très intéressant probablement, mais la traduction de Intergovernmental Panel On Climate Change
par GIEC —Groupe International d’Experts du Climat — m’a fait interrompre le visionnage.
La première chose à savoir et à dire quand on conteste la doxa climatique c’est ceci :
Le GIEC — qui n’est absolument pas composé d’experts du mais de délégués des différentes pays — , sert essentiellement aux nations à défendre leur bout de gras national face aux implications qu’induira l’adoption au niveau mondial, d’un réchauffement prétendument du au CO2 anthropique.
Le sujet dont s’occupe cet organisme international qui, à l’instar de la plupart des institutions internationales, n’est pas le climat, mais le prétendu changement du climat. Nuance.
Dès lors, toute contestation de la réalité dudit changement ou à sa supposée causes, est interdite.
C’est bien ce qu’Orwell avait prévu. L’Angleterre a choisi son camp, et la France est condamnée, avec les autres pays d’Europe et la Russie.
« Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d’Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l’hypothèse qu’ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours. »
La traduction française du groupe de représentants des 200 nations pour le climats à l’ONU désigné par l’acronyme GIEC est une tromperie, une mystification.
En effet, lesdits représentants ne sont en rien des experts du climat comme le discours officiel l’affirme et les GAFAM le traduisent, mais des lobbyistes représentants les intérêts économiques de leurs nations respectives. Et généralement, ils soutiennent des positions non conformes à ce que soutiennent et démontrent les véritables climatologues encore libres de leur parole.
Comment expliquer que les représentants des pays pauvres ne dénoncent pas ce discours fallacieux au sujet du CO2, et donc de l’énergie, qui profite aux pays riches ? Parce qu’ils réclament et reçoivent des subventions à titre de dédommagements pour le CO2 produit par les pays riches. Et qu’il est plus facile de vivre de subventions que de travail.