Je ne trouve pas que ce soit sa meilleure intervention. Celle où il parle des trois referendums négatives et où il dit "vous ne comprenez vraiment rien n’est-ce pas, non signifie NON !" Mr Farage a été victime d’un très grave accident d’avion pendant la campagne législative. De très nombreuses fractures et un poumon perforé. C’est un véritable miracle qu’il soit en vie, lui et son pilote, un ancien de la RAF. Il vient de rentrer chez lui mais sa convalescence sera très longue. Mais il a dit qu’il reviendrait à la politique une fois remis. A son prompt rétablissement !
Surtout que cette guerre économique et technologique silencieuse n’était pas récente et qu’un best seller des années 60, "Le Défi américain", l’avait démontré par le détail. Ce livre s’était plus vendu que Bonjour tristesse de Françoise Sagan. Donc les français le savaient bien !
Tout à fait ! Jamais le président iranien n’a dit vouloir raser israel ! C’est un coup de l’agence Reuter affiliée CIA. J’ai une amie iranien et plutot pro-occidentale qui m’avait traduit le vrai texte. C’est une vraie honte ! En fait il suffit de contrôler les agences de presse et vous contrôlez tous les journalistes.
Je voudrais préciser que le coup du Guatemala avec les sociétés de relations publiques c’est surtout avec Edward Bernays, auteur de "Propaganda", livre de chevet de Geobbels ! C’est l’ouvrage de référence sur la manipulation des masses par la fabrique du consentement et de la suggestion. Pourqu’en démocratie le peuple soit libre de choisir ce qu’on lui impose, enfin qu’on lui suggére pour que ce peuple ait l’impression d’être celui qui décide...
Je crois que dans un style différent (la lutte contre la Russie), la révolte orange d’Ukraine et le coup en Géorgie sont des oeuvres made in USA. Aujourd’hui en Iran, Ahmadinedjad dit "que le gouvernement acutellement en place en Isreal ne restera pas dans la pages des temps" que l’agence Reuter traduit par "Je veux raser Israel". Et voilà que l’on veut déboulonner ce guss. Pour mettre Moussavi, guss tout aussi islamiste mais aimant plus l’argent, à sa place. J’ai surtout envie de dire : Vive le Docteur Mohammad Mossadegh !