Oh, vous êtes bien gentil. Heureux de vous croiser à nouveau, moi aussi.
Je m’étais éloigné quelque temps du site pour simplement m’éviter de vouloir répondre et répondre encore à la vilénie de certains tristes personnages qui le hantent. Recul ayant été fait, je reviens petitement visionner l’une ou l’autre vidéo et, pourquoi, en donner mon maigre avis. Mais sans trop de hâte, ni de passion... Exercice pas toujours évident à faire correctement, n’est-ce pas :)
Le personnage n’en est donc pas à un scrupule près pour se faire remarquer et persévérer dans sa quête de notoriété. Le sieur ayant eu donc, il y a peu, besoin de se glisser à nouveau dans l’aura de Soral pour que l’on se mette à nouveau parler de lui... petite ombre sans fond, sans vie, sans intérêt. Toujours la même ombre qui se veut lumière.
Lui, qui est-il pour nous qualifier de parasites ? Que sait-il de nos vies ? Que sait-il de nos situations ?
C’est de l’intolérance ! Liberté ! Bouhou !
Tout ce que je sais d’Erwanet, c’est ce qu’il dit. Et c’est excessivement drôle. Souvent proprement ridicule, souvent grossier au possible mais, fort heureusement, toujours drôle.
L’antithèse de l’humanisme a cela de drôle qu’elle représente une sorte de pire gargouillesque. Et, par-delà sa monstruosité terrible, c’est son ultime ridicule qui finit par, malgré tout, la rendre drôle.