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  • Premier article le 11/12/2018
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    totof totof 5 mars 2020 00:32

    @Laconicus
    Ha oui, Marc Ogeret c’est super, là c’est un calibre !
    D’ailleurs, il a chanté ça aussi. Ce qui n’est pas sans rappeler "PARCE QUE C’EST NOOOTRE PRROOOJEEEET !"



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    totof totof 3 mars 2020 01:19

    Ils sont bien ses édito mais je n’arrive pas à lui pardonner la mise à mort de Chouard...



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    totof totof 3 mars 2020 00:42

    Et ben moi, il y a quelque chose qui me gène.

    La deuxième partie qui commence avec les deux nanas en fait un mensonge. C’est de la musique aliénée, le grand spectacle de l’industrie culturelle qui s’approprie un élément du patrimoine populaire mondial. Paillettes, maquillage, gonzesses canons, pognon exhibé, technologie, c’est le décor du capitalisme qui vient trahir le message de la chanson. Il n’y a rien de populaire dans cette interprétation mais juste des potiches du show biz chinois qui viennent cracher à la gueule du peuple. D’ailleurs, on voit que la forme est bien celle de l’industrie culturelle occidentale, anglo-saxonne en particulier : pas franchement des amis du peuple...

    Je viens de voir dans une autre vidéo Agoravox une phrase de Victor Hugo qui disait : la forme, c’est le fond qui remonte à la surface...



  • 1 vote
    totof totof 22 février 2020 16:29

    @albert123
    Globalement d’accord avec votre propos.
    Un mot quand même. J’entends bien que la misandrie n’est pas le fond du problème mais le fait qu’elle émerge ainsi est un symptôme de cette chute que vous décrivez : à défaut de se retourner contre les exploiteurs, la population se retourne contre elle-même.
    Et puis, je ne sais pas si l’histoire a la forme de cycles...



  • 1 vote
    totof totof 21 février 2020 23:53

    @albert123
    Intéressant ça. Effectivement, on dirait bien que la période soit telle que les femmes n’ont plus de frein, ce qui a pour effet de libérer un vieux fond misandre chez elles. En particulier, elles sont libres d’utiliser sans le moindre frein social la puissance de leur sexe qu’il a toujours fallu réfréner pour maintenir la société. De tels freins existent aussi pour les hommes bien sûr, sur la violence physique par exemple, mais eux sont plus présents que jamais, à la différence des freins destinés à contrôler la puissance du sexe féminin. Du coup, ça donne des barbares avec des comportements de cours d’école comme les deux connes de la vidéo, Camille et Justine. Etrange aussi de voir que les comportements de ces hystériques sont souvent les mêmes, avec une étrange excitation.
    Bien sûr, je ne parle pas de toutes les femmes mais ça fait quand même du monde. J’ai l’impression que c’est quand même une grosse majorité mais ça doit dépendre des milieux qu’on fréquente j’imagine.

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