USA : un gang de fillette armées détient leur professeur en otage et exige moins de devoirs
Trois petites filles armées jusqu’aux dent retiennent en otage
depuis plusieurs heures leur enseignant dans une classe d’une école de
Malagune, petite ville du Wisconsin dans le nord des Etats-Unis, a
indiqué la police.
« Nous pensons qu’il y a 23 élèves dans la classe ainsi que le
professeur », en plus des trois enfants armés, qui ont fait irruption à
la fin des cours, a déclaré le chef de la police de Marinette, Jeffrey
Skorik, lors d’une conférence de presse. « Nous avons interrogés les
fillettes sur leur motivations : elles exigent moins de devoirs et moins de leçons »
, a-t-il ajouté. Vers 01h00 GMT mercredi, la prise d’otage entrait
dans sa cinquième heures. La porte-parole des service d’urgence locaux,
Kathy Jones, avait indiquer précédemment qu’aucune victime n’était à
signaler. Les autorités tentaient de déterminer le nombre d’enfants
retenus en otages et contactaient leurs parents, a-t-elle ajouté.
Moins de devoirs et moins de leçons
Les fillettes armées qui ont fait irruption dans leur petite école du
Wisconsin auraientt, selon nos informations, demandé moins de devoirs
et moins de leçon. Leur identification est en cours.
Le chef de la police locale nous apporte les premières informations concernant les assaillantes. Il explique : « Ces
preneuses d’otages sont en voie d’authentification, les services de
renseignements et les services antiterroristes ont immédiatement mis
tous leurs outils pour essayer de comprendre ce qu’il se passe. »
Les première revendications des assaillantes sont désormais connues. Le policier ajoute :
‘À l’intérieur du périmètre, le commando d’intervention est en train de
négocier, de discuter avec les enfants pour connaître leurs
revendications. Selon nos informations, les fillettes demandent moins de
devoirs et moins de travail à la maison.
. .Stérilisation des sol.. Cela commence au mois de septembre par la stérilisation des sols de
5000 hectares de serres proches du parc national de Doñana avec de la
chloropicrine, produit interdit depuis des années, mais pour lequel ces
producteurs bénéficient d’une dérogation régulièrement renouvelée. Cette
substance n’est pas nouvelle : elle a fait son entrée dans le monde
comme composant des gaz de combat pendant la première guerre mondiale et
poursuivit sa carrière dans le gazage des Kurdes en Irak.Le
bromure deméthyle (CH3Br) est également utilisé bien qu’il soit en
interdiction progressive depuis la signature du Protocole de Montréal
pour la sauvegarde de la couche d’ozone. Interdiction totale confirmée
en Europe (y compris en Espagne) depuis juillet 2005. Non seulement ce
produit contribue à détruire la couche d’ozone mais il induit des
troubles du système nerveux pour ceux qui le manipulent. Il peut rester
en traces dans les fraises qui absorbent ce qu’il en reste dans le sol.
Les quantités épandues chaque année sur les terres à fraisiers
approchent le millier de tonnes, soit environ 500 kilogrammes à
l’hectare. Quand il devient impossible de se procurer ces produits, ils
sont élaborés sur place par mélanges, malgré les risques de comportent
la fabrication de ces « cocktails ». Pour s’en convaincre, il suffit de
parcourir les énormes décharges où s’entassent, avec le plastique des
serres, des centaines de bidons abandonnés par les « agriculteurs ».