"Je suis toujours étonné par le déferlement de haine dans les commentaires dès que l’on traite de la condition animale, des abattoirs et de la viande."
Ça me paraît normal dans la mesure où les sans-viande prétendent imposer les règles de leur secte au reste de la population.
Il ne me viendrait pas à l’idée de les obliger à goûter un rognon de veau au madère ou une tranche de saumon à la crème d’aneth.
Alors qu’ils arrêtent de nous emmerder, parce qu’à la différence de ce qu’il se passe avec le pétun, il n’y a pas de carnivores passifs.
"C’est vrai que quand c’est des islamistes c’est des mauvais terroristes mais quand il s’agit des kurdes ils sont bons ??"
C’est-à-dire que quand les terroristes font leurs cochonneries chez eux et qu’ils ne tuent pas des gens de chez nous, on n’est pas obligé d’avoir une opinion.
La première question qui se pose, ce n’est pas de savoir si l’Islam est possible à réformer, mais par qui, ayant autorité sur qui ?
Quand l’Eglise catholique veut se réformer, elle organise un Concile. Il se réunit, discute, décide et communique ses décisions à une assemblée de fidèles, plutôt monolithique, si l’on fait abstraction de contestataires marginaux.
A l’opposé, on ne cesse de nous dire que l’Islam est un ensemble de branches hétéroclites n’ayant de comptes à rendre à personne, souvent hostiles les unes aux autres - la sommet étant atteint conjointement par les chiites et les sunnites -, ce qui fait qu’on ne voit très ni comment réformer ni comment universaliser les réformes.