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  • Premier article le 16/05/2015
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  • 39 votes
    ffi 5 août 2010 17:21

    Je propose que tous les dirigeants de l’UMP, qui continuent de soutenir l’abdication de la souveraineté monétaire du pays (loi 73-7, Euro), dans le but de détourner l’argent des contribuables Français vers les banques et autres institutions financières, montant qui se chiffre à 1200 milliards d’euro d’intérêts depuis 1973, soient déchus illico-presto de leur nationalité, pour les délits suivants : association de malfaiteur promouvant le détournement de bien public et haute-trahison.

    N’y a-t-il pas en effet que ce délit de haute-trahison, en position d’élu de la nation, qui mérite cette déchéance de la nationalité ?



  • 1 vote
    ffi 5 août 2010 13:40

    La pression semble très forte à quelques dizaines de centimètres, mais il me semble que la rapide décélération et dispersion du jet (qui crée le brouillard et le refroidissement) la rende plutôt inoffensive au-delà.



  • 1 vote
    ffi 4 août 2010 13:46

    Pour le climat conduit par les phénomènes électriques spatiaux voir http://www.geologie-nature-alsace.com/Climatologie.htm



  • 1 vote
    ffi 4 août 2010 11:14

    Scientifiquement, cela reste une hypothèse à ce jour non démontrée (elle n’a pas fait l’objet de prédictions vérifiées). Je rappelle qu’invoquer le "consensus" n’est pas un élément scientifiquement valide. L’histoire montre de nombreux consensus erronés (géocentrisme, par ex).
    Pour le climat, il semble que nous soyons toujours à l’ère du géocentrisme, ceci bien que de nombreuses données indiquent la proéminence des phénomènes du système solaire (vent solaire, orages magnétiques) dans celui-ci.
    On ne peut donc pas brandir une "vérité scientifique" sur ces sujets, mais affirmer une volonté politique. Celle-ci consiste en prôner :

    - la stagnation du développement des pays pauvres.
    - la régression des pays riches.
    - par conséquent, la diminution de la population mondiale.

    C’est opposé à mes idées qui consistent à prôner la progression de toutes les nations (et cette progression implique un respect de l’environnement. Le CO² étant bénéfique à la végétation, il ne peut être considéré comme un polluant).

    Il est d’ailleurs amusant de constater dans le débat ce moment où Madelin tente de contredire Ariès, mais en vient à se contredire lui-même (à propos de la Chine), ce qui prouve qu’ils sont d’accord en fait. La "richesse" leur semble un gâteau fini, ce qui est faux (à moins de considérer l’argent comme la richesse car en effet l’argent est émis en quantité finie).
    La solution de Madelin est de pédaler plus vite (pour continuer d’être plus riche).
    La solution de Ariès est pédaler moins vite (pour permettre d’enrichir les pauvres).
    Ils sont tous deux victimes de l’illusion du libre-échange mondialisé. La croyance d’une possibilité de croissance pour tous à l’exportation sur le monde entier est clairement erronée.
    En effet, à l’échelle globale, les exportations et les importations se compensent toujours exactement. Si un pays exporte plus, c’est qu’un pays importe plus.
    La vocation de la croissance d’une Nation n’est donc pas d’exporter (ce qui appauvrit les autres nations), mais en priorité d’utiliser le travail de ses citoyens pour se construire et s’aménager elle-même. Ainsi, en créant des richesses en leur sein, dans un marché protégé, il n’y a pas ce problème de "vases communicants" qui est le propre du libre-échange.C’est là que le travail des citoyens devient politique, puisque c’est lui qui crée concrètement l’économie et la société du futur. C’est pour cela que la nation doit pouvoir contrôler le crédit, afin d’être en capacité de décider elle-même de son futur, à partir de ses institutions démocratiques.



  • 1 vote
    ffi 3 août 2010 11:40

    Paul Ariès n’a pas idée combien une mécanisation agricole dans le tiers-monde (pays en continuation de stagnation) peut multiplier la production alimentaire d’une quantité extraordinaire. Il n’a pas idée non-plus combien résoudre là-bas le problème de l’absence d’électricité aurait des répercussions en matière de niveau de vie.

    Par exemple, la France, ce confetti à l’échelle du monde, est le 5ème producteur de blé mondial (et second exportateur). Une hausse raisonnable de la productivité dans plusieurs pays du monde (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Bl%C3%A9#Les_pays_producteurs), aurait des répercutions notables en terme de quantité de production mondiale, ce qui permettrait de diminuer d’autant la pollution de nos sols.

    Mais pour assurer un marché pour nos produits, il faut sortir du libre-échange.

    Paul Ariès a des idées intéressantes, j’adhère à son idée de décroissance des inégalités, mais il est bloqué sur 2 choses :
    - la croyance que le CO² provoque un réchauffement climatique, ce qui semble loin d’être démontré.
    - la croyance que le moyen de l’argent peut résoudre les problèmes : en économie, il faut adopter le principe de moindre action : travailler le moins pour construire le plus, autrement dit viser une productivité maximum, l’argent n’a à peu près aucune influence, puisqu’il s’imprime et que les banques l’émettent selon les besoins pour ne pas faire faillite.

    Il s’interdit donc ainsi de penser combien le développement du tiers-monde peut résoudre nombre de problème. Il en vient à réclamer une stagnation de productivité dans les pays du sud, ce qui est le contraire de ce qu’il faudrait. Il milite activement pour une continuation de stagnation dans les pays du tiers-monde, ce qui le place de facto dans les vues des multinationales lesquelles ne souhaitent pas voir émerger d’économie digne de ce nom dans les pays pauvres. Il n’évoque pas non plus le problème de la dette souveraine, ce qui pousse les nations à une activité frénétique pour payer les intérêts aux banques.

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