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herve_hum

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  • Premier article le 06/12/2012
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    herve_hum 6 février 2016 10:27

    @wendigo

    lisez votre réponse à mon commentaire et ensuite, relisez mon commentaire, vous verrez que vous dites exactement le contraire de ce que j’écris.

    Vous êtes l’archétype de l’humain contemporain, inversant le sens de la relation de causalité entre le contenant et le contenu ou entre la création et le crée.

    Que l’on croit ou non en Dieu n’importe pas, ce qu’on ne peut que constater, sauf à faire dans le déni de réalité, c’est que l’humain est crée par le processus de création de l’Univers, nous sommes donc la conséquence de cette création et non la cause.

    En tant qu’être doué de conscience (je fais une grosse entorse au principe, mais c’est pour rester compréhensible) nous pouvons penser être le but de cette création, mais en aucun cas en être l’origine causale, seulement donc la finalité causale.

    La différence est de forme duale, binaire, donc, en opposition de phase. C’est à dire, que si nous ne sommes pas à l’origine du processus de création (on peut y voir Dieu, peu importe) alors, c’est que le temps, l’espace, la matière (espace-temps) la conscience (résonance de l’espace-temps créant la matière) ne dépendent pas de nous, mais nous d’eux.

    Bref, désolé de vous le dire, mais peu importe que l’humain réfléchisse l’Univers, celui ci existait avant, pendant et après. De plus, celui ci existe sans besoin de la présence de la pensée humaine. La seule chose que nous pouvons penser pour relever notre égo en tant qu’humain, c’est de considérer que l’Univers tend à nous créer et donc, comme Zardo avec son chien, trouve que la vie est mieux avec de la compagnie, plutôt que seul.

    Et peut être même de penser qu’il vaut mieux être mal accompagné, que pas accompagné du tout. Sauf si l’Univers se met à penser que finalement, il vaut mieux vivre seul que trop mal accompagné. Evidemment, je caricature !

    L’arrogance suprême de l’humain est de croire pouvoir s’affranchir et dépasser le principe de relation de causalité, alors que ce principe domine tout l’Univers. Mais après tout, on s’amuse aussi de son chien qui montre de la personnalité, enfin, tant qu’il ne mord pas !

    Bref, vous n’êtes, potentiellement le maître, que de votre propre espace-temps ou des êtres que vous dominez, mais pas de ce qui vous domine pour être la condition de votre propre existence. L’humain est tel le chien de Zardo qui penserait que c’est lui qui commande Zardo en toute circonstance, même quand Zardo l’enferme ou l’attache (nous sommes mortels et très fragile, pour ne pas dire totalement vulnérable, vis à vis de notre environnement cosmologique) Absurde, et pourtant, c’est votre raisonnement vis à vis de l’Univers !

    Pour s’en sortir indemne, il faut faire une petite opération sur sa psyché pour se désintoxiquer. Le problème, c’est que si certains se désintoxiquent, voyant les dégats causés par la drogue, d’autres au contraire, augmentent la dose pour maintenir l’effet psychotrope. Alors arrive un moment et nous y arrivons, où soit le drogué tue la personne saine, soit cette dernière réussit à forcer le drogué à se désintoxiquer.

    Cette petite opération, consiste à réaliser que le fait de réfléchir l’Univers par sa conscience est la preuve, in vivo, que c’est seulement une conscience qui nous le permet, car, on ne peut réfléchir qu’une image de la réalité, donc, notre conscience réfléchir l’image de la réalité consciente.

    Ce n’est pas contre intuitif, c’est contre égocentrique, donc, passer de la pensée géocentrique à la pensée héliocentrique.

    Sauf qu’à ce moment là, vous ne pouvez faire autrement que d’agir en conscience vis à vis de la création, de la conscience créatrice.... Et là, on ouvre une boite de pandore. Mais rassurez vous, je ne vais pas l’ouvrir devant vous, ici même !



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    herve_hum 5 février 2016 00:58

    @wendigo

    Vous voulez une définition du temps ?

    très facile, le temps est la mesure de toute chose !

    Sans le temps, vous ne pouvez pas mesurer un espace, c’est impossible.

    L’espace est indéfinissable par lui seul, il faut y ajouter le temps pour le définir.

    Cela veut dire que le temps est, relativement à l’espace, son unité quantique.

    Si on reprend l’image d’un canevas sur lequel sont posés les corps stellaires, alors, le temps est chaque maille du canevas, ou pour un plateau quadrillé aux bords infini, le temps est chaque case.

    Mais là où ça devient intéressant, c’est quand on y ajoute certains ingrédients et qui permet de développer le principe de relation de causalité de l’Univers en lieu et place du principe de causalité d’Aristote.

    Ici, c’est une révolution conceptuelle d’une portée supérieure à la découverte scientifique de l’héliocentrisme par Copernic et Galilée, car elle touche les fondamentaux du cogito humain, le faisant passer du géocentrisme appelé pour le coup anthropocentrisme ou égocentrisme pour d’autres, à l’héliocentrisme, c’est à dire, où l’humain n’est le centre que de sa propre pensée et non de l’Univers.

