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  • 3 votes
    BA 23 février 2022 14:03

    Le 6 mars 1991, les occidentaux s’étaient engagés à ne pas étendre l’OTAN au-delà de l’Elbe. Trente ans plus tard, nous pouvons regarder ce que les occidentaux ont fait : ils ont étendu l’OTAN vers l’est, de plus en plus vers l’est, toujours de plus en plus vers l’est, en trahissant leurs engagements.


    Aujourd’hui, les occidentaux paient cette trahison.


    La carte des pays membres de l’OTAN, avec la date de leur adhésion :


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_du_trait%C3%A9_de_l%27Atlantique_nord#/media/Fichier:History_of_NATO_enlargement.svg


    Crise en Ukraine. La preuve que les occidentaux s’étaient engagés à ne pas étendre l’Otan vers l’Est.


    Un document émanant des archives nationales britanniques corrobore la thèse avancée par Moscou de l’existence d’un engagement de Washington et des puissances occidentales à ne pas étendre l’Alliance atlantique vers l’Est. Le magazine allemand Der Spiegel en révèle l’existence.


    Ce texte, longtemps classé secret défense, a été remonté des profondeurs des archives par le chercheur états-unien Joshua Shifrinson, professeur à l’université de Boston.


    Il y est question du procès verbal d’une réunion des directeurs politiques des ministères des affaires étrangères des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Allemagne, tenue à Bonn le 6 mars 1991. Le thème était la sécurité en Europe centrale et orientale.


    Le document fait part sans la moindre ambiguïté d’un engagement de Washington, Londres, Paris et Bonn à ne pas étendre l’Alliance atlantique vers l’Est. Une telle expansion serait « inacceptable », est-il dit explicitement.


    « Nous avons clairement indiqué lors des pourparlers 2 plus 4 (sur l’unification allemande, avec la participation de la RFA et de la RDA, ainsi que des États-Unis, de l’URSS, du Royaume-Uni et de la France) que nous n’étendons pas l’OTAN au-delà de l’Elbe, » explique Jürgen Hrobog, le représentant de la RFA, avançant une position bien entendu convenue avec le chancelier de l’époque, Helmut Kohl.


    Et d’expliciter, cité par le journal  : « Par conséquent, nous ne pouvons pas proposer à la Pologne et aux autres pays d’adhérer à l’OTAN. »


    https://www.humanite.fr/monde/otan/crise-en-ukraine-la-preuve-que-les-occidentaux-setaient-engages-ne-pas-etendre-lotan-vers




  • 4 votes
    BA 23 février 2022 14:02

    Le 6 mars 1991, les occidentaux s’étaient engagés à ne pas étendre l’OTAN au-delà de l’Elbe. Trente ans plus tard, nous pouvons regarder ce que les occidentaux ont fait : ils ont étendu l’OTAN vers l’est, de plus en plus vers l’est, toujours de plus en plus vers l’est, en trahissant leurs engagements.


    Aujourd’hui, les occidentaux paient cette trahison.


    La carte des pays membres de l’OTAN, avec la date de leur adhésion :


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_du_trait%C3%A9_de_l%27Atlantique_nord#/media/Fichier:History_of_NATO_enlargement.svg


    Crise en Ukraine. La preuve que les occidentaux s’étaient engagés à ne pas étendre l’Otan vers l’Est.


    Un document émanant des archives nationales britanniques corrobore la thèse avancée par Moscou de l’existence d’un engagement de Washington et des puissances occidentales à ne pas étendre l’Alliance atlantique vers l’Est. Le magazine allemand Der Spiegel en révèle l’existence.


    Ce texte, longtemps classé secret défense, a été remonté des profondeurs des archives par le chercheur états-unien Joshua Shifrinson, professeur à l’université de Boston.


    Il y est question du procès verbal d’une réunion des directeurs politiques des ministères des affaires étrangères des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Allemagne, tenue à Bonn le 6 mars 1991. Le thème était la sécurité en Europe centrale et orientale.


    Le document fait part sans la moindre ambiguïté d’un engagement de Washington, Londres, Paris et Bonn à ne pas étendre l’Alliance atlantique vers l’Est. Une telle expansion serait « inacceptable », est-il dit explicitement.


    « Nous avons clairement indiqué lors des pourparlers 2 plus 4 (sur l’unification allemande, avec la participation de la RFA et de la RDA, ainsi que des États-Unis, de l’URSS, du Royaume-Uni et de la France) que nous n’étendons pas l’OTAN au-delà de l’Elbe, » explique Jürgen Hrobog, le représentant de la RFA, avançant une position bien entendu convenue avec le chancelier de l’époque, Helmut Kohl.


    Et d’expliciter, cité par le journal  : « Par conséquent, nous ne pouvons pas proposer à la Pologne et aux autres pays d’adhérer à l’OTAN. »


    https://www.humanite.fr/monde/otan/crise-en-ukraine-la-preuve-que-les-occidentaux-setaient-engages-ne-pas-etendre-lotan-vers




  • 1 vote
    BA 5 février 2022 14:36

    A propos de la corruption et des rétro-commissions, les deux questions sont les suivantes :

    1- Qui sont les commissaires européens qui ont touché des rétro-commissions versées par l’entreprise Pfizer ?

    2- Qui a touché combien ?


