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Fabien07

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  • Premier article le 01/10/2011
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Derniers commentaires




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    Fabien07 19 juin 2015 07:02

    On ne peut pas non plus se laisser "entourlouper" par la propagande des médias bien de chez nous...


    "état mafieux agressif lourdement armé" —> Ça c’est caricatural de la propagande de l’Ouest.

    Sur RT ils diraient "Poutine, notre sauveur", ou "la grande Russie humaniste contre la perfidie ethnocentrée de l’Oncle Sam".

    La "vérité" se trouve probablement quelque part au milieu...


  • 1 vote
    Fabien07 15 mai 2015 09:34

    Je ne crois pas que le problème se résume à la perte de la "virilité".

    Ce qui ne va pas dans ces théories c’est le côté blanc ou noir, tout nature ou tout culture. Comme dans bien des domaines il semble qu’on peine à trouver le juste équilibre, la voie du milieu. Oui homme et femmes sont différents pour des raisons biologiques, hormonales et autres. Oui nous sommes aussi différents parce que l’environnement dans lequel nous avons grandi et celui dans lequel nous évoluons est différent.

    La théorie du genre nie les différences biologiques, nie les particularités des hommes et des femmes. Elle brouille les cartes et met sur le même plan les tendances générales et les singularités (qui ont leur sens et le droit d’exister bien sûr). Cela, elle le fait en prétendant que c’est pour lutter contre les discriminations sexuelles, pour lutter contre l’homophobie, contre le harcèlement, etc. Encore un pas de plus vers la destruction des valeurs refuge et la chute de la civilisation...

    Pourtant il me semble que les causes de certains comportements jugés nuisibles sont plus complexes et ne proviennent pas uniquement des stéréotypes liés à l’identité sexuelle.

    Et si certains hommes comme moi s’irritent de la vulgarité vestimentaire ou du manque d’élégance de certaines femmes, il suffit de ne pas encourager ces attitudes en nous détournant de ces femmes pour que leur développement soit limité. Arrêtons de fantasmer sur des bimbos aguicheuses et soumises, aux jupes ras la touffe, avec wonderbras et tartine de maquillage et cessons de faire croire aux femmes que pour avoir les mêmes droits que nous elles doivent devenir des hommes.

    De même, si certaines femmes en ont assez des coqs, des machos, des hommes obsédés par l’ambition et le pouvoir, il suffit qu’elle cessent de se donner à eux et globalement le comportement des hommes changera. Parce qu’actuellement mesdames, si nous voulons vos faveurs, on a intérêt à avoir les couilles bien accrochées et à bomber le torse pour vous séduire, sinon on reste seul et frustré, même si paradoxalement on vous entend réclamer des hommes sensibles, empathiques, doux et ouverts au dialogue à cœur ouvert...

    Nous avons tous des besoins, pas seulement sexuels, et en règle générale, on s’adapte aux contraintes de notre environnement de telle sorte qu’on parvienne plus ou moins à assouvir ses besoins, en privilégiant le plus souvent les voies faciles. Modifiez les conditions d’accès aux besoins fondamentaux et vous modifiez les comportements.



  • 1 vote
    Fabien07 20 juin 2014 08:50

    Je salue la démarche de l’auteur. C’est osé d’aborder la question de la gouvernance sur ce site de cette manière.

    J’ai toujours été fasciné par l’idéal du "chef éclairé" : les mythes abondent à ce sujet en Orient (je dis mythes car je doute que ce soit jamais arrivé).
    Quand au gouvernement de tous, encore faudrait-il que ce soit pour tous...
    Dans le contexte actuel, avec la culture qui est la nôtre, chacun se regarde le nombril. La sagesse n’est plus recherchée que par une poignée d’idéalistes esseulés et la majorité se complait dans l’égocentrisme le plus abject que l’humanité ait connu.

    Aussi, nous avons les gouvernants que nous méritons. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Nous sommes collectivement responsables de ce qui arrive.

    Mais non bien sûr, je déraille ! Nous sommes tellement bons et juste ! Si tout va de travers, ce n’est pas ma faute, c’est à cause de ces politiciens véreux, ou de ces financiers gloutons. Ou... non, ce sont tous ces étrangers qui nous mettent dans la panade, qui pervertissent nos nobles valeurs et volent nos emplois ! Ou peut-être ces jeunes incapables de bosser, qui attendent qu’on leur serve leur dîner sur un plateau d’argent ! Et ces islamistes ! Et ces chinois !

    Je vous le dis : c’est pas ma faute, c’est lui.