    C’est à dire, que la conscience repose sur sa propre réalité et non sur celle de l’humain, qui, malgré les avancés de la science dans la connaissance de notre environnement, continu de se penser comme la conscience de l’Univers.

    L’Univers obéit au principe de relation de causalité et nul ne peut s’en affranchir sans se précipiter dans le néant.

    La preuve ? Eh bien, si l’humanité poursuit dans son entêtement à nier le principe de relation de causalité, la théorie du principe dit que nous allons vers l’auto destruction très rapidement maintenant, car le niveau de dissociation de relation de causalité ou autrement appelé, dissonance cognitive ou encore déni de réalité est tel, qu’il n’est plus soutenable en l’état.

    Ce haut niveau de dissociation est la marque que l’humain doit mettre sa conscience en phase avec sa connaissance acquise de manière urgente. L’analyse de l’évolution au regard du principe, indiquant que nous devons changer de dimension de conscience d’être, car le refus signifie le choix de la négation, donc de l’oubli, donc de la destruction.

    Mais le temps, c’est la mesure de toute chose et non pas l’humain qui n’est la mesure que de lui même !!!

    Bon, le développement du principe de relation de causalité, fait passer du monde simpliste d’Aristote, au monde complexe de l’Univers.

    Mais pour l’instant, j’avoue échouer à le faire percevoir. c’est ça le problème, les gens veulent connaître la vérité, mais à condition qu’elle colle à la leur propre, or, c’est évidemment impossible. La condition pour connaître la Vérité, c’est de s’y plier, de s’y soumettre et non de prétendre la connaître avec l’ambition de la soumettre, car c’est impossible. Sauf dans l’imaginaire des humains, car leur permettant de s’affranchir de tout principe, lois ou règles, mais tout en voulant en conserver les avantages et l’usage....

    Bref, ils veulent la vérité pour le mensonge. La relation de causalité pour la dissociation.

    Et avec cela, l’humain se veut humble, mais d’une prétention supérieure à Dieu.

    Bon, on peut continuer toute la nuit ainsi, et souhaitons qu’Einstein avait tort en disant que la connerie humaine est infini, souhaitons qu’elle ait son temps à vivre, donc à pouvoir se mesurer !



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    herve_hum 28 janvier 2016 14:26

    @Qaspard Delanuit

    Que voulez vous que je vous réponde de plus, puisque le fond de mon commentaire vous passe par dessus la tête

    L’émergence d’une conscience planétaire n’est pas une hypothèse, ni même une utopie, c’est une réalité en devenir, c’est à dire, en formation factuelle. La télé, l’internet, le portable, sont autant d’outils qui pousse à cette conscience, mais il y a toujours un décalage entre la connaissance et la conscience, car cette dernière consiste à trouver le sens profond de la connaissance acquise.

    Or, le sens de cette conscience vient en opposition directe et inconciliable avec le système capitaliste. Résultat, tandis que a technologie poussent à cette conscience, les maîtres de cette même technologie font tout pour la contrer et l’interdire. La preuve, vous vous contredisez sans même vous en rendre compte.

    Vous ne pouvez pas être d’accord avec moi et votre précédent commentaire que j’attaque. C’est soit l’un, soit l’autre ;

    La souveraineté est inconciliable, incompatible avec le communisme, puisque ce dernier est la suppression des souveraineté nationales pour permettre la coopération des peuples là où le capitalisme ne voit que la capacité d’accroitre son exploitation. Sauf que c’est impossible, le capitalisme a un besoin vital d’un monde en concurrence, en guerre perpétuelle, sinon, il s’effondre de lui même. Il doit donc préserver la violence, même de manière artificielle pour maintenir les population dans la soumission et la peur. La souveraineté des moyens, interdit formellement la communauté des moyens, car cela signifie sa fin.

    Ici, ce n’est pas votre intelligence qui est le problème, mais votre conscience (prise dans la nasse du conditionnent et de la manipulation permanente) qui ne veut pas voir les conséquences de l’abolition des frontières économiques et donc militaires. Condition absolu pour permettre une économie coopérative, associative, seule permettant de préserver les cultures, l’environnement et la paix sociale entre les peuples et les individus.

    Accuser la mondialisation sans y voir la main qui la contrôle, revient à accuser le marteau de vous taper sur les doigts plutôt que la main qui le tient. Absurde ? Et pourtant, c’est votre position et celle de la majorité des gens, parce que voir la main est un interdit de la pensée, considéré comme divergente et menant au terrorisme. C’est du conditionnement pur..

    Pour ce qui est de vous traiter de précieuse ridicule, vous avez raison, je veux bien faire mon mea culpa, c’est inutile et cela ruine la discussion. cela dit, l’humeur prend parfois le dessus, mais je n’insulte pas gratuitement, ici, il s’agissait de vous faire réagir. Mais je vous présente mes excuses quand même en raison de votre tempérance.



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    herve_hum 27 janvier 2016 11:30

    @Qaspard Delanuit

    L’internationalisme avec la souveraineté nationale.... C’est le capitalisme !

