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Justin

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    Justin 11 août 2018 00:55

    @harry stot l’autre soucis avec les "fossiles" est que tout repose sur l’absence de découverte d’homo sapiens très ancien (disons un million d’année) mais au fil des découvertes bouleversantes, la date d’apparition de l’homo sapiens ne cesse de reculer.

    "« Bien malin qui pourrait donner un point d’origine », a répondu Jean-Jacques Hublin, mardi 6 juin, lors d’une conférence de presse au Collège de France, à Paris, où les travaux étaient présenté.."

    https://www.lemonde.fr/paleontologie/article/2017/06/07/la-decouverte-qui-bouleverse-l-histoire-d-homo-sapiens_5140236_1650762.html

    Ces chercheurs sont honnêtes mais avant d’avoir trouver ce nouveau fossile humain, c’est un autre fossile se tenant debout qui aurait été l’espèce "officielle" antérieure devant devenir un homo sapiens en évoluant pendant quelques centaines de milliers d’années.



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    Justin 10 août 2018 20:38

    Wikipedia, l’Homme de Néandertal : "On peut rappeler ici qu’il existe une vingtaine de définitions de l’espèce, et que l’isolement reproductif n’est que l’une d’entre elles. Lors de sa dénomination en 1864, l’hypothèse d’une espèce distincte avait été privilégiée. Dans les années 1960, certains spécialistes ont considéré les Néandertaliens comme une sous-espèce d’Homo sapiens, comme le généticien Theodosius Dobzhansky ou encore le biologiste Ernst Mayr, qui déclarait que « jamais plus d’une seule espèce d’homme n’a existé au même moment ». Aujourd’hui, l’idée d’espèces distinctes est à nouveau dominante, notamment grâce aux apports de la génétique."
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_N%C3%A9andertal

    ... lorsque la génétique s’en mêle, les espèces deviennent toutes parfaitement distinctes au fil du temps y compris pour l’Homme de Néandertal (le "mal aimé", "Il était considéré dans l’imagerie populaire comme un être simiesque, fruste, laid et attardé." et ne plaiera pas aux créationnistes)



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    Justin 10 août 2018 19:44

    @harry stot tu as tort de critiquer la THEORIE de l’évolution qui part définition n’est pas vérifiable avec une expérience simple en laboratoire (ça n’aurait pas de sens, de chercher une telle preuve par l’expérience, car le changement d’espèce n’est pas possible en labo, et que l’alternative à cette théorie n’existe pas, tout simplement).

    DIEU existe t’il ? une nouvelle étude donne une réponse incroyable : https://www.youtube.com/watch?v=r_kO-oCmIOc

    ... cette vidéo ne prouve rien dans un sens ni dans l’autre. Les découvertes de David Thaler, généticien à l’université de Bâle et de son collègue Mark Stoeckle de la Rockfeller Université sont simplement "contre intuitives" mais tout reste encore à découvrir et d’ici dix ans, une autre étude avec d’avantage d’animaux conclura peut-être à une tout autre conclusion comme pour le moustique du métro de Londres qui n’est PLUS une nouvelle espèce. Le changement d’espèce est un miracle auquel croit les partisans de la théorie de l’évolution mais leurs exemples vivants (moustiques ou lézards sont très "faibles", scientifiquement parlant et sont contredits par des recherches SCIENTIFIQUES approfondies en génétique).

    Il n’existe pas d’espèces "entre deux" (le chainon manquant). Il n’existe pas de mutation génétique aboutissant à un changement d’espèce pour de simples bactéries avec un patrimoine génétique mitochondrial facile à étudier qui le prouverait. Les généticiens n’ont rien trouvé dans ce sens jusqu’à présent. Les modifications sont physiologiques mais l’espèce est restée la même après des dizaines de générations (plus petits, plus grands, plus gros mais toujours la même espèce).



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    Justin 9 août 2018 14:29

    @Mahler si dans un million d’années (je reste raisonnable), on trouve le fossile d’un dodo, on connaitra l’ancêtre des colibris vivants toujours à cette époque (des plumes, un bec, etc). Le dodo avait pourtant disparu depuis longtemps et les colibris existaient il y a un million d’années mais par manque de chance n’avaient pas été fossilisés ou simplement ces fossiles n’avaient jamais été retrouvés. Des savants (dans un million d’années) montreront le fossile du dodo comme la plus formidable avancée de la science moderne et expliqueront avec certitude comment le dodo s’est transformé en colibri de part les contraintes environnementales en un million d’années (il est devenu tout petit pour s’adapter en modifiant ses gênes, c’est à dire son ADN).
    L’ancêtre du colibri si on trouve son fossile dans un million d’années : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dodo_(oiseau)



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    Justin 9 août 2018 01:14

    @Debrief Effectivement, les espèces sont totalement séparées génétiquement ce qui contraint très fortement leur reproduction (une bactérie donne naissance à des ... bactéries). 

    Le chercheur cite l’exemple des lézards de l’île de Pod Mrcaru dont l’étude a été publié en 2008.  https://www.sciencedaily.com/releases/2008/04/080417112433.htm

    La critique de sceptiques férus de génétique est qu’il peut s’agir d’une "simple" nouvelle régulation de l’expression des gènes. Ces lézards pouvaient s’adapter à un changement de régime alimentaire car ils possédaient les gènes nécessaires. L’activation de ces gènes "en sommeil" s’est faite sous la contrainte de l’environnement. Cette évolution a abouti à des modifications morphologiques impressionnantes comme le développement de la valvule cæcale (préexistante chez 1% des lézards).

    L’étude génétique de ces lézards a effectivement montré qu’ils avaient conservé le même patrimoine génétique que leur ancêtres.

    ça reste bien une évolution mais l’espèce est restée la même génétiquement parlant même s’il y a eu des modifications physiologiques visibles chez les lézards.

    Ce qui aurait été intéressant, ça aurait été de confirmer une modification génétique et non d’une nouvelle régulation de l’expression des gènes mais c’est un travail extrêmement difficile.

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