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jjwaDal

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  • 6 votes
    jjwaDal 1er mai 2023 12:37

    Aucune crise démocratique pour un "représentant" qui décide en 1981, que la peine de mort sera réservée aux victimes et en aucun cas aux agresseurs qui vivront à nos frais pendant des décennies sans avoir à se soucier des fins de mois. Pas plus d’ailleurs pour un président de conseil constitutionnel qui trouvait que les terroristes luttant contre le gouvernement légitime de Syrie "faisait du bon travail" ou plus récemment que le gouvernement pouvait se torcher avec le "Protocole de Nuremberg" (la "vaccination" expérimentale sous la contrainte de l’épisode sanitaire récent).
    Qui sont ces gens sinon qu’on sait qu’ils sont sortis de cette droite complexée qui a mis des décennies à tomber le masque ? Nos saigneurs et maîtres ?
    Nous avons couru à la guerre en Ukraine en deux temps majeurs. Au début des années 1990 quand on a dit à la "Russie" en proie à une crise financière grave (inévitablement temporaire vu que le pays est une caverne d’Ali Baba minérale et énergétique) provoquée par le passage à une économie capitaliste, "démerdez vous", quand dans le même temps on aidait massivement la Pologne qui avaient globalement les mêmes soucis.
    On a bien plus aidé les allemands à sortir de l’Allemagne nazie, que les russes à sortir du communisme, ce qui a édifié ceux qui croyaient en la vision de Gorbatchev, très naïf pour beaucoup de russes.
    La seconde aura été le sommet de l’OTAN à Bucarest (2008) où malgré les demandes réitérées de la Russie on a déclaré que l’Ukraine entrerait dans l’OTAN, six ans avant le coup d’Etat pour la mise en oeuvre de ce plan insensé.
    Mélanger une guerre aux responsabilités partagées avec un problème de gestion interne qui peux se faire différemment relève d’une volonté de brouiller la discussion sur le second sujet. Pour le premier, quand nous (les USA) décideront de mettre un terme à cette guerre et bâtir un projet commun de sécurité sur le continent européen, la guerre s’arrêtera. C’est quand on veut ou plutôt quand ils veulent...



  • 5 votes
    jjwaDal 16 avril 2023 10:45

    Le diagnostic il est fait : on a laissé au début des années 1970 le privilège de création monétaire au privé et donc on se fait rançonner depuis lors.
    On a de part notre constitution une représentation parlementaire qui ne représente pas nos intérêts et qui par suite des traités européens passe son temps (les 2/3) à signer en bas de page des modifications aux lois françaises mitonnées dans leur dos.
    Le parlement européen représente encore moins les intérêts du peuple français que sa propre représentation, la commission (des bureaucrates non élus) étant à la manoeuvre pour la rédaction des futures lois qui s’imposeront à nous.
    Elle même ne défend nullement les intérêts des peuples européens dans les négociations de l’OMC qui de fait créent du droit mondial qu’elle va transcrire en droit européen prévalant sur les lois françaises de part les traités.
    Ce n’est pas un hasard si on place en tête de gondole le droit des minorités (droit de se déclarer "non binaire" ici, du mariage homo là) , car on se torche symétriquement avec le droit de la majorité et il faut détourner un peu l’attention.
    On ne bat plus monnaie, on ne fait plus nos lois, les choix politiques doivent s’inscrire dans le marbre des traités (considérés comme clapets anti-retour, ce qui signifie l’absence de tout débat démocratique pour évoluer face à un monde qui lui bouge), de fait on a abandonné notre souveraineté.
    Le libre échangisme total nous a fait perdre des millions d’emplois (balance commerciale avec la Chine déficitaire depuis le début) et l’argent va là où il est le mieux "rémunéré" d’où accaparement croissant des fruits de l’augmentation de productivité par le capital, sinon "mauvaise note" des agences de notation et taux d’intérêts assassins, etc...
    Moins de cotisants, des salaires diminués, obligation de se faire racketer sur le continent de l’épargne et on nous dit qu’il va falloir travailler probablement jusqu’à 70 ans si on veut faire tenir debout la retraite par répartition ?...
    Un Etat souverain pourrait revenir sur l’ensemble de tous ces points pour rétablir ses équilibres. Nous ne le sommes plus depuis longtemps. Il nous reste les yeux pour pleurer et on peut râler autant qu’on veut. Ils ont la "Loi" pour eux et les forces de l’"Ordre" (le leur) aussi.



  • 2 votes
    jjwaDal 18 mars 2023 05:00

    @pololo
    L’analogie est invalide.
    La vaccination est un outil magnifique pour gérer des pathogènes que notre système immunitaire ne sait pas gérer convenablement. Celui-ci avait le taux de létalité de la grippe chez les moins de 70 ans et vous confondez intentionnellement (ou par bêtise) l’administration d’un pathogène affaibli/atténué avec l’injection d’un programme de fabrication d’un antigène de surface.
    Quand on s’acharne à vouloir protéger des gens qui le sont déjà par le simple fait d’être jeune et en bonne santé et d’avoir un système immunitaire capable de gérer le pathogène, cela s’appelle une opération commerciale et pas une mesure de santé publique.
    Les pionniers de la vaccination n’ont jamais été en mesure de vacciner une bonne fraction de l’humanité et donc ils ont effectivement conduits une expérience à portée limitée. On a vacciné à grande échelle contre la polio quand on avait déjà un confortable recul, ce qui n’a pas empêché ma belle soeur de se retrouver handicapée à vie suite à l’injection du vaccin antipolio par ex.
    Il est possible que cette nouvelle technique s’avère précieuse et sans danger. Pour le moment le jury ne peut se prononcer.
    Mais comme l’a confirmé une étude récente, on ne sait pas fabriquer un vaccin contre un virus qui mute rapidement. On a effectivement vacciné des gens contre un variant disparu, ce qui pourrait expliquer en partie le peu d’efficacité de ces produits, un voisin triplement vacciné étant passé aux urgences pour un décollement de la plèvre, une autre relevant d’un syndrôme de guillain-barré.
    Oui, la plupart n’ont eu ni myocardite ni ne sont morts après la vaccination. La belle affaire... On commence toujours par étudier la toxicité immédiate d’une substance, assez facile à vérifier.



  • 3 votes
    jjwaDal 17 mars 2023 20:25

    Il n’y aura aucun débat. Dès la fin 2020 il y avait un consensus de carton pâte, affiché par le haut clergé médical, les politiques, les grands médias et les scientifiques (les "vrais") pour dire de ces nouveaux vaccins expérimentaux qu’ils étaient sûrs et efficaces.
    Or logiquement il était impossible de savoir qu’ils étaient sans danger (on a découvert les risques du distilbène à la génération suivante par ex) et donc il n’y avait aucune possibilité de consentement éclairