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    Étirév 20 juillet 2022 10:56

    Résumons, ci-après, le processus « standard » des actions des globalistes pour prendre le contrôle des zones « instables », afin d’avoir une petite idée sur le chaos qui règne actuellement du côté de l’Ukraine, mais aussi sur ceux, un peu partout dans le monde, ayant eu lieu depuis le début des années 1990 (fin de l’URSS, création de l’UE, surgissement d’armées de proxy ou guerre par procuration, fête d’Halloween en Europe, etc.) :
    01. On arme les camps opposées (désaccords d’intérêts, ethniques ou religieux) et on attise les rivalités ;
    02. Les populations, effrayées par des actes terroristes, fuient vers les villes dans l’espoir d’une meilleure protection. La faim et la misère se développent ;
    03. Les médias de masses commencent leur propagande et diffusent les images des atrocités dans le monde entier ;
    04. Dans les pays développés on recueille des aides médicales et alimentaires à envoyer dans les zones de crise ;
    05. Les O.N.G. n’aidant qu’une seule des parties opposées, sont militairement attaquées par l’autre. C’est à ce moment que commence l’intervention des Nations Unies ;
    06. Sous les motifs les plus divers, les « forces de la paix » envoyées par l’O.N.U. se retrouvent au milieu de tirs croisés et sollicitent des renforts ;
    07. La « fabrication du consentement » opérée par le battage médiatique ayant fait son œuvre, les opinions publiques des différents pays sont convaincues de contribuer à l’effort « pour la paix » en envoyant des renforts (troupes et matériel) ;
    08. Arrivé à son paroxysme, le conflit peut être alors contrôlée à volonté ou intensifiée ;
    09. Selon le Plan, les protagonistes, en coulisses, assistent à la destruction du pays ou à l’épuisement des parties en lutte ; on appuie secrètement le parti qui sera à la tête du futur nouveau gouvernement ;
    10. Le pays est enfin mis sous le contrôle des Nations Unies. Les « forces de la paix » s’en iront lorsque le nouveau gouvernement sera devenu le fidèle porte-voix du Nouvel Ordre Mondial ;
    11. La reconstruction du pays commence : le nouveau gouvernement s’endette auprès des institutions financières internationales (BM, FMI) et, en échange, met à la disposition de la haute finance toutes ses richesses nationales (naturelles, voies de communication, productions, ressources de son peuple, etc.) ;
    12. La boucle est bouclée : la dépendance du pays vis-à-vis des « puissances d’argent » est accomplie (« Mission Accomplished » comme disait G.W. Bush). La colonisation intensive du pays a commencé.
    Quand le sage montre la lune, les masses regardent le doigt.
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    Étirév 8 juillet 2022 14:56

    « Qui a inventé l’école ?  »
    A l’époque reculée où l’homme n’avait encore pour mœurs que ses instincts, on avait remarqué combien sa nature le portait à l’opposition, à la contradiction, à la domination.
    C’est pour enrayer ses mauvais instincts que les Mères instituèrent une discipline élémentaire (de disciple, discipulus, latin, de discere, s’instruire.) qui est toujours restée depuis dans la société, et qu’on désigne encore par les mots « éducation », « convenance », « savoir-vivre », « manières comme il faut ».
    C’est cette retenue des mauvais instincts qui fut d’abord la Religion. La connaissance que l’on avait des lois qui régissent la nature humaine avait fait comprendre que l’homme doit être discipliné, « apprivoisé », pourrait-on dire, afin de pouvoir vivre dans la société des femmes, des enfants et même des autres hommes.
    On institua donc une règle de vie commune, dont l’homme comprenait la nécessité, car il s’y soumettait volontairement. C’est dans cette vie calme et bien organisée qu’on élevait son esprit vers la pensée abstraite et qu’on lui donnait les moyens de vaincre les sens dont on sut bientôt que l’usage abusif mène à la folie.
    Toutes les communes, toutes les républiques furent primitivement des associations de vie et de travail, sous les auspices d’une Déesse nationale. Et ces républiques ont été puissantes tant qu’un même lien unissait les citoyens entre eux comme des frères, et les unissait avec la Déesse comme avec une Mère.
    La dissolution des Etats, c’est-à-dire le désordre, commença quand certains hommes, troublés par le mauvais esprit qui engendre l’orgueil, voulurent mettre leur personnalité au-dessus des autres, s’affranchir des lois établies et dominer les faibles. Cette révolte fut le commencement de l’erreur sociale, c’est-à-dire de l’injustice.
    L’éducation était encore donnée chez les Gaulois par les grandes prêtresses et prophétesses que les Romains trouvèrent dans la Gaule et dans la Germanie lorsqu’ils allèrent combattre les guerriers de Vercingétorix et d’Arminius.
    Dion parle de Gama, vierge voyante des Marcomans ; Strabon, des prophétesses chez les Cimbres ; il dit des Gauloises qu’elles sont « fécondes et bonnes éducatrices ».
    Ces premières institutrices n’enseignaient pas seulement l’astronomie, la physique et la biologie, elles avaient acquis la connaissance des propriétés des plantes et en avaient fait la base de l’art de guérir, premier mot des sciences médicales. Et c’est pour cela que Minerve est surnommée Bélisama, quelquefois aussi Hygie ou Hygiœa. Ceacht est la Déesse de la médecine chez les Irlandais. Telles sont les institutrices philanthropes qui ont été nommées Helisiens, Heilige (médecin).
    Nous comprenons maintenant combien les femmes qui savaient tant de choses devaient avoir de prestige dans ce monde primitif.
    SUITE