    En mai 2021, la Commission Européenne signe un contrat d’achat de 1,8 milliard de doses de vaccin avec l’entreprise Pfizer. Une dose de vaccin Pfizer coûte 15,50 euros. Je répète cette donnée très importante : une dose de Pfizer coûte 15,50 euros.


    Problème : nous venons d’apprendre que des SMS secrets ont été échangés entre Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer, Albert Bourla, pendant le mois d’avril 2021. Ursula von der Leyen refuse de rendre publics ces SMS secrets.


    Quelques jours plus tard, au moment de la signature du contrat, en mai 2021, la Commission Européenne accepte de payer la dose 19,50 euros ! En clair : 4 euros de plus que le prix de la dose !


    Ce surcoût ahurissant est de :

    1,8 milliard de doses multiplié par 4, … soit 7,2 milliards d’euros !


    Les journalistes d’investigation qui ont l’habitude de ces surcoûts titanesques savent que dans ce genre d’affaires, l’entreprise privée reverse ensuite des rétro-commissions, secrètement, en toute illégalité.


    1- Qui sont les commissaires européens qui ont touché des rétro-commissions versées par l’entreprise Pfizer ?

    2- Qui a touché combien ?


    Dans le journal Libération :


    Ursula von der Leyen voudrait alimenter les thèses complotistes qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. En effet, la présidente de la Commission a refusé de rendre publics les SMS échangés en avril 2021 avec le directeur général du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, le Grec Albert Bourla, alors qu’elle négociait, au nom des Etats membres de l’Union, l’achat de 1,8 milliard de doses supplémentaires du vaccin contre le Covid pour un montant de 35 milliards d’euros. La particularité de ce contrat, conclu en mai, est qu’il a porté le coût de la dose de 15,50 à 19,50 euros, soit une augmentation d’un quart du prix, ce qui n’est guère un résultat brillant vu la quantité commandée…


    https://www.liberation.fr/international/europe/textos-avec-le-pdg-de-pfizer-mais-que-cache-ursula-von-der-leyen-20220128_EPGI4MVZHZGODFY2WGG6U7Q2IM/




  • 1 vote
    BA 5 février 2022 14:35

    A propos de la corruption et des rétro-commissions, les deux questions sont les suivantes :

    1- Qui sont les commissaires européens qui ont touché des rétro-commissions versées par l’entreprise Pfizer ?

    2- Qui a touché combien ?


    En mai 2021, la Commission Européenne signe un contrat d’achat de 1,8 milliard de doses de vaccin avec l’entreprise Pfizer. Une dose de vaccin Pfizer coûte 15,50 euros. Je répète cette donnée très importante : une dose de Pfizer coûte 15,50 euros.


    Problème : nous venons d’apprendre que des SMS secrets ont été échangés entre Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer, Albert Bourla, pendant le mois d’avril 2021. Ursula von der Leyen refuse de rendre publics ces SMS secrets.


    Quelques jours plus tard, au moment de la signature du contrat, en mai 2021, la Commission Européenne accepte de payer la dose 19,50 euros ! En clair : 4 euros de plus que le prix de la dose !


    Ce surcoût ahurissant est de :

    1,8 milliard de doses multiplié par 4, … soit 7,2 milliards d’euros !


    Les journalistes d’investigation qui ont l’habitude de ces surcoûts titanesques savent que dans ce genre d’affaires, l’entreprise privée reverse ensuite des rétro-commissions, secrètement, en toute illégalité.


    1- Qui sont les commissaires européens qui ont touché des rétro-commissions versées par l’entreprise Pfizer ?

    2- Qui a touché combien ?


    Dans le journal Libération :


    Ursula von der Leyen voudrait alimenter les thèses complotistes qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. En effet, la présidente de la Commission a refusé de rendre publics les SMS échangés en avril 2021 avec le directeur général du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, le Grec Albert Bourla, alors qu’elle négociait, au nom des Etats membres de l’Union, l’achat de 1,8 milliard de doses supplémentaires du vaccin contre le Covid pour un montant de 35 milliards d’euros. La particularité de ce contrat, conclu en mai, est qu’il a porté le coût de la dose de 15,50 à 19,50 euros, soit une augmentation d’un quart du prix, ce qui n’est guère un résultat brillant vu la quantité commandée…


    https://www.liberation.fr/international/europe/textos-avec-le-pdg-de-pfizer-mais-que-cache-ursula-von-der-leyen-20220128_EPGI4MVZHZGODFY2WGG6U7Q2IM/



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    BA 9 janvier 2022 15:33

    BILAN MONDIAL


    La pandémie a fait plus de 5.483.023 morts dans le monde, selon le bilan de l’AFP ce dimanche. Les États-Unis demeurent le pays le plus endeuillé avec 837.264 morts, suivis par le Brésil (619.937 morts), l’Inde (483.790 morts), la Russie (316.163 morts), le Mexique (300 303 morts), le Pérou (203 019 morts), le Royaume-Uni (150 537 morts), l’Italie (138 881 morts), l’Iran (131 847 morts), la Colombie (130 288 morts), la France (126 337 morts).


    L’Organisation mondiale de la santé estime toutefois, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.


    https://www.lci.fr/sante/en-direct-covid-19-variant-omicron-pandemie-coronavirus-plus-de-300000-cas-en-24-heures-en-france-l-hopital-sous-tension-les-chiffres-virus-2196156.html


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