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  • 1 vote
    Étirév 9 mars 2022 09:34

    « Maintenant, La BCE Dit Que Vous Risquez Le Pire »
    La BCE est une Institution dirigée par des pantins qui ne font que répéter et mettre en œuvre ce qui a été décidé par le pouvoir (de moins en moins) occulte.
    Rappel :
    À ce jour, la « City » de Londres est une entité distincte du reste de la Grande-Bretagne, agissant en tant qu’État débiteur du monde occidental. Cet État maçonnique contrôle directement ou indirectement le FMI (Fond Monétaire International), la BM (Banque Mondiale), la Banque du Vatican (par l’intermédiaire de « Torlonia », filiale italienne de Londres de « NM Rothschild & Sons »), la BCE (Banque Centrale Européenne), la « FED » (Réserve fédérale américaine elle-même contrôlée secrètement par huit banques à participation britannique), la BRI en Suisse (Banque des Règlements Internationaux qui est également sous contrôle britannique et supervise toutes les banques de réserve du monde entier y compris la Banque centrale de la fédération de Russie et la Banque populaire de Chine, toutes les deux membres de la BRI). Toutes les grandes banques et sociétés en Nouvelle-Zélande et en Australie sont contrôlées directement ou indirectement par la ville de Londres.
    Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde. Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ». Aussi, les USA, la France et leurs alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au bas mot, gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la « City of London », véritable « Citadelle de la Finance Internationale » aujourd’hui.
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  • 1 vote
    Étirév 4 mars 2022 12:36

    L’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
    Rappelons-nous, entre autres, cet avocat inlassable du nouvel ordre économique mondial, prélude au Gouvernement Mondial, M. Valéry giscard d’Estaing, Co-fondateur de la « French-American Foundation » en 1976, et fossoyeur de la France, alors ministre de l’Économie et des Finances sous la présidence de Pompidou, grâce à sa loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, appelée aussi « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild ». C’est cette loi qui est à l’origine de l’augmentation exponentielle de la dette depuis, et qui permet, sur le modèle de l’alchimie, de transformer les richesses publiques en richesses privées.
    La France lui doit notamment une réforme majeure dans le domaine de l’immigration, la mise en place du « regroupement familial » : la politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible » qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : Apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; Perte de l’identité ; Éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; Déracinement et errance culturels ; Perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; Réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; Ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.,
    Et, éventuellement, à terme, à ce que l’écrivain français, Renaud Camus, désigne sous l’appellation de « grand remplacement ».
    Subtilement, pour accompagner cette « marche forcée » et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le reggae puis, grâce à l’afflut de genres afro-américains apparentés, le rap, le hip-hop, etc. faisaient leur apparition.
    Un autre personnage est important également, mais plus sur le plan international. Il s’agit de Peter Sutherland (1946-2018) qui a été l’un des principaux promoteurs de l’islamisation en Europe à la fin des années 2000. Il a été également le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour les migrations internationales.
    Rappelons à ce sujet que toutes les Institutions internationales (FMI, BRI, ONU, UNESCO, OMS, TPI, etc.) sont sous la coupe des mondialistes.
    Pour revenir à Peter Sutherland, précisons également qu’il était très actif au niveau international ; il a occupé les fonctions de commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) (1993-1995) et président de Goldman Sachs International (2005-2015). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a aussi été qualifié de « père de la mondialisation » : Sutherland a siégé au comité de direction du groupe Bilderberg jusqu’en mai 2014, a été Président d’ honneur de la Commission trilatérale à partir de 2010, et est l’ancien président de la Commission trilatérale « Europe » de 2001 à 2010. (voir notamment l’ouvrage de Yann Moncomble « Les Professionnels de l’anti-racisme »)
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  • 1 vote
    Étirév 2 mars 2022 09:42

