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ddacoudre

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  • Premier article le 27/11/2015
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Derniers commentaires




  • vote
    ddacoudre 21 septembre 2016 21:43

    bonjour une info inintéressante.
    revenir à une référence or serait catastrophique compte tenu du volume de monnaie en circulation l’or atteindrai des valeur inimaginable ou l’appauvrissement toucherait la plus part des pays pour qu’ils soit achetable. si Brettons-wood en changeant la référence à permis le développement économique que n’aurait pu faire la référence à l’étalon or. faire du papier pose certain problème mais n’est pas limité comme la production d’or qui ne pourrait tenir la route dans le cadre d’une économie qui devra servir 12 milliards d’humains. la vision allemande est une vision égoiste faute de pouvoir remettre en cause le pouvoir financier des banques et l’organisation capitaliste0
    cordialement.



  • 1 vote
    ddacoudre 16 septembre 2016 23:00

    bonjour J Robin

    merci pour ces minutes anti libre arbitre. il est très juste que nous vivons dans cette illusion. elle est nécessaire a notre existence et nous permet de croire la où le bas blesse c’est quand dans l’ignorance de la totalité des évènements qui forgent nos décisions et nos choix nous en sommes tenus responsables, non comme acteurs des actions que nous avons exécuté mais comme si les autres n’étaient en rien partie prenante des choix que nous effectuons.
    j’ai développé tout cela il y a déjà longtemps dans mon essai. Rémunérer les hommes pour apprendre"
    je vous copie un passage :

    Je dis « qui devraient », car nous n’avons pas une propension naturelle à aller nous instruire et nous nous imposons d’apprendre. Ceci, même si chacun d’entre nous est conscient de l’importance de l’instruction, voire parfois intolérant vis à vis de ceux qui reconnus comme possédant le savoir, se trompent. C’est à dire que nous ne concevons plus l’erreur comme partie intégrante de notre existence, comme corollaire de la non-existence du zéro défaut, et comme probabilité certaine d’un événement qui se produira du fait même de toute l’activité culturelle que nous avons développée, comme causalité, comme occurrence.

    Une approche qui nous a fait définir des systèmes punitifs personnifiés, qui pousse à cacher l’erreur et en génère d’autres. C’est parce que nous confondons la responsabilité « d’acteur », auteur d’une erreur, et les occurrences de cette erreur qui émanent des auteurs de « l’événement culturel sociétal » incluant l’acteur, occurrences que nous transposons en totalité sur l’acteur. En effet, nous ne pouvons pas sanctionner « La Société culturelle » pour la part qui est la sienne au travers de l’appris qu’elle véhicule, dans une existence où le libre arbitre n’existe pas, sauf pour ceux qui considèrent disposer de la Vérité.

    Pourtant, réduire les erreurs et ses occurrences dépendent aussi de la quantité de la connaissance et du savoir accumulé. Et bien des erreurs commises durant l’apprentissage familial ou scolaire pourraient être rattrapées ou corrigées.

     

    Pour arriver à cela, nous n’avons pas légitimé le développement permanent organisé de la connaissance individuelle destinée à chacun tout au long de son l’existence, comme une partie intégrante et intégrale de l’événement culturel humain.

     

    … parce que l’adulte est ostentatoire…

     

    En dehors du processus professionnel, la diffusion des connaissances, du savoir, des informations demeure comme je l’ai déjà dit, un « marché » (bien que je trouve ce mot mal approprié).

    Aussi, plus généralement, acquérir l’habitude d’aller régulièrement dans un centre d’enseignement pour adulte, c’est déjà s’accepter soi-même dans une position dévalorisante en constatant ses insuffisances. Cela alors que nous utilisons toutes les situations de l’existence pour nous valoriser, dans des confrontations permanentes, faisant parfois étalage de pseudo savoir, et surtout en dévalorisant « autrui ».

    Ceci parce que nous sommes poussés à correspondre aux images de marque imposées par les autres, de nous couler dans un ordre qui ouvre ses portes aux meilleurs compétiteurs. Parce que nous n’avons de valeur qu’aux yeux des autres, et nous en oublions de cultiver la nôtre, celle qui nous est unique. Qui nous est unique, parce que c’est celle de notre vie unique dans la vie des autres, au milieu de milliards d’informations à traiter par notre intelligence et nos sens. Non pas pour cultiver la diversité là où nous avons des goûts communs, mais pour être nous-mêmes, même si nous avons des chances de ressembler à d’autres. En cela parfois il est plus intelligent de dire « je ne sais pas » que d’être son propre ennemi pour paraître l’ami ou l’ennemi d’un autre, ce que nous reprochera, de toutes les façons, notre miroir conscient (notion de mal) ou inconscient (mal être).

     

    Ainsi, dans une société où choisir le meilleur exclut l’autre, une pratique sélective d’efficacité est devenue aussi une source de paraître ostentatoire, cause de nombreux maux..

    cordialement. http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html.



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    ddacoudre 2 décembre 2015 08:47

    @Le Gaïagénaire

    tu as raison mais l’étude de Callhoun que je t’ai mise en lien démontre ce qu’il en adviendrait. mais il peut en être faite une autre lecture qui va dans le sens de ce que tu dis, sauf que l’on ne connait pas de groupement humain qui ne se développe pas autour de tabous et de totems

    cordialement



  • vote
    ddacoudre 2 décembre 2015 08:42

    @Qiroreur

    toute sympathie que l’on peut avoir pour cette émission, il appartient au chien de garde, l’on est bien d’accord.

    nous avons vu le sort réservé à l’émission d’arrêt sur image et récemment celle de Taddeï qui a failli disparaitre et celle des guignols arrêtée

    cordialement.



  • vote
    ddacoudre 2 décembre 2015 08:37

    @Qiroreur

    ce n’est pas la démocratie qui pose problème, ce sont les comportement humain qui se cherchent au travers d’elle des postures de dominants au service d’une organisation socio économique et éducative qui les génère, le référendum de 2005 en est l’exemple type. il ne peut y avoir aucune possibilité d’écouter ce qu’on à dire 46 millions de citoyens. actuellement ce sont les institue de sondages qui nous disent ce qu’ils pensent et non pas les partis politique dans lesquels ils pourraient aller prendre la parole. la V république si elle c’est construite sur la recherche d’une efficacité de décision rapide à démontré qu’elle se caractérise par une dérive totalitaire, il faut donc en changer.

    ddacoudre.over-blog.com.

    cordialement.

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