@abolab A propos d’obésité, les sucres ne se trouvent pas dans les aliments carnés, et les graisses ne se trouvent pas seulement dans les aliments carnés. C’est le mauvais équilibre entre les aliments qui est en cause, frites et begnets inclus.
@JL ’’ l’agriculture bio est ruineuse pour l’industrie agro-alimentaire’’ Faux, ils profitent de l’effet de mode pour surmarger. Mais les consommateurs ne suivent plus ...et se sont détourné du bio
@phan Ces chiffres sont intéressants, faible taux de létalité chez les personnes atteintes. Mais avec un fort taux de contagiosité, cela a donné des dizaines de milliers de décès en surmortalité dans notre pays lors des pics épidémiques. Pas une hécatombe mais une forte épidémie, et comme cela a touché des pays de tous les continents à la même période, cela constitue une pandémie. Pas de catastrophe du niveau de la grippe de 1918 qui avait fait 400 000 morts en France -réévalué-, mais pas non plus une broutille anodine.
Le catastrophisme et le maximalisme qui ont prévalu dans le traitement de cette crise sanitaire ont été excessifs, notamment les mesures de réclusion à domicile généralisées, ou l’ubuesque pass sanitaire.
"Pourquoi continue-t-on à nous demander d’augmenter les prix ? Le blé a
baissé de 23 % ces derniers mois et le pétrole de 40 %. Le beurre, le
maïs, l’acier, l’aluminium, les emballages, les transports sont tous en
baisse", cite-t-il encore.
Il faut se rappeler qu’au début de la période d’inflation, le patron de Leclerc dénonçait les sur-marges des industriels, ce que le patron de système U avait démenti alors. Désormais le patron de système U dénonce aussi ce phénomène. Les prix sont anticipés en fonction des tendances d’il y a plusieurs mois, ça montait ...donc on augmente les prix pour anticiper des hausses qui n’auront plus lieu.
De nombreuses matières premières qui avaient été cause de l’inflation initiale ont retrouvé des cours raisonnables, désormais l’inflation est entretenu par ...des anticipations d’inflation escomptée.
Comme la consommation stagne ou baisse, on ne pourra pas prétendre qu’il y a trop de masse monétaire ou de crédit qui emballent la demande.