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herve_hum

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  • Premier article le 06/12/2012
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  • 1 vote
    herve_hum 30 avril 2015 09:24

    @zatara

    Si je pense que l’inertie de la mondialisation signe la fin du système capitaliste avec son hyper classe dominante, c’est notamment en raison du fait que la structure économique n’en a plus besoin et même, se retrouve avec la nécessité de s’en défaire si l’humanité souhaite aller plus loin que le XXIème siècle.

    La coopération dont je parle ne repose pas sur l’’hyper spécialisation des pays, c’est absurde car cette hyper spécialisation peut être ou non coopérative.

    la coopération ne peut se fonder que sur la mutualisation des moyens de productions de masse et de leur financement. 

    La civilisation humaine sort de sa phase d’expansion terrestre et est entrée dans une phase de gestion de son développement. Le capitalisme est efficace en mode expansionniste, mais devient hyper nocif en mode gestion, là, c’est la coopération qui s’impose d’elle même.

    La notion d’indépendance n’existe pas en absolu, seulement de manière très relative. Si l’indépendance était aussi important qu’on veut le faire croire, l’humain ne se serait pas construit en société. Quand on parle d’indépendance nationale, on oubli que celle ci recouvre la dépendance du citoyen à la nation. C’est donc un système de poupée russe et le problème n’est pas l’indépendance, mais la relation de dépendance existante. Une relation basé sur la domination ou bien sur l’association ? Pour le modèle capitaliste, c’est la domination, pour le modèle véritablement social, c’est l’association.

    Si vous voulez avoir une approche plus pratique, vous pouvez aller voir l’article suivant les BAL citoyens. vous pouvez aussi lire l’article droits, devoirs et responsabilité qui est la base éthique de tout le développement socio économique.

    En effet, tout repose sur la conviction que la très large majorité des humains ont atteint le niveau de responsabilité individuelle nécessaire pour s’affranchir de cette hyper classe.

    Le détail que vous ne considérez pas, c’est que la guerre est une condition à l’existence de tout classe dominante. En d’autres termes, la paix est le pire ennemi du système capitaliste. ce n’est pas pour rien SI celui ci ne parle que de concurrence économique, car sans concurrence, cette hyper classe ne se justifie plus et meurt.

    La coopération, pour les prolétaires s’entend, est un interdit car elle menace directement le pouvoir de l’hyper classe.



  • vote
    herve_hum 29 avril 2015 10:03

    @zatara

    L’inertie dont je parles, est celle lié à la mondialisation de l’économie. Suivant cette idée, la mondialisation de l’économie ne peut avoir qu’une seule conséquence, la fin de la ploutocratie.

    Paradoxalement, mon analyse fait de la mondialisation le pire ennemi de cette ploutocratie. Leur arrogance à croire pouvoir maîtriser cette force inertielle est leur pire erreur, la seule manière de l’empêcher, est le chaos généralisé.

    Bon, pour la démonstration c’est trop long. toutefois, la base est de comprendre que la mondialisation a pour conséquence l’inversion du rapport entre nations, c’est à dire, leur intégration dans un même super organisme qu’est la Terre au lieu de voir celle ci comme exogène, étrangère, permettant de considérer les autres nations comme des corps étrangers. Pour imager la chose, jusqu’à présent, les nations étaient vu comme des planètes étrangères, la mondialisation de l’économie ne fait plus voir les pays comme des planète, mais comme des régions d’une même planète au destin lié. Ce qui n’implique pas l’abandon des cultures, mais au contraire, leur sécularisation. Comment croyez vous que l’on favorise le maintien des populations sur leur terres natives, avec leur cultures, dans une économie globale ? En coopérant économiquement, pas en se faisant concurrence ! Seulement la coopération part d’un autre paradigme socio économique contraire aux intérêts de la ploutocratie.

    Il ne vous paraît pas étrange zatara, que d’un coté tous les pays participent aux mêmes manifestations sportives, aux mêmes sommets politiques, aux mêmes organisations économiques, et de l’autre coté, se menacent l’un l’autre comme s’ils ne faisaient pas de commerce entre eux, n’avaient aucun lien sociaux ?

    Il ne vous paraît pas étrange que les dirigeants US se présentent comme des défenseurs de la démocratie dans le monde, du devoir de respect des lois internationales, tout en bafouant la démocratie et le respect des lois internationales, menaçant leur existence ?

    Bref, ils prétendent agir avec éthique et pour la paix des peuples, tout en attisant les haines et la violence entre les peuples. Donc, que retenez vous ? Que croyez vous ?

    Ne croyez jamais que ces gens là vous disent la vérité, à aucun moment. Leur but est de conserver la maîtrise du temps de vie des êtres par lequel tout pouvoir s’exerce, c’est aussi simple que cela, ce qui est compliqué, c’est de le maintenir.

    toute idée est simple à la base, c’est sa mise en application qui est complexe voir extrêmement complexe. Là aussi, il faudrait faire un développement pour expliciter cela...