  • 1 vote
    Étirév 29 juin 2022 11:43

    Il n’y a d’immuable et d’invariable que la VÉRITÉ, qui est l’expression des lois de la Nature.
    Quand ces lois sont violées, il ne reste plus que l’imagination des hommes qui engendre l’erreur sous des formes multiples.



  • 1 vote
    Étirév 28 juin 2022 09:32

    « Emmanuel Todd : La France première victime de la mondialisation ? »
    Non, elle est victime comme toutes les autres nations, surtout occidentales, qui ont à leur tête des traitres, stipendiés au mieux, dégénérés au pire.
    Si la France n’est qu’une simple victime comme les autres, en revanche, la « Macronie », qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est l’un des principaux fers de lance de l’agenda mondialiste, consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États.
    BLOG



  • vote
    Étirév 8 juin 2022 09:54

    Science, Religion et Philosophie sont des mots qui prétendent tous les trois avoir la même signification ; tous trois veulent être l’expression de la vérité.
    Cependant une grande différence existe entre eux.
    La science affirme ; la Religion impose ; la philosophie cherche.
    Or, comme il n’y a qu’une vérité et qu’elle ne peut être que dans la science, qui affirme, pourquoi la chercher dans la philosophie ? Pourquoi les religions de l’antiquité qui imposaient ce que la science affirmait n’ont-elles pas suffi aux hommes ? Pourquoi ont-ils institué cette nouvelle méthode de recherche : la philosophie.
    Il faudrait, pour répondre à cette question, faire toute l’histoire de l’esprit humain, montrer comment l’homme, doué dans son enfance phylogénique d’un esprit droit et d’une raison juste qui lui permettaient de comprendre les lois de la Nature perdit peu à peu ces facultés primitives ; il faudrait montrer pourquoi son esprit se troubla, comment il cessa, insensiblement, de comprendre le monde qui l’entourait, comment il perdit la science.
    Pendant que cette évolution décroissante de ses facultés s’accomplissait, son esprit inquiet de cette dégénérescence cherchait à retrouver les connaissances primitives de ses aïeux. Cette science perdue existait en germe dans son esprit, c’était un lot de l’héritage ancestral, mais elle y était voilée. Il travailla à lui rendre une forme, un corps, à la formuler.
    Semblable à celui qui s’éveille après un rêve qui l’a vivement impressionné et qui fait des efforts de mémoire pour en ressaisir le fil qui lui échappe, ainsi, l’homme chercha à retrouver les vérités premières, mais sa raison perdait de jour en jour sa droiture primitive, et, comme c’est en elle, seulement, qu’il cherchait la cause des choses, il s’enfonçait de plus en plus dans les profondeurs d’une obscurité qui devait, pendant tant de siècles, tenir la place de la science.
    La philosophie n’a jamais été que l’expression de cette défaillance de l’esprit de l’homme, elle répond à un besoin qui s’est imposé en l’absence de la science, mais qui disparaît en face de la certitude, en face des faits démontrés.
    La philosophie a une autre faiblesse. C’est d’être exclusivement spéculative. Elle n’aspire à connaitre la vérité que pour le bonheur de la posséder, elle ne la traduit pas, dans le domaine des faits, en lois religieuses ou sociales pour guider l’humanité dans les nations. Or, la mission de la science est, au contraire, de rechercher la vérité pour l’appliquer à la vie matérielle et morale de l’homme, pour en tirer des règles de conduite. Elle est aussi active que la philosophie est passive.
    BLOG

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