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  • 2 votes
    bebol bebol 17 octobre 2012 14:06

    Il est tout à fait dommage de voir autant d’insultes et de grossièretés sur un sujet qui mériterait, à tout le moins, une véritable retenue, bien utile à la bonne compréhension des opinions de chacun.
     
    J’ai déjà donné mon avis sur Hosein sous une autre vidéo, il y a quelques jours. Je rappellerai donc rapidement qu’il est simplement un personnage qui ne me convient pas. J’aimerais néanmoins dire ceci sur l’athéisme : j’ai dit moult fois sur Agoravox ne pas croire en un dieu, quel qu’il soit. Car il n’est pas nécessaire à ma compréhension et mon appréhension du monde. Mais je ne remets pas en cause pour autant la foi d’autrui. Ce, dans l’absolu. Pourquoi dans l’absolu ? Car ce qui importe sont les actes des individus. Que ces actes-là soient bons pour moi ou autrui, cela est suffisant pour le considérer comme une bonne personne, croyante ou non, et agir ou dire en conséquence. Que ces actes-là soient mauvais pour moi ou autrui, cela est suffisant pour le considérer comme une mauvaise personne, croyante ou non, et agir ou dire en conséquence.
     
    Il est évident que l’absence de foi ne fait pas des hommes de meilleurs hommes du fait même de cette absence. Et la présence de foi, non plus. Je tiens pour très importante la distinction entre le bien et le mal ("par-delà" n’existe pas... selon moi). Et cela seul importe.
     
    Mon peu d’attache au matériel ne m’empêche pas d’apprécier la science, ses avancées, ses découvertes, ses explications... matérialistes. Et ma grande attache à une conduite morale ne m’empêche pas de ne pas me sentir la nécessité d’être lié directement à une religion ou un dieu.



  • 6 votes
    bebol bebol 15 octobre 2012 18:52

    @Madoff m’a voler
     
    La brutalité de votre remarque est d’une vérité douloureuse !
     
    Le Japon est un pays dont la hierarchie verticale est très forte et rigide aujourd’hui encore. Et ce pays s’est retrouvé, après guerre, à devoir avaler à grandes goulées l’idéologie marchande libérale dont vous parlez : ordre de l’enculé d’oncle Sam ! A marche forcé, ce pays s’est modernisé, s’est développé et s’est soumis totalement à un système économique destructeur des âmes au possible. Cette rigidité sociale, cette nécessité morale de soumission au(x) supérieur(s), au pays, poussent les travailleurs à trimer et trimer, à passer plus de temps au boulot qu’à la maison, à se marier par obligation sociale (le mariage, là-bas, est autrement plus important qu’ici) plus que par envie, à se cuiter de ci de là dans les bars, le soir, avec les collègues, plutôt que passer du temps avec épouse et enfant(s).
     
    C’est, bien sûr, schématiser... mais loin d’être faux. Et dans une situation comme cela, dans une vie comme celle-là, il est évident que la sexualité en pâtit : user, fatiguer, violenter son corps au travail, pour le travail, dans cet esprit de soumission à l’entité supérieure ne guide pas particulièrement à l’épanouissement des corps amoureux... le corps n’étant qu’une machine vivante ayant besoin, elle aussi, de repos. 
     
    J’ai une attache certaine au Japon : j’en parle quelque peu la langue et ma future épouse est japonaise (elle viendra vivre en France). Et si je n’irais pas jusqu’à dire que ce pays a totalement perdu de ce qu’il était avant-guerre, il est malheureusement certain qu’il n’a plus la superbe d’antan.
     
    (J’ai simplement réagi au texte de Madoff ; les 3 premières minutes de la vidéo m’ayant semblé bien trop grossière pour vouloir visionner l’ensemble.)



  • 4 votes
    bebol bebol 14 octobre 2012 15:57

    @Latigeur
     
    Ne trouvez pas paradoxale votre remarque sur l’assassinat massif des malades mentaux par les militants supérieurs que vous accolez au propos de Madoff m’a voler qui, lui justement, prétend que c’est plutôt à chacun de choisir sans faire appel à qui que ce soit ? L’idée de Madoff m’a voler me semble tout le contraire de ce que vous semblez lui reprocher...
     
    Mon humble avis sur le sujet :
     
    Je n’ai pas d’avis tout à fait tranché sur l’euthanasie... Le suicide est, à mon sens, un acte triste lorsque celui-ci est l’aboutissement de douleurs uniquement morales. Qu’il soit accompli par le biais de méthodes "traditionnelles" brutales est malheureux aussi ; et pour celui qui pratique le geste comme pour ceux qui en subiront les conséquences. Etre assisté ne me semble pas particulièrement une mauvaise chose. Simplement, je crois qu’il faut bien séparer deux cas : les malades incurables ou les vieillards en peine de reprendre santé d’un côté, et les souffrants de l’âme de l’autre côté. Ces derniers pourraient trouver joie et paix s’ils étaient aidés pour cela. Mais pour parvenir à ce but positif, le cheminement peut être très long, difficile et, parfois même, repoussant... Ce qui peut pousser certains à choisir la voie définitive. Les premiers, quant à eux, méritent probablement d’être précipités sans douleur dans la mort, s’ils en émettent le désir profond.
     
    Je crois qu’une telle discussion est un peu vaine aujourd’hui : ne nous rabâche-t-on pas de partout que le monde est au bord de l’effondrement ? Que notre civilisation a atteint un zénith qui ne peut que la faire redescendre vers une période où l’espérance de vie sera bien moins longue et où la vie de tous les jours sera bien plus dure, difficile, brutale et violente ? Si nous tombions demain dans ce monde prédit par beaucoup, il me semble certain que l’euthanasie ne sera plus une grande question : la mort viendra plus tôt que prévu chez de nombreuses personnes.



  • 24 votes
    bebol bebol 13 octobre 2012 17:26

    Je croyais Sarkozy une honte pour le pays. Je vois Hollande comme le degré plus bas encore : là où Sarkozy y jouait encore un tant soit peu de sa propre personnalité, Hollande, qui n’en a aucune, ne se fait que la pure et vile représentation de ce que les dirigeants véritables veulent d’un président de France : un chien, mou, vide, moche, sans panache, sans énergie, sans conviction, sans patriotisme, sans dévouement envers son peuple ; rien qu’un clébard à qui on dit de faire, où, quand et comment et à qui on dit contre qui aboyer, où, quand et comment...
     
    Oui, les frigos seront vides. Oui, les estomacs hurleront à la mort : mais cette mort qui sera espérée, ne sera pas donnée à ceux qui la méritent ; j’en suis presque persuadé. Nous nous entretuerons, nous, le petit peuple, comme nous l’avons toujours fait. Et les maîtres d’aujourd’hui, comme les maîtres de toujours, en riront du haut de leur tour impénétrable. Je ne peux que rejoindre Soral qui, à ce sujet, expose, de manière très juste -et très triste- à mon sens, une compréhension de notre société et des dangers qui la hantent et la dévoreront demain.



  • 1 vote
    bebol bebol 12 octobre 2012 19:09

    Vous êtes bien gentille, cassia. Je dois dire que je n’ai pas l’habitude de voir souvent des messages de zeigest, donc le doute m’habitait tout de même pas mal.

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