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  • Premier article le 16/05/2015
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  • 1 vote
    ffi 28 juillet 2010 15:32

    L’analyse de Zemmour affirmant que la France se rêvait en empire Romain me semble totalement erronée.

    En effet, si tel était le cas, la "pax romana" étant fondé sur le principe "du pain, des jeux", des arènes et des amphithéâtres auraient été construis dans tout le pays pour y faire combattre des gladiateurs... Ce ne fut pas le cas.

    La France fut d’ailleurs dénommée la fille aînée de l’église. Sachant que l’église s’est montée contre l’empire Romain et sa barbarie (lire "l’épître aux Romain" de Saint Paul, ou bien "la cité de Dieu" de Saint Augustin), même si elle lui a emprunté sa langue car , le latin était langue vernaculaire de la méditerranée, la France doit bien-sûr être considérée comme l’anti-empire Romain, par excellence.

    Son esprit politique se rattache plutôt à Platon et à son concept des "rois philosophes", de la république, concepts qui ont inspiré la chrétienté dès l’origine.

    Je ne dis pas que certains ne nourrissaient se rêve secret de revenir au régime oligarchique de Rome, mais manifestement, ce mouvement n’était pas suffisamment puissant. Il a fallu que la France tombe dans l’orbite Anglo-Saxon (dès le XVIII ème / XIX ème) pour revoir fleurir le principe "du pain, des jeux" en France, ce qui correspond au moment ou l’église commença d’être séparée de l’état.



  • vote
    ffi 27 juillet 2010 15:17

    C’est si bon de bêler à l’unisson.



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    ffi 27 juillet 2010 14:58

    Combattre les ennemis de quelqu’un, c’est s’allier avec lui, objectivement.

    Ce ne sont pas les nations qui subventionnent les banques, ce sont les banques qui commandent aux nations de les subventionner. Pourquoi ? Parce que - comme tu le désire ardemment - "les nations, cela ne veut plus rien dire".

    Jamais tu ne poseras la problématique de la souveraineté monétaire, seul moyen pour la nation de s’affranchir des banques. C’est là ta contradiction : tu ne cesses de militer pour l’abolition de la nation, puis tu te plains que, ce pouvoir disparaissant, d’autres institutions t’asservissent.

    Si il existait des institutions autogérées qui puissent remplacer la nation (qui est d’ailleurs autogérée par les citoyens, même si c’est imparfait), je pourrais comprendre ta position, mais force est de constater que tel n’est pas le cas.



  • 1 vote
    ffi 27 juillet 2010 14:26

    Mouai, quand on ne sait s’exprimer dans un français correct, autant faire preuve d’humilité. Je te signale que c’est toi-même qui déclare certains d’extrême-droite pour pouvoir laisser libre-court à tes "pulsions". Mais c’est bien connu que lorsque l’on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. C’est assez typique des gens de mauvaises foi.

    Le problème est pourtant assez simple : qui veut commercer dans le monde entier (l’oligarchie mondiale) nécessite l’ouverture totale des frontières : cela permet de prélever les ressources dans les pays du tiers-monde, d’y sous-payer les ouvriers et de mettre en cause nos acquis sociaux.

    Les oligarchies mondiales, c’est le laisser-faire de l’argent-roi.
    En revanche, la nation française est une république, c’est-à-dire que la loi y est basée sur le juste, qu’elle organise pour tous le droit de se soigner, le droit de travailler, le droit à une retraite... Soutenir la nation française, c’est donc soutenir la République et tous les droits sociaux qui y sont attachés, droits que ceux qui diabolisent "le parti de la nation" ne cessent de mettre en cause objectivement depuis 50 ans. Soutenir la nation française, c’est se placer dans la continuité des acquis du Conseil du national de la résistance, les opposants au fascisme...

    La conception fasciste de la nation est impériale. Aujourd’hui le fascisme est dans les organisations mondiales (FMI, Banque mondiale, OMC) qui se veulent les soubassements d’un empire mondialisé, non pas dans la nation française, qui, elle, est républicaine.
    "La destinée veut que la Méditerranée nous revienne. La destinée veut que Rome soit à nouveau la ville dirigeant la civilisation dans tout l’Occident européen. Levons le drapeau de l’empire, de notre impérialisme !" (B. Mussolini)

    Objectivement, les anarchistes sont aujourd’hui dans le camp fasciste, certes par inadvertance, mais le fait est qu’ils combattent ses opposants.



  • 2 votes
    ffi 26 juillet 2010 23:06

    Waouah, quelle classe ! Quelle profondeur de réflexion politique !

    Ce qui est excessif est négligeable...

    Dans tout conflit de souveraineté, ici les marchés financiers contre les nations, chacun s’allie en fonction de sa préférence.

    Apparemment, les anarchistes préfèrent prendre le parti des marchés financiers... Tout en se disant de gauche... Certains ne sont pas étouffés par les contradictions...

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