    Quelques mots sur l’histoire de la propriété foncière, pour montrer que les biens nationaux ne sont légitimes que quand ils appartiennent à la Matrie.
    Avant l’organisation matriarcale, les hommes erraient d’un lieu à l’autre, étrangers au sol qu’ils occupaient.
    Les Mères, en organisant le travail, divisèrent le sol et le délimitèrent pour les travaux agricoles. Elles donnèrent aux hommes la part de terre qu’ils avaient à cultiver. De là vint le mot « tenancier », qu’on retrouve dans le vieux mot latin « tenere » (tenir ; celui qui a).
    Mais le tenancier devait donner une part de ses produits à la Mère, à l’organisatrice, dont le rôle moral, maternel, éducateur, n’était pas producteur des biens matériels nécessaires à la vie. Il fallait donc que l’homme travaillât pour elle et pour les enfants de la collectivité. Il faisait cinq parts du produit de sa terre, en gardant quatre et donnant la cinquième à sa Maîtresse. Le travail que représentent ces quatre parts a eu des appellations restées dans les langues. Ainsi, « arbé », dans les langues celtiques, veut dire quatre. De là s’est formé « arbeit » qui, en celtique, signifie « travailler » (en allemand « arbeiten »).
    « Arabe » est le nom donné à ceux qui étaient soumis à cette redevance (« arba’a » : quatre en arabe).
    Arabe ne serait pas un nom de peuple, mais un nom générique désignant celui qui travaille la terre. « Arare » veut dire labourer.
    Les Bretons étaient quelquefois appelés « arbi » (hébreu, heber, arabe), « ceux qui travaillent ».
    Chez les Celtes, où « Vyer » signifie aussi quatre, la grange dans laquelle se gardaient ces quatre parts fut appelée « Vyer heim » (« vyer », quatre, « heim », demeure), d’où nous avons fait « ferme ».
    Le souvenir du cinquième lot payé à la Maîtresse laisse également des traces dans le mot « five », qui signifie cinq et dont on fait « fief ».
    Une ferme s’appela « quinta » chez les Ibères. Le grec « pente », cinq, forma le latin « penaere » , « payer l’impôt ».
    La personne à qui était payé l’impôt s’appelait « Fron » (« Frau », Dame). La terre de son obédience prit le nom de « Fron-terre », dont nous avons fait frontière. L’homme tenancier se fixa sur le sol où il errait auparavant sans s’y intéresser. A partir de ce moment, il contracta des habitudes de permanence, et cela eut un retentissement sur sa vie morale ; ses affections passagères devinrent plus durables quand il demeura dans un même lieu. Mais ce fut aussi le commencement de l’idée de propriété foncière, qui devait avoir un si triste avenir à cause de l’exagération que l’homme met dans tout ce qu’il fait, et à cause aussi de ce manque de jugement qui l’empêche d’apercevoir les causes naturelles des choses, surtout du Droit des Femmes, ce privilège donné à l’autre sexe et dont il ne comprend pas le motif. C’est ainsi qu’avec le temps les hommes commencèrent à trouver bien lourde leur sujétion. Ils travaillaient sur un sol dont ils n’héritaient pas (la fille seule héritait). On vit alors des hommes, plus audacieux que les autres, s’attacher à la Maîtresse et prétendre partager avec elle la redevance des tenanciers.
    Alors le cinquième donné fut divisé, et chacune de ses deux moitiés devint un dixième (la Dîme).
    C’est ainsi que Joseph, à la cour de Pharaon, régla la taxe du peuple (Genèse, XLI, 24).
    Théophile Cailleux dit : « Le cinquième se dédoubla dans la suite, par la séparation des pouvoirs (civil et religieux), ce qui produisit la Dîme. »
    Par « civil », il faut entendre le pouvoir masculin, et par « religieux », le pouvoir féminin.
    C’est le commencement du partage de l’autorité entre l’Homme et la Femme.
    Par toute la terre, nous trouvons la même organisation.
    Chez les hindous, la loi divine de Manou (Manou signifie Mère) attribuait à la Mère le sixième du revenu. Darius instaura en Perse cette redevance, mais dans des conditions de gouvernement masculin qui font de la Maîtresse un Maître. Quelle différence entre le Maître et la Maîtresse, entre la douceur dans l’assujettissement naturel de l’homme à la Femme et l’assujettissement forcé d’un homme sous le joug brutal d’un autre homme !
    Le servage est issu de cet esclavage illégal, imposé par l’homme vainqueur à l’homme plus faible qui, ayant été dépossédé de ses droits de propriété par la force, est obligé de se soumettre à un Maître de terre, un Maître terrien, et se trouve forcé de lui consacrer une partie de son travail, comme l’homme des anciens temps gynécocratiques la consacrait à la Mère commune de la Tribu.
    C’est encore ici l’imitation d’une loi légitime devenue illégitime par le changement des sexes.
    L’homme doit le produit de son travail à la Femme parce qu’elle est d’une autre nature que lui et parce qu’elle est la Mère qui a enfanté l’humanité, il ne doit rien à un autre homme qui peut travailler comme il travaille.
    L’obéissance de l’homme à la Femme est une vertu. L’obéissance de l’homme à un autre homme est une bassesse.
    Les principes qu’on inculquait à l’enfant lui donnaient le respect de l’autorité maternelle, il savait que sa soumission l’ennoblissait.
    Le jeune homme était encore le dévoué serviteur de la Dame, et il en était récompensé par des marques d’approbation que sa conscience demandait, par des signes de tendresse que son cœur désirait. Cela mettait dans sa vie l’immense satisfaction du Bien réalisé, en même temps que cela le mettait à l’abri des soucis de la vie matérielle, la Dame pourvoyant à tout, et c’est pour cela qu’elle est la « Providence ». L’homme tenait tout de cette sécurité providentielle.
    L’ancienne organisation matriarcale régnait partout, elle avait établi une autorité morale, religieuse et législative, invincible comme tout ce qui est basé sur les lois de la Nature.
    FAITS ET TEMPS OUBLIÉS



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    Étirév 1er mars 2022 09:35

    Nous serions tentés de dire qu’il y a des hasards. Mais en fait, c’est très simple. Il n’y a pas de hasard, il y a une vaste harmonie qui gouverne le monde avec une précision et une délicatesse aussi grande dans la rencontre des atomes et le cycle des floraisons et le retour des oiseaux migrateurs, que dans la rencontre des hommes et l’éclosion des évènements à cette croisée du temps.
    BLOG



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    Étirév 25 février 2022 09:56

    Ukraine : encore une histoire de banques et de banquiers.
    Rappelons qu’en 2011, l’OTAN a fomenté et conduit une « révolution » en Lybie, un des quatre pays au monde qui n’avait pas de banque centrale. Maintenant la Lybie en est dotée. Rappelons également que l’une des premières décisions du Conseil national de transition, lors de la conférence du groupe de contact sur la Libye qui se tenait à Paris en mars 2011, a été la création d’une banque centrale assujettie aux normes de la Banque des règlements internationaux (BRI).
    Faisons remarquer qu’au cours des « révolutions », personne n’attaque les banquiers, leurs domaines ou leurs banques.
    Les États qui continueront à être dupes des banquiers sont d’ores et déjà leurs futures victimes désignées. Les victimes impériales des banquiers sont déjà innombrables : Empire napoléonien, empire d’Europe central, empire Britannique. Il reste à y ajouter, l’empire américain, dont le déclin est maintenant inéluctable, et tous ses potentiels candidats successeurs, en particulier les actuelles Russie et surtout Chine.
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