• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Étirév

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 460 0
1 mois 0 7 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 1 vote
    Étirév 14 avril 2023 09:02

    «  Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. Ce n’est pas mon désespoir qui refuse le monde moderne. Je le refuse de toute mon espérance. Oui, j’espère que le monde moderne n’aura pas raison de l’homme !  » (Georges Bernanos, La France contre les robots)

    La déshumanité à ses propres limites.



  • vote
    Étirév 14 avril 2023 07:45

    Origine, doctrine et esprit du Bouddhisme
    Au milieu des luttes philosophiques du Vème avant notre ère, un mouvement social se produisit chez les hindous, qui ne fut d’abord qu’une révolte contre le pouvoir Brahmanique et contre la division sociale établie par les prêtres à leur profit.
    Ceux qui furent les premiers auteurs de ce mouvement appartenaient aux castes inférieures et, comme tels, mettaient dans leur révolte plus de passion, plus de violence que n’en avaient mis les Brahmanes, dont l’usurpation avait plutôt été basée sur la ruse, les raisonnements faux.
    Ce furent, pour l’Inde, des temps troublés tout à fait comparables à ceux de la décadence romaine. Ils se produisirent du reste à l’époque où la décadence commençait partout.
    Le Bouddhisme n’a rien inventé, il s’est contenté de prendre la doctrine Védique et de la dénaturer.
    Le Bouddhisme est caractérisé par sa négation de « Dêva », et cela parce que Dêva, c’est la femme. Or la religion, c’est le lien moral qui unit l’homme à la femme. C’est pour cela que le Bouddhisme n’a pas la prétention d’être une religion, mais seulement une philosophie.
    L’histoire de la littérature sacrée du Bouddhisme est un chapitre de l’histoire de l’évolution mentale du Prêtre. Parti de ce commencement d’aberration qui caractérise le mauvais sentiment qu’on appelle la Misogynie, ce ne fut, d’abord, qu’une expression de révolte, une manifestation d’orgueil, c’est-à-dire un renversement des sexes et, de là, un renversement de la morale.
    Suite…
    La (presque) parfaite gestion des contraires est la marque du (diable) globalisme.
    En son sein s’y mêlent aussi bien les puissances d’argent que le Dalaï Lama, Albert Einstein ou le révérend Moon. Et certains seraient même très étonnés d’y rencontrer aussi Henri Grouès, dit l’abbé Pierre.



  • vote
    Étirév 11 avril 2023 07:33

    French Revolution Origin
    C’est, de tout temps, l’esprit de la femme qui a guidé le monde. Quand la femme pense et agit, le monde marche ; quand elle tombe dans l’apathie intellectuelle, quand elle se laisse réduire en esclavage et abdique son pouvoir, le monde tombe dans l’obscurité.
    Tous les grands mouvements de l’esprit sont dus à l’initiative féminine. La femme donne l’impulsion, l’homme la suit.
    Le grand mouvement philosophique qui au XVIIIème siècle a remis tous les problèmes de la Nature en discussion a été, tout entier, fait par des femmes.
    C’est ce grand réveil de la pensée féminine, se dégageant subitement des entraves du Christianisme, qui prépare la Révolution. Mais cette première révolte de l’esprit de la femme en face des erreurs du vieux monde n’est pas bien comprise par l’homme, elle est défigurée, mal interprétée, mal rendue, elle est traduite en idées masculines.
    La femme esclave demandait son affranchissement : l’homme traduit ce cri de révolte par la demande des « Droits de l’Homme ». La femme veut l’affranchissement des entraves mises à la liberté des FONCTIONS de son sexe : l’homme traduit cette aspiration par un nouveau déchaînement dans ses vices à lui et ne continue pas moins à opprimer la femme dans sa sexualité.
    Tout ce que la femme demande pour elle, l’homme, dans la traduction qu’il fait des idées de la femme, le demande pour lui.
    C’est ainsi que la Révolution préparée par la femme pour être l’avènement de la justice ne fut que l’avènement d’un système bâtard qui vint détruire l’ancien régime, mais ne le remplaça pas par ce que la femme avait rêvé.
    Pour avoir refusé la révolution de « Dieu », les institutions traditionnelles sont balayées, en quelques heures, par celles des hommes.
    NB : À propos des évènements de 1789, citons René Guénon (Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage) : « Une autre vue beaucoup plus juste est celle qui se rapporte au rôle de la Maçonnerie au XVIIIe siècle : ses recherches l’ont convaincu (Maurice Favone) qu’elle n’a nullement préparé la Révolution, contrairement à la légende propagé d’abord par les antimaçons, puis par certains Maçons eux-mêmes ; seulement, ce n’est point une raison pour conclure que « la Révolution est l’œuvre du peuple », ce qui est de la plus parfaite invraisemblance ; elle ne s’est certes pas faite toute seule, bien que ce qui l’a faite ne soit pas la Maçonnerie, et nous ne comprenons même pas comment il est possible, à qui réfléchit tant soit peu, d’ajouter foi à la duperie « démocratique » des révolutions spontanées… Les auteurs, qui dénoncent avec raison des erreurs communes comme celle qui consiste à croire que les révolutions sont des « mouvements spontanés », sont de ceux qui pensent que la déviation moderne, dont ils étudient plus spécialement les étapes au cours du XIXe siècle, doit nécessairement répondre à un « plan » bien arrêté, et conscient tout au moins chez ceux qui dirigent cette « guerre occulte » contre tout ce qui présente un caractère traditionnel, intellectuellement ou socialement. Seulement, quand il s’agit de rechercher des « responsabilités », nous avons bien des réserves à faire ; la chose n’est d’ailleurs pas si simple ni si facile, il faut bien le reconnaître, puisque, par définition même, ce dont il s’agit ne se montre pas au dehors, et que les pseudo dirigeants apparents n’en sont que des instruments plus ou moins inconscients. En tout cas, il y a ici une tendance à exagérer considérablement le rôle attribué aux Juifs, jusqu’à supposer que ce sont eux seuls qui en définitive mènent le monde, et sans faire à leur sujet certaines distinctions nécessaires ; comment ne s’aperçoit-on pas, par exemple, que ceux qui prennent une part active à certains événements ne sont que des Juifs entièrement détachés de leur propre tradition. Il y aurait du reste, pensons-nous, une étude bien curieuse à faire sur les raisons pour lesquelles le Juif, quand il est infidèle à sa tradition, devient plus facilement qu’un autre l’instrument des « influences » qui président à la déviation moderne ; ce serait là, en quelque sorte, l’envers de la « mission des Juifs », et cela pourrait peut-être mener assez loin… »



