C’est donc le nombre de voix recueillis qui fait la force du candidat et non son programme ? Bien vu capobianco.
Mélenchon a fait au premier tour 7 millions de voix sur les 36 millions de votes prononcés. Il propose de modifier la Constitution en faisant voter les Français. Il faut atteindre la majorité soit 18 millions de voix pour valider une nouvelle Constitution.
Il lui manque juste 11 millions de voix ! Voyez vous, lorsque vous voulez faire parler les chiffres, vous le pouvez toujours à votre détriment ! Il a une baguette magique Mélenchon pour trouver ses 11 millions d’électeurs pour valider la nouvelle Constitution qui sera, nécessairement, "euro-compatible", faute de quoi c’est direction la sortie de l’UE, ce que réprouve avec force Mélenchon bien sur !
@Sparker Je pense que comme Mélenchon, vous pourrez réfléchir à ce que signifie "l’unanimité" dans l’Union européenne.
Votre fidèle et dévoué Mélenchon vient de la découvrir en ce qui concerne la "fraude fiscale". Encore un effort et il verra que cette unanimité s’applique également au changement des traités, à la "renégociation" des traités qu’il affectionne tant et vous aussi n’et-ce pas Sparker. Rassurez-moi, vous êtes bien sur favorable à la renégociation des traités de fond en comble n’est-ce pas ? Rappelez moi qui dit des âneries !
En conférence à Lille au mois d’octobre 2018. J’espère que vous avez suivi Sparker !
Je vois que vous ne connaissez pas les règles précises du droit procédural.
Lorsque Mélenchon est arrivé au siège de la France insoumise la perquisition était déjà en cours. Cela veut dire que dès le début de celle-ci, en l’absence du "propriétaire" ou "locataire" des lieux, les officiers de police judiciaire ont eu recours à l’assistance de 2 témoins comme le prévoit la loi. La perquisition en cours n’était donc pas "illégale" comme vous l’écrivez. " si la perquisition se déroule sans l’accord de l’occupant et qu’il est absent, l’OPJ désigne 2 témoins majeurs (hors policiers ou gendarmes)."
Un tableau synoptique qui révèle tout et qui permet de comprendre les subtilités procédurales.
Juste une réponse très courte : la France appartient à un système "supranational". Il faut arrêter de croire que "nos" dirigeants", nos "élus" dirigent la France. Ce n’est plus le cas. Les traités européens ont intégré la Constitution française et s’appliquent, que cela plaise, ou non, aux Français et à leurs élus. Depuis le traité de Lisbonne la France est une "province" de l’Union européenne.