  • vote
    herve_hum 29 avril 2015 09:19

    @maQiavel

    L’émergence d’une conscience planétaire dont les conséquences sont la fin de la domination du système économique par une minorité ? Comment l’objectivez-vous ?

    je compte l’écrire avec plusieurs articles...



  • 1 vote
    herve_hum 28 avril 2015 09:19

    Vous posez la bonne question en vous interrogeant de savoir s’il faut parler de l’Allemagne ou bien de ses composantes sociales.

    En fait, cette question doit être généralisé à tous les pays, c’est ce que vous ne voulez pas ou ne pouvez pas comprendre, l’enjeu n’est pas dans l’opposition entre nationalisme, mais entre classes sociales. La méthode est la même qui a prévalut au XXème siècle pour éloigner la menace communiste, jouer sur le nationalisme.

    Les dirigeants économiques n’ont que faire de USA en tant que nation, mais en ont toujours besoin pour mettre en oeuvre leur idéal économique au niveau mondial.

    Le problème russe n’est pas économique, c’est absurde, mais leur volonté de conserver l’idéal national au dessus de la propriété économique alors que la volonté atlantiste est l’inverse.

    Le problème, c’est que la citoyenneté s’exerce uniquement à travers le prisme de l’idéal national et non particuliers. L’exemple des entreprises de sécurités comme blackwater montre que le patriotisme n’est pas transposable aux entreprises privés dans le secteur militaire, mais uniquement dans le secteur civil. Construire un char d’assaut ne veut pas dire que l’on veuille le conduire, faire la guerre soi même !

    La réactivation de la guerre froide et la multiplication de la menace terroriste consiste à ouvrir des contre feux contre le risque social intérieur. Dans tout système impérialiste, la politique extérieure est la conséquence de la politique intérieure, car l’inverse vaut uniquement pour les nations vassalisés.

    Bref, votre grille d’analyse est celle du XXème siècle et non du XXIème siècle, et ce gugus de Friedman est là pour vous tromper, non pour vous informer.

    Vous qui êtes admirateur de l’art de la guerre, n’avez pas encore compris une règle de base essentielle, avoir toujours un coup d’avance sur son adversaire. C’est à dire, que vous devez rendre visible de votre jeu à votre adversaire, tous les coups, sauf le dernier, celui qui fait la différence et qui éclairent tous les précédents.

    Alors ce Friedman semble dire tout de la stratégie US, sauf le but final, instaurer un système de domination politique et économique d’une caste sociale sur les autres où le nationalisme et le terrorisme servent de "barres de contrôle" social. Ce que dit Friedman est donc un leurre, l’enjeu n’est pas la lutte entre nations mais entre classes sociales

    Sauf que là aussi, cette analyse est faible, car elle fait abstraction d’un mécanisme qui semble ignoré par les dirigeants économiques et politiques, l’inertie du système qui conduit à l’émergence d’une conscience planétaire et dont les conséquences sont la fin de la domination du système économique par une minorité.



  • 4 votes
    herve_hum 19 avril 2015 22:38

    @Sonya Vardikula

    « Personne ne vous écoutera sauf s’il y a eu un certain nombre de suspicions sur vos activités terroristes, ou sur vos liens avec des personnes terroristes »

    , Et le gars qui a dit ça, il est président des français ! Pauvre France...

    « Ce dont il s’agit c’est uniquement - uniquement - de la lutte contre le terrorisme. Ou de nos intérêts car il y aussi des personnes qui viennent nous espionner pour savoir comment nos entreprises travaillent »,

    Pourtant, il était pas outré ni fâché d’apprendre que les services US espionnent les dirigeants européens. Sauf s’il considère les dirigeants US comme ses maîtres.

    C’est que le problème n’est pas qu’il y ait un système d’écoute, mais de savoir qui contrôle ce système et dans quel intérêt. Est ce celui de l’intérêt général ou bien d’intérêts particuliers ?

    C’est que la confiance envers ceux qui sont censés représenter l’intérêt général est tombé très bas. Et pour cause ! Les gens réalisent qu’ils ne défendent que des intérêts particuliers, ceux d’une classe propriétaire des moyens de productions et de son financement. Ce président comme le précédent, parlent t-ils des négociations autour de TAFTA et autres.

    Combattre le terrorisme, certes, mais comment croire ceux qui prétendent défendre le terrorisme, quand on sait qu’en amont, ils l’attisent ? Qui a crée et armé le terrorisme au MO ?

    comment croire en l’honnêteté d’un pompier pyromane ? Pour les ignorants et les inconscients, ça fonctionne, mais pas pour les autres. Pour ces derniers, il faut choisir entre complicité et dénonciation...

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