Combattre les ennemis de quelqu’un, c’est s’allier avec lui, objectivement.
Ce ne sont pas les nations qui subventionnent les banques, ce sont les banques qui commandent aux nations de les subventionner. Pourquoi ? Parce que - comme tu le désire ardemment - "les nations, cela ne veut plus rien dire".
Jamais tu ne poseras la problématique de la souveraineté monétaire, seul moyen pour la nation de s’affranchir des banques. C’est là ta contradiction : tu ne cesses de militer pour l’abolition de la nation, puis tu te plains que, ce pouvoir disparaissant, d’autres institutions t’asservissent.
Si il existait des institutions autogérées qui puissent remplacer la nation (qui est d’ailleurs autogérée par les citoyens, même si c’est imparfait), je pourrais comprendre ta position, mais force est de constater que tel n’est pas le cas.
Mouai, quand on ne sait s’exprimer dans un français correct, autant faire preuve d’humilité. Je te signale que c’est toi-même qui déclare certains d’extrême-droite pour pouvoir laisser libre-court à tes "pulsions". Mais c’est bien connu que lorsque l’on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. C’est assez typique des gens de mauvaises foi.
Le problème est pourtant assez simple : qui veut commercer dans le monde entier (l’oligarchie mondiale) nécessite l’ouverture totale des frontières : cela permet de prélever les ressources dans les pays du tiers-monde, d’y sous-payer les ouvriers et de mettre en cause nos acquis sociaux.
Les oligarchies mondiales, c’est le laisser-faire de l’argent-roi. En revanche, la nation française est une république, c’est-à-dire que la loi y est basée sur le juste, qu’elle organise pour tous le droit de se soigner, le droit de travailler, le droit à une retraite... Soutenir la nation française, c’est donc soutenir la République et tous les droits sociaux qui y sont attachés, droits que ceux qui diabolisent "le parti de la nation" ne cessent de mettre en cause objectivement depuis 50 ans. Soutenir la nation française, c’est se placer dans la continuité des acquis du Conseil du national de la résistance, les opposants au fascisme...
Waouah, quelle classe ! Quelle profondeur de réflexion politique !
Ce qui est excessif est négligeable...
Dans tout conflit de souveraineté, ici les marchés financiers contre les nations, chacun s’allie en fonction de sa préférence.
Apparemment, les anarchistes préfèrent prendre le parti des marchés financiers... Tout en se disant de gauche... Certains ne sont pas étouffés par les contradictions...
@bender Puisque les "Anti-Fa" ne réalise leur union qu’en stigmatisant "l’extrême-droite", ne doit-on pas déduire également que les anti-Fa sont d’extrême-droite ? les "antis" n’ont qu’une réflexion de type réactionnaire...
L’on doit pouvoir évoquer la "politique d’immigration", sans pour autant stigmatiser des gens. Ce sont précisément les partisans des politiques d’immigrations qui enfument systématiquement ce débat en le faisant glisser systématiquement sur des problème de personne (alors que ce sont des problèmes de politique) : ce sont en fait les partisans de cette politique qui veulent stigmatiser...
Mais sachant qu’il y a 6 milliards d’individus sur terre, dans le pire des cas, si l’immigration reste libre en France, la densité de population en France pourrait grimper à 11000 hab/km² (soit plus que Lyon). Bon, certes, le pire n’est pas sûr, mais cela indique qu’il est légitime de discuter de ces sujet sans subir l’enfumage systématique auquel on assiste depuis trente ans.
Sinon, aujourd’hui, le seul pouvoir en capacité de contrer l’impérialisme anglo-saxon, c’est bien la nation, car la nation est la source de toute souveraineté. Abolir la nation, c’est abolir la souveraineté du peuple. C’est à cela que participe les anarchistes. Ce fut leur fonction - inconsciente, dès le XIXème et cela continue aujourd’hui.