J’ai arrêté au bout de 3 minutes 24 quand j’ai vu Pignouf 1er prendre la parole.
Mes impressions jusque là étaient les suivantes. Cémil est quelqu’un de talentueux, ça je le savais déjà, mais il a visiblement des difficultés à prendre ses marques au Média. C’est pas vraiment le même monde.
@Luc24
"AFP Factuel" n’a rien démontré du tout.
Il prétendent notamment qu’ils serait trompeur de dire que SRAS-CoV-2 n’est pas plus dangereux que les autres coronavirus. Visiblement AFP factuel n’est pas au courant que des gens décèdent de ruhme tous les ans.
Je signale votre contribution mensongère.
Oui, j’avais déjà des doutes en octobre-novembre. À l’époque on parlait juste de petites bouffées délirantes par ci par là.
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-campagnol-n-y-va-pas-de-main-87648
Mais là je crois que c’est officiel, il est complètement taré.
@bubu12
Sur la fin quand elle parle de "mortalité insupportable" on voit que soit elle a pas étudié l’affaire, soit qu’elle est dans l’émotion.
Et puis bon, ce "faites moi confiance" me parait suspect. Ce n’est plus l’Irène Frachon d’il y a trente ans. Si elle était vraiment sûre de ce qu’elle avance, et que pour elle c’était vraiment important, elle dirait qu’elle est prête à en débattre publiquement face à n’importe quel contradicteur.
@joelim
Intéressant. Ya un endroit avec des gens qui réfléchissent à ça ?
@Conférençovore
Au second tour oui, j’avais mieux à faire.
Un peu moins jeune que la miss, j’ai un peu voté à ce double scrutin.
Premier tour des départementales, vote nul. Trois candidatures, toutes magnifiques. J’ai donc mis les trois bulletins dans l’enveloppe.
Premier tour des régionales (IDF). 40% nul, 30% blanc, 20% liste citoyenne, 10% gratuité des transports en commun. Là j’ai mis un unique bulletin dans l’enveloppe, mais en utilisant la technique du vote quantique.
Deuxième tour, abstention.
Je ne sais plus comment s’appellent ces petites sentences orientales à visée spirituelle, qui combinent des proposition apparemment contradictoires. Tout dépend de comment on les interprète. La plupart concernent l’égo.
Cette production de Chambon m’inspire la suivante :
Quand tu fais tout seul, en fait t’es pas tout seul.
Bonjour Nigari,
vous avez l’air en pointe sur ces questions, et j’aimerais avoir votre avis sur un témoignage qu’une amie m’a envoyé.
Il s’agit d’un militaire qui dit avoir vu des choses horribles au Burundi.
https://drive.google.com/file/d/1LMUqLc6KQrSNiTPz6cH7wgHm-9X_aUg5/view?usp=sharing
Bien cordialement,
@Mao-Tsé-Toung
À la décharge d’Onfray, le fait qu’il ait été mal perçu et moqué par des universitaires bardés de diplômes. Lui est en grande partie un autodidacte.
@Vivre est un village
C’est sur cette question que j’aimerais bien voir un débat. Quel est le niveau d’endettement public acceptable ?
Pas d’accord avec la prémisse de la démonstration.
En effet elle se base sur le concept d’étonnement.
Or pour les gens un minimum conscients, il n’y a rien d’étonnant dans cette affaire. Par exemple les lecteurs de Nexus n’ont pas du être très étonnés de l’exploitation du couillonavirus. Cela fait plusieurs années qu’ils sont alertés dans le courrier des lecteurs, du fait que des financiers maîtrisent de nombreux scientifiques. Et que cela fait peser de graves menaces sur nos libertés publiques.
@Gaspard Delanuit
Olala, faut pas vous embêter.
Moi ce genre de truc je laisse.
Pour voir si y’en a qui suivent.
@Zolko
C’est très simple. Après la procédure décrite dans la vidéo j’ai une enveloppe qui contient le bulletin avec lequel je vais voter. Le problème c’est que je ne veux pas savoir quel est ce bulletin.
En effet, s’il s’agit du bulletin pour la gratuité des transports en commun, ce bulletin ne me satisfait qu’à 10 %, donc ça me ferait mal aux fesses de savoir que c’est celui-là que j’ai mis dans l’urne.
Donc explique moi, comment avec une machine à voter, je vais désigner un bulletin sans le connaître.
*
De toute façon le problème des machines à voter style Dominion (rien que le nom !) c’est qu’elles votent à ta place. Ouais OK elles affichent quelque chose sur l’interface graphique, mais qu’est-ce qui te prouve qu’elles votent effectivement pour ce qui est affiché à l’écran ?