    Merci pour lui donc.

    le néolibéralisme, n’est que le reflet de l’arrogance suprême des propriétaires économiques, pensant, à tort, que l’histoire leur a donnée les pleins pouvoirs et que dès lors, ils peuvent abandonner la condition de la division des peuples par le biais de la souveraineté nationale, qui ne fut que la leur pour envoyer les ouvriers menaçant se massacrer l’un l’autre avec bon entrain. Ils n’ont d’ailleurs pas abandonné le principe, simplement veulent le déplacer au niveau de blocs économiques, comme Orwell l’écrit dans 1984.

    C’est vrai que l’inertie du capitalisme le conduit à la mondialisation, mais en conservant le principe de l’état d’urgence via ces blocs économiques. Sauf que cette même mondialisation est la condition nécessaire à leur renversement, à la fin de leur domination. On arrête pas l’inertie de la conscience humaine qui, s’appuyant sur la connaissance acquise, la pousse vers une conscience planétaire et où il ne s’agit pas de l’empêcher ou la freiner, mais au contraire, de l’accélérer et la rendre inéluctable en en prenant la mesure et surtout, le contrôle démocratique.

    Et qu’est ce que vous dites vous ?

    Vous invitez ceux que vous prétendez combattre à revenir à la source de leur puissance, pour ne pas risquer de la perdre par la mondialisation économique. Mais à quoi croyez vous que sert le terrorisme, la pseudo guerre économique, la division sociale sur des sujets secondaires comme l’homophobie, la théorie du genre, la guerre des religions ? Maintenir vivante la division sociale et’interdire l’union économique et politique. Si les peuples ont un âme, ce ne sont pas des frontières qui la détruirons, imbécile. Au coeur d’une conscience planétaire et une mondialisation économique, c’est tout le contraire.

    Si la constitution de l’âme des peuples s’est faites dans un monde considéré comme infini, où chacun devait donc se définir l’un par rapport à l’autre, dans un monde fini qu’est la planète, la préservation de ces âmes se fait par la suppression des frontières militaires et économiques, pour permettre la coopération, la fin des conflits économiques et permettant le maintien des populations dans leur pays et posant alors la culture comme la valeur à défendre.

    I serait temps de prendre un coup d’avance plutôt que de continuer à jouer les idiots et les moutons de Panurge. Dans une partie d’échec, il suffit d’avoir un seul coup d’avance, c’est à dire, que peu importe que l’adversaire fasse mat, si c’est le coup d’après. Vous me faites rire vous et Maqiavel, vous êtes des sortes de précieuses ridicules.
     
    Vous devez beaucoup aimer Bossuet et sa maxime

    Dieu se rit de ceux qui vénèrent les causes dont ils déplorent les conséquences.

    Car la source de tous les malheurs réside dans deux mots... Propriété économique



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    herve_hum 15 janvier 2016 12:02

    Il existe en effet nombre de théories économique différentes, le problème, c’est que la majorité de leurs auteurs ne cherchent pas laquelle est la meilleur sinon la seule viable et surtout valable, mais ne pensent qu’à défendre la leur et d’une certaine manière, refuse la confrontation.

    Prenez ici PJC Allard, celui ci n’a pas relevé le défi de la confrontation entre sa théorie et celle que je défend. Je défi tout ceux qui ont quelque chose à présenter, jusqu’à présent, ceux qui avaient quelque chose à proposer n’ont pas relevé le défi, et se sont vite enfui dès les premières difficultés.

    Le problème n’est donc pas qu’il y ait pléthore de théories, mais que finalement, pratiquement personne ne cherche à savoir laquelle est la bonne, pour rester figé dans sa propre doctrine. Bref, ils chassent un dogmatisme pour le remplacer par le leur propre ! Or, la seule chose qui ne peut être accusé de dogmatisme, c’est la réalité et c’est donc elle seule qui peut départager le grain de l’ivraie. La réalité étant le lieu commune de toutes les expériences particulières, c’est à dire, là où toutes les intentions personnelles s’affichent. Mais encore faut t-il s’en tenir à la réalité et non à l’image que l’on s’en donne et qui est le domaine de l’imaginaire, aussi multiple qu’il y a d’êtres différents !

    Si PJC Allard est si certain de sa théorie, il ne devrait pas redouter la confrontation avec la réalité comme juge, mais la réclamer autant que moi... Mais c’est risquer de remettre en cause toute sa pensée et le travail que cela lui a coûté.

    Si vous êtes sûr de votre idée présenté ici, mais que votre véritable intention est de défendre le système le plus juste, convivial et viable possible, vous ne devriez pas craindre la confrontation non plus

    Si vous êtes prêt à la confrontation, je formulerai mes critiques et vous renverrai à mes articles pour vous permettre de connaître ma position qui formule une théorie économique répondant à toutes vos critiques sur le système marchand actuel et que vous pourrez critiquer à votre tour.

    Mais déjà, vous faites un très mauvais procès à l’argent dû à votre méconnaissance de celui ci. Cela dit, même les économistes font mine de ne pas le savoir !

    PS : je ne suis pas plus économiste que vous...

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