    Je crois qu’une vraie démocratie, dans le sens gouvernement de tous pour tous, vaudrait le coup d’être tentée.

    Seul on va plus vite, mais tous ensemble on peut aller plus loin.

    Je ne crois pas que la foule soit par définition "ignare et stupide". En tout cas je sais qu’elle ne l’est pas plus que les pseudo-élites qui sortent de Science-po & Co. Il est indubitable depuis les nazis que l’instruction n’est pas le problème. C’est la "conscience" qui manque, ou "l’éducation politique" comme dirait Lepage.
    Et de ce côté-là, empiriquement parlant, j’ai constaté globalement une plus grande "conscience" chez les gens humbles que chez les bobos intellos. Mais ça reste une denrée rare, même dans les milieux modestes.

    C’est bien pour moi le nœud du problème : il n’y aura aucun changement global sans une réorientation fondamentale des consciences individuelles. Seulement il n’y a pas de recette miracle, pas de pilule magique. On peut faire le chemin pour soi-même et les autres (c’est déjà loin d’être gagné), sans doute devenir une source d’inspiration pour autrui, mais il est impossible de prendre son frère par la main et de l’amener sur l’autre rive.

    Il m’arrive de penser que je fais fausse route en voulant changer les choses. Il m’arrive de penser que tout cela a un sens. Que le désordre apparent n’est qu’un écran de fumée (un de plus !) qui détourne notre regard d’un Ordre plus grand, sous-jacent, et nos considérations sur la gouvernance sont une perte de temps et d’énergie.

    Enfin, pour le moment c’est plus fort que moi : à chaque fois que je tombe sur un article qui me parle, je me sens obligé de poser mon grain de sel sur le fil des commentaires...



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    Fabien07 1er mars 2014 10:42

    Effectivement l’homme est un animal, et se comporte comme tel, malgré toute l’apparente sophistication de son mode de vie et de son environnement. Mais c’est parce que le modèle culturel actuel favorise et entretient ce comportement.

    Je réfute ce que vous dite au sujet de la propriété. Ce n’est pas le seul ordre crédible.

    Les enseignements spirituels et les sciences humaines nous enseignent que "l’animalité" de l’homme peut être transcendée. Etant donné notre capacités à nous nuire et à détruire notre environnement, je dirais même que cette "animalité" doit être transcendée (ce qui est différent de niée).

    Je crois sincèrement que le seul moyen de "sauver" notre espèce, ou du moins la civilisation, et de la pérenniser sur cette planète, c’est de radicalement transformer notre modèle économique et social, pour tendre vers un modèle dont les objectifs seraient la satisfaction des besoins de tous et pour toujours (en tout cas tant que le soleil brûle).

    Vous parliez de Nietsche. Vous vous souvenez de la corde tendue entre l’animal et le surhomme ? Eh bien je crois qu’on penche beaucoup trop vers l’animal actuellement, et qu’un rééquilibrage serait salutaire...

    Ça prendra des générations, mais l’histoire nous enseigne que si l’on s’occupe convenablement de la jeunesse, on peut faire vivre des valeurs nouvelles et transformer une société.



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    Fabien07 15 février 2014 09:24

    Qui est naïf ? Au Moyen-âge l’argent et la "finance" existaient déjà. Étais-ce signe de progrès ? Non, mais ça profitait à certains, c’est sûr (toujours les mêmes).
    Ce qui a facilité les progrès scientifiques et techniques ce sont l’avènement de la pensée scientifique d’une part, et celui de la pensée libérale d’autre part.
    A l’époque c’était un sacré progrès. De la à dire que c’est la seule voie pour progresser en tant qu’espèce, et refuser de voir que le modèle capitaliste néo-libéral est obsolète, il y a un gouffre.
    Ne pouvez-vous pas envisager qu’il soit possible d’adopter un nouveau modèle socio-économique sans que cela constitue une régression (c’est pourtant ce qu’on a fait à maintes reprises au cours de l’histoire) ?
    Il y a une convergence de certains mouvements et penseurs vers un modèle qui s’inspirerait de l’Économie Basée sur les Ressources et du concept de cyberdémocratie.
    Cela me semble être la voie la plus juste et la pensée la plus raisonnable.
    Ce qui me paraît naïf pour ne pas dire imbécile, c’est de croire aux fables actuelles sur la "réalité" économique, les bienfaits de l’individualisme, et le culte du Dieu Argent...
    Advienne que pourra mes frères, restez dignes et humbles, car tout part à vau-l’eau.

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