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Rounga

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  • Premier article le 25/01/2014
  • Modérateur depuis le 12/02/2014
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Derniers commentaires




  • vote
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 18:03

    Je te le répète : je ne parle que du pouvoir politique, c’est-à-dire celui qui vise à l’organisation de la société. A ce que je sache, le but de ton travail n’est pas de devenir dictateur. Par conséquent, ces considérations ne s’appliquent pas à tes relations de travail. Je ne dirais d’ailleurs pas que tu as un pouvoir sur eux, mais que vous êtes liés par un contrat, écrit ou tacite.
    Après, ce que tu dis sur la personne de Soral ne m’intéresse pas. Je n’ai pas envie d’en faire un de mes potes, donc je m’en fous des travers qu’il peut avoir dans le privé. Ce qui m’intéresse, c’est qu’il intervient dans le commentaire de l’actualité en-dehors d’un certain conformisme intellectuel. Par conséquent ce sont les analyses qu’il fait qui m’intéressent.



  • 10 votes
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 17:32

    Je ne fais pas partie de la secte, donc tu n’as pas à me faire passer d’examen pour savoir si j’ai bien compris ou non la parole prophétique "du maitre"...


    C’est juste que si tu l’accables sans avoir compris ce qu’il dit, ça la fout mal pour toi.



  • 3 votes
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 17:30

    Bon ok, donc t’as rien compris.



  • vote
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 17:29

     tu confonds sans une once de questionnement pouvoir et abus de pouvoir

    Eh bien oui, c’est une chose que je dois à Soral, d’ailleurs : le vrai pouvoir, c’est l’abus de pouvoir. J’ai réfléchi un moment là-dessus et je me suis rendu compte que ce qui m’empêchait de l’accepter était ma conception naïve et angélique de la politique. Enfin bon, ça ne devrait pas déranger un anarchiste puisque c’est là une considération accablante contre le pouvoir.

    Pour répondre sur ton analogie du scarabée : je ne parle que de politique, et donc ce que je dis n’implique pas les rapports de force situés en-dehors de ce champ. Par exemple, le rapport de force père-fils est totalement disproportionné, mais cela ne veut pas dire que le père va en abuser. L’amour, la bienveillance, et la vocation du père, qui est de faire de son fils un successeur, devraient normalement l’interdire. Le pouvoir dont je parle est celui que prend un homme ou un groupe d’homme pour organiser la vie en société.
    Je ne dis pas non plus que celui qui a le pouvoir va se mettre à agir par sadisme. Il peut le faire, effectivement, si sa personnalité est déjà sadique, mais dans la plupart des cas, les abus de pouvoir seront le fruit de calculs froids en vue de la conservation du pouvoir.



  • 1 vote
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 16:43

    En fait, le pouvoir est toujours fonction d’un rapport de force. Si le rapport de force est écrasant en ma faveur, on peut dire que j’ai un pouvoir absolu. Si le rapport de force est équilibré entre moi et différentes entités (personnes, partis, lobbies) je n’ai qu’un pouvoir modéré. Et enfin, si le rapport de force me donne perdant à cent contre un, mon pouvoir est pour ainsi dire nul.

    Pour ma part, je souhaite garder un pouvoir nul, car tout l’éventail de pouvoir qui va de "pouvoir un peu plus que nul" à "pouvoir absolu" pose des problèmes, car la question est toujours de conserver son pouvoir et de l’augmenter. En effet, le pouvoir se définit comme la capacité d’appliquer les mesures que l’on a décidées, et le but d’un homme politique véritablement dévoué à sa cause est de mettre en oeuvre son programme. D’autres personnes veulent le pouvoir pour les avantages matériels qu’il rapporte, mais dans ce cas là aussi ils veulentt soit conserver leur pouvoir soit l’augmenter. Si j’ai un pouvoir modéré, alors je suis obligé de faire des concessions, des compromissions, je vais courber l’échine et ramper devant ceux qui ont un peu plus de pouvoir que moi. Si je ne fais pas ça, je jarte en deux secondes. Si j’ai le pouvoir absolu, j’ai conscience que des gens rêvent secrètement de me renverser, et qu’ils profiteront de la moindre perturbation du rapport de force pour le faire. Je dois donc maintenir celui-ci coûte que coûte, ce qui ne peut pas se faire sans répression, aussi subtile soit-elle. C’était dans ce cas de figure que me plaçais hypothétiquement en disant "si j’avais le pouvoir".

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