Rien. Absolument rien.
*
Par contre là où je suis d’accord avec toi, c’est que la machine peut aider à gérer une complexité. C’est l’objet de ma réponse à Gaspard (07:55). Mais elle doit nous aider, elle ne doit pas faire à notre place. C’est toute l’éthique de l’informatique.
@Hijack ...
La civilisation complique les choses par rapport à l’état de nature. Est-elle si mauvaise que ça ?
D’autre part votre digression sur le vote électronique montre que vous n’avez pas compris. Car justement, le vote électronique _empêche_ le vote quantique.
@Hijack ...
Pour calculer le résultat de l’élection à partir des répartitions bayésiennes propres à chaque votant avant le dépouillement, on ajoute les valeurs des états superposés. Or ce concept d’états disjoints mais superposés d’un système ne se retrouve qu’en mécanique quantique.
Pour l’aspect tarabiscoté vous avez raison, mais il s’agit d’une utilisation habile d’un outil rudimentaire, le suffrage universel à deux tours tel que défini dans la loi française.
Utiliser à grande échelle, et de manière habile un outil rudimentaire, pour faire des merveilles avec, il est là le génie d’un peuple.
Et je pense qu’il est temps que le peuple français élève le niveau de son jeu.
@rinbeau
Oui, c’est vrai.
Ce que l’on appelle physique quantique est avant tout un formalisme mathématique. Lorsque l’on dit que les physiciens ne comprennent rien à la physique quantique, on dit juste qu’il s’évertuent à trouver une interprétation physique à ce formalisme mathématique, alors qu’il n’y a rien à trouver, sauf à s’appeler Philippe Bobola ou Mao-Sait-Tout avec leurs soit-disant ontologies !
@Gaspard Delanuit
Il n’y a pas de différence de fond entre vote quantique et vote bayésien. Dans les deux cas il s’agit de votes à points. Tout dépend du paramétrage — nombre de points total — et de ce que veux exprimer le votant.
La différence est au niveau de la forme. En effet, si je veux voter à 0,5 % pour une possibilité, avec la méthode exposée dans la vidéo il me faudrait deux cent bulletins de vote ! D’un point de vue pratique ou même écologique ce n’est pas envisageable.
Mais c’est là que la machine peut intervenir pour aider l’être humain. On peut imaginer un "carrousel bayésien", que je vais m’empresser d’inventer, et qui permettra de déposer autant d’enveloppes qu’il y a de possibilités réelles.
Le carrousel, paramétrable au moyen d’un ordiphone muni d’une connexion Bluetooth, permettra d’affecter à chaque enveloppe un pourcentage de sortie. Puisque le client est roi on satisfera tous ses extravagances, y compris celui d’affecter un pourcentage dont la valeur pourra être le résultat d’un calcul complexe faisant intervenir Pi ou même le nombre d’or !
Une fois la machine alimentée en bulletins et paramétrée, un moteur fera tourner le carrousel d’un angle désignant l’enveloppe du vote effectif. Quelque artefact — opacité des compartiments, musique pour couvrir le bruit du moteur, etc — permettra de ne pas savoir de quelle enveloppe de départ il s’agit.
Bref, anecdotiquement, le vote quantique va révolutionner la manière de voter en France puis dans le monde. Mais plus sérieusement, le carrousel bayésien va me permettre d’évoluer du statut de simple informaticien à celui d’inventeur.
Vote quantique et deuxième tour
Je vois quatre états possibles pour un vote quantique au second tour.
Déjà, le vote nul. Il sert à qualifier le type de scrutin. En ce qui concerne les élections régionales, il est évident que le type de scrutin — par liste — est absolument nauséabond. Il facilite la corruption, car les grands capitalistes peuvent focaliser toute la communication sur des têtes des listes bien propres sur eux, et faire passer en douce des apparatchiks douteux qui du coup leur doivent tout.
Le vote blanc aussi a son opportunité. Surtout quand les qualifiés au second tour n’ont pas réuni la majorité au premier tour. Le vote blanc sert à donner son avis sur les candidats, en particulier si on pense qu’aucun d’entre eux ne fait l’affaire. Cela est valable aussi au second tour.
Et puis même si on veut bien voter pour un candidat restant, pourquoi ne pas donner quelques points aussi à son adversaire ? Car après tout, même si l’on trouve qu’un finaliste nous plaît plus que l’autre, n’y a-t-il pas des sujets sur lesquels cette tendance est inversée ? Pourquoi se contenter d’un vote grossier, type "tout ou rien" ? Pourquoi ne prendrions nous pas le droit d’être nuancés, y compris dans l’expression de nos préférences politiques ?
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