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Rounga

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  • Premier article le 25/01/2014
  • Modérateur depuis le 12/02/2014
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Derniers commentaires




  • 10 votes
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 16:05

    Je croyais que Soral "copiait" la pensée de Clouscard et de Michéa ? Alors il faudrait savoir : ou bien c’est vrai et alors son "purin "intellectuel"" est le même que les deux intellectuels précités et que pourtant tu trouves dignes d’intérêt, ou bien c’est faux et alors tu disais des conneries.

    Si en plus de me démêler ce problème tu pouvais essayer de résumer les grandes lignes de la pensée de Soral, ça m’aiderait, car ça me permettrait de voir si tu as compris ce qu’il raconte.



  • 3 votes
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 16:00

    L’argument principal développé dans cette video est que ceux qui se prononcent pour la liberté d’expression sont hypocrites car eux-mêmes, s’ils arrivaient au pouvoir, seraient au moins aussi intolérants


    Bon, moi je l’avoue : si j’étais au pouvoir, je limiterais absolument la liberté d’expression et j’irais sans doute jusqu’à interdire certains organes de presse et certaines chaînes de télé.
    Et pourtant, je suis pour la liberté d’expression totale.
    Alors, il est où le paradoxe ? Ben en fait, il y en a pas, parce que le pouvoir, j’en veux pas. Je ne suis pas atteint par cette maladie mentale qui donne envie de vouloir s’occuper de la vie des autres. J’ai compris que la liberté est l’inverse du pouvoir ("c’est un homme libre : personne ne le sert" Alain (pas Soral)), et que le pouvoir corromprait même le meilleur des hommes. Car si le meilleur des hommes arrivait par accident au pouvoir, il voudrait appliquer la meilleure des politiques, ce qui lui attirerait des inimitiés. Par conséquent, le problème principal qu’il aura à résoudre ne sera pas "quelles sont les mesures les meilleures à prendre ?", mais "comment conserver le pouvoir pour appliquer ces mesures ?". C’est ainsi qu’il se verra forcé d’entrer dans le rapport de force, ce qui implique de limiter l’expression des idées qui pourraient sérieusement lui nuire.
    Par conséquent, il n’est pas raisonnable de dévoiler l’intolérance d’une personne en spéculant sur ce qu’il ferait s’il avait le pouvoir. Ou alors c’est confondre intolérance et désaccord radical.



  • 6 votes
    Rounga Flifuche 30 juillet 2013 15:16

     eh bien !, je te parie ce que tu veux que 99% des coms ne feront référence qu’au Grand Gourou, tu peux tourner le problème dans le sens que tu veux, ce n’est pas moi qui suis responsable de ça.

    Là tu es malhonnête : tu as fait tout un texte pour annoncer que tu allais parler de Soral, et ensuite tu fais l’étonné que ce soit sur ce sujet que les commentateurs rebondissent.



  • 2 votes
    Rounga Flifuche 23 juillet 2013 10:43

    Le Nouvel Observateur fait en ce moment sa une sur "Voltaire l’indigné". On peut y trouver une série d’éloge délirants de notre Arouet national. J’aimerais bien savoir ce que Marion Sigaut penserait en voyant ça.



  • 1 vote
    Rounga Flifuche 16 juillet 2013 18:14

    Le fait de poser l’être humain comme un individu pourvu de droits qu’on ne peut absolument pas lui enlever présuppose l’individualisme et une place privilégiée du droit dans la pensée politique. Or, ces deux présupposés n’ont rien de particulièrement universel. Pour les Anciens, la question du droit ne venait qu’après avoir répondu à la question de savoir la nature véritable des choses et de l’Homme. Poser comme un absolu les droits que tout individu a aurait été saugrenu, car ç’aurait été placer la charrue avant les boeufs : on n’a rien dit de la question principale, à savoir ce que tout homme est. C’est le libéralisme qui a donné une place centrale au droit dans la pensée politique (le droit et le marché formant l’axe neutre autour duquel allait désormais se structurer la vie politique, évitant ainsi les guerres de religion), et qui a considéré l’homme comme une monade isolée (tout individu ne participant plus à la vie sociale qu’en poursuivant son intérêt bien compris). Nous comprenons donc que les droits de l’Homme sortent tout droit du libéralisme et des Lumières.

    Il ne faudrait tout de même pas en conclure que la bienveillance, la compassion, le respect de la dignité humaine, la réciprocité, qui faisaient certainement partie des choses que les rédacteurs des droits de l’Homme ont voulu instituer, ne sont pas universels. Au contraire, toutes les cultures connaissent ces valeurs, et on n’a pas attendu les droits de l’Homme pour les découvrir. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la diversité des peuples et des cultures rendra toujours vain le désir de vouloir trouver une forme qui saura imposer absolument ces valeurs de manière universelle.

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