Le Coran n’est pas un poème. Il ne s’analyse pas comme un texte littéraire, ni ne se compare à un texte littéraire. C’est la mère de la langue, et les formules coraniques parce qu’elles désignent les choses et les structurent entre-elles, organisent la pensée de celui qui pense au moyen du Coran.
Vous dites qu’il n’y a pas besoin du coran pour savoir honorer les mères, je vous crois, mais j’en doute, tant je les vois maltraitées, mais vous devriez avoir raison.
Et cet aspect de la réalité est aussi dans le Coran, mais il y est exprimé à une certaine place et d’une certaine façon, qui montre la hauteur du sentiment. C’est le cœur de notre humanité. Vous trouvez que c’est pas bien que le Coran en parle ?