  • 1 vote
    Étirév 7 avril 2023 07:52

    « Nous sommes inféodés aux Américains »
    Julius Évola disait qu’une des tactiques favorites de la guerre occulte est d’attirer toute l’attention de l’adversaire sur des éléments qui ne sont que partiellement ou secondairement responsables de la Subversion. Toute la réaction se décharge alors sur ces éléments, devenus des boucs émissaires, ou, comme il l’écrit ailleurs, des « faux objectifs ».
    Rappelons à toutes fins utiles que les USA sont nés il y a à peine 250 ans.
    Lien



  • 1 vote
    Étirév 6 avril 2023 14:56

    Relevons le niveau, et rappelons ceci :
    On attribue à Paul Diacre la composition de l’hymne chrétienne Ave Maris Stella et de l’hymne de saint Jean-Baptiste : Ut queant laxis resonare fibris.
    C’est à partir de la première syllabe de chacun des six premiers hémistiches de cette œuvre qu’au XIème siècle Guido d’Arezzo nommera les notes de Ut à La pour son système de solmisation :
    Ut queant laxis.... (Que tes serviteurs chantent)
    Resonare fibris... (D’une voix vibrante)
    Mira gestorum... (Les admirables gestes)
    Famuli tuorum... (De tes actions d’éclat)
    Solve polluti... (Absous des lourdes fautes)
    Labii reatum... (De leurs langues hésitantes)
    Sancte Iohannes... (Saint Jean)
    La note SI, qui est composée des deux initiales du dernier vers de l’hymne, Sancte Iohannes, ne sera ajoutée qu’à la fin du XVIe siècle.
    « Paul Diacre avait conçu la gamme musicale avec pour point de départ non pas la syllabe DO (Dominus pour Jésus), mais UT, point de départ de l’homme tel qu’il est né de la femme dans toute son imperfection. Il choisit ainsi la syllabe UT, du mot Uterus, organe de la gestation, précisément pour souligner la condition imparfaite, commune à tous les fidèles comme à tous les hommes, afin de les orienter sur les traces de saint Jean, au sujet duquel Jésus a dit : « en vérité je vous le dis, parmi ceux qui sont né de femmes, il n’en est point paru de plus grand que Jean-Baptiste ». Ainsi, UT (Uterus) symbolise la porte de la naissance selon la chair, et SI la porte de la deuxième Naissance, celle selon l’Esprit, sans laquelle l’homme ne peut pas voir le royaume de Dieu. La gamme ascendante de Paul Diacre comprend donc une octave de régénération, allant de la naissance sur la terre à la naissance dans les cieux. » (P. Noyrigat)
    Lien

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité