriment sa révolte contre elle, ne sont interrompus que par des poussées de nouveaux désirs ; il fait trêve à ses brutalités quand il veut la reprendre, il redevient alors subitement et momentanément soumis et aimant.
    Elle, heureuse du changement, heureuse de l’avoir retrouvé comme elle le désire, croyant le retenir par sa soumission, cède de nouveau et, de nouveau recommence la réaction brutale et ainsi se passe la vie. Chaque rapprochement est suivi d’une chute qu’il fait dans l’abîme du Mal, et chaque fois il tombe un peu plus bas, jusqu’au moment où la folie qui le guette, le prendra tout à fait.
    La femme, complice ignorante de ce drame, en est la première victime. L’homme devient le tourment de sa vie.

    L’AMOUR



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    Étirév 16 janvier 2021 12:52

    « Comment les États-Unis se sont-ils développés après la Guerre de Sécession ? »
    Petit plaidoyer pour les vaincus :
    On aurait tort de réduire la Guerre de Sécession à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années.
    D’ailleurs, ce conflit Nord-Sud n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire, on a peut aisément s’en apercevoir encore aujourd’hui.
    Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
    Les indiens d’Amérique avaient compris clairement que les « Yankees » représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile et cynique, basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.
    L’historien américain James Mc Pherson, qui a écrit de nombreux ouvrages sur l’histoire des États-Unis, dont un dont le titre est « La guerre de Sécession », écrit : « L’Amérique allait naître de ce conflit dans lequel sombrerait une civilisation... Mais le Nord vainqueur demeure l’ennemi haï et défié, dans la mesure où il représente une civilisation mercantile, basée sur le profit, par opposition à la civilisation aristocratique du Sud, basée sur l’honneur. »
    Souvent l’homme vil appelle valeurs dépassées celles qui le dépassent : ainsi de l’honneur, de la bravoure, du sens de la justice et de la loyauté.
    Tels sont les valeurs qui dépassent, effectivement, l’oligarchie apatride et supranationale, aidées de ses éternels traitres à leur nation, qui s’est emparée des USA après l’attaque « à main armée » du XIXème siècle.
    L’attaque « à main armée » est devenue une spécialité depuis pour « libérer » les peuples dans le monde et installer la « démocratie ». La Révolution française s’en souvient !
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