Ce sont les plus excités du CRIF qui, tout minoritaires qu’ils sont au sein des juifs même pratiquants, tout minoritaires qu’ils étaient dans la marche, ont décidé que ceux qui s’opposent à la politique féroce de Netanyahou contre les Palestiniens occupés, n’avaient pas le droit de manifester auprès du fils de la victime leur condoléance, assimilant l’hostilité à Netanyahou à de l’antisémitisme ! Il serait temps qu’une organisation apolitique de juifs vienne concurrencer ce CRIF non représentatif.
"L’entretien de la classe politique aussi se situe au-dessus de nos moyens, dans un monde idéal, sans capital, quelle serait sa raison d’être ?"
La classe politique coûte cher mais ne grève pas l’économie comme le font les ultra-riches, des parasites sociaux dont on pourrait facilement se passer.
Alors que les politiques élus démocratiquement seront toujours nécessaires pour voter les lois et les appliquer (pouvoir législatif et exécutif)
C’est le travail qui fait la valeur du bien et du service. Sans travail il n’y a pas de bien ou de service. Cela n’a pas de sens de parler de "coût" !
À la rigueur on pourrait parler de la PART du travail dans le prix facturé d’un bien ou d’un service, à côté de la part de l’impôt privé que représente le capital et de l’impôt public que représente la TVA.
Le monde a quand même précisé à la fin de l’article, comme à regret, que le démissionnaire n’avait eu accès aux comptes de campagne que d’un seul candidat : JLM ! ni aux comptes de Macron ni aux comptes de Le Pen !!
Et l’on voit bien à la lecture dudit article, que les récriminations du démissionnaire sont restées dans le flou : s’il y en avait eu de sérieuses et précises, on aurait fait un gros titre à la une !
Le problème est que le Mélenchon bashing s’essouffle et qu’il faut relancer calomnies et soupçons avant le lancement du journal télévisé en ligne Le Média, qui effraie ces messieurs.