C’est vrai, ce qui arrive à Chouard
fait mal, parce qu’on l’aime bien, il est sincère et un peu utopiste. Denis
Robert qui a l’habitude de la polémique se révèle dans cette interview comme un
traitre au service du système. Le Media tout entier se révèle comme une
entreprise malfaisante. Je ne parlerai pas de Enthoven, celui la est minable,
par rapport aux autres Enthoven, et dans son argumentation, il s’est mis lui
même en défaut par rapport à la loi Fabius Gayssot, puisqu’il a argumenté son
opinion, ce que la loi interdit. Par contre Denis Robert est arrivé par derrière,
et a planté un couteau dans le dos de Chouard. Chouard n’avait pas à répondre à
cette question. Mais une candeur qui l’habite, une grande naïveté l’a acculer
vers des réponses hésitantes.
Or, sur la question des chambres à gaz. Il n’y a aucune hésitation permise. La
loi dicte la seule réponse à donner, le doute n’est pas permis, la question de
Denis Robert n’était pas permise non plus, au nom de cette loi. Cette loi
Fabius Gayssot n’autorise pas que la question sur l’existence des chambres à
gaz soit seulement posée. Denis Robert est lui aussi en infraction. Mais le
plus terrible, c’est sa façon sournoise d’amener Chouard à exprimer son
ignorance sur le sujet. Il avoue ne pas y avoir réfléchi. Il ne s’est jamais
posé la question, ce qui est un point positif pour lui, puisque l’existence des
chambres à gaz ne faisait pas de doute pour lui, jusqu’à ce que Denis Robert
lui pose la question. Cette question venant d’une personne de référence dans le
domaine de l’investigation amène la réflexion de Chouard à chanceler, face à
l’autorité que Denis Robert représente dans cette matière.
Denis Robert joue de cette autorité, et connait la naïveté relative de Étienne
Chouard. C’est en cela que Denis Robert devient illico pour moi, un personnage
douteux, indigne de confiance, du moins de la confiance que je lui accordais en
regard de son œuvre abondante d’investigation. En fait, il cache son jeu, il
devient pour moi un collabo du système, et avec lui tout cette chaine Le Media,
que je considère désormais comme un merdia, au même titre que les chaines
mainstream.
Denis Robert a agi comme un prédateur,
cette interview n’est rien moins qu’un viol par surprise.
Étienne Chouard, garde, cela va sans dire, mon entière confiance. C’est un
grand combattant. Il lui faudra juste apprendre à porter une armure contre tous
ces filous malhonnêtes et veules, qui avancent cachés comme ce Denis Robert
collabo de première.
Il faut de très gros moyens pour afficher dans le métro. Qui paye ? Son RSA ?
Onfray, qui depuis son affaire "Freud" doit accepter de se
racheter, apporte sa caution au "Juanito", qui avance caché, mais qui
dans son livre ne s’attaque qu’à des petits, si tant est que les milliardaires
sont des petits.
Mais s’en prendre à eux, agit comme un beaume apaisant et qui porte confiance.
Les vrais patrons, ceux qui ont décidé de la présidence de Macron, sont au
dessus, autrement plus riches que les Pinault, Drahi, Mulliez, Bernard Arnaud,
et autres Bettencourt... je ne les citerai pas tous... Il s’agit des
Riche absolus, les intouchables Rothschild, et la City de Londres. les patrons
de la France, ceux qu’on ne voit jamais.
Ils ont déjà largué le freluquet Macron, et avancent un pion feutré : Juan
Branco.
Dans son Crépuscule de la politique actuelle, Branco ne touche certainement
pas un mot de la grande oligarchie mondialiste qui s’est depuis longtemps
emparé de la France. Son livre si difficile à publier, affrirmait-il, s’étale désormais
dans toutes les grandes librairies de la façon la plus ostensible. Il a franchi
toutes les retenues et les soi-disant peurs des éditeurs.
Une peste à bonne présentation, un gentil garçon, au dessus de Macron qui ne
dit mot, car il sait. Les patrons ont parlé... Il aura peut-être même un
deuxième mandat le Macron. Mais comme à la guerre, il y a des tirs de barrages
pour préparer la suite.
Branco, parle très bien, il est très posé, jeune séduisant pour les jeunes...
Il a déjà hypnotisé beaucoup de personnes, et des gilets jaunes, qui comme le
Petit Prince recevront la morsure fatale du serpent qu’ils demandent
inconsciemment, fascinés qu’ils sont par le discours incantatoire. Arriba
"Juanito" !
Aurélien Enthoven en entrant chez Asselineau, ne fait que combler un vide. Il fallait un sioniste à l’UPR, voilà c’est fait. Tous les sayanim sont en place. Le terrain électoral est complètement miné par le système. Je suis bien déçu, Asselineau était le seul valable avec Philippot pour le Frexit. Essayez maintenant de trouver un groupe sans souillure sioniste.... il n’y en a pas ils occupent toutes les positions stratégiques comme des sniper. Je n’irai pas voter.