Votre post contient sa propre
réfutation : c’est un peu fort de chercher à attribuer aux Juifs
les actes de certains de leurs ennemis qui étaient idolâtres et
qu’ils ont dénoncés en leur temps : Chaldéens, Ammonites,
adorateurs de Baal et de Moloch.
Est-il anormal que les Juifs aient
cherché à les empêcher et à poursuivre ceux qui les pratiquaient
surtout si ces actes étaient commis dans leur propre pays ?
"Il n’est pas très difficile
de réaliser qu’à travers les âges plus ou moins sombres du
judaïsme, il y eut forcément des sacrifices et des rituels
impliquant la mort d’enfants, ceci est une évidence."
Évidence ? Une énormité !
Trois des commandements du
Deutéronome, sur 10, condamnent l’idolâtrie, qui à l ’époque
menaient à des rites sanglants, sacrifices humains, meurtres
d’enfants, viols sur l’autel. Ceci montre l’importance et la
gravité de ce sujet pour Elohim (l’Éternel).
Tous ces pratiques sont condamnées par
la Torah. Elles sont totalement absentes du Judaïsme
Ces terribles diffamations antisémites et accusations ont conduit et conduisent encore dans certains pays à beaucoup de persécutions et de meurtres contre les Juifs.
En les publiant, votre responsabilité est engagée.
L’article lui-même est diffamant.
Normalement, je devrais demander sa suppression et voici pourquoi :
En écrivant d’un coté "kabbalistes
et talmudistes s’étaient autrefois querellés... Une guerre
inter-communautaire : les
uns affirmant que les autres pratiquaient les sacrifices rituels... "
: première diffamation,
Et de
l’autre :"Sachant
bien que la pratique des sacrifices rituels est encore largement
pratiquée de nos jour",
le lecteur est
inévitablement conduit à penser que les Juifs ont eu ces pratiques
et les ont toujours.
Ce n’est pas du tout mon habitude ; je
préfère la discussion, considérant que la meilleure arme est la
réfutation. Mais ici, j’ai jugé que c’était le seul moyen
compte-tenu de la gravité des diffamions incitant à la haine et au
meurtre comme on le voit depuis 1850 ans et jusqu’à nos jours. Il
fallait les stopper.
Je souhaite engager le dialogue avec
vous ; je reviendrais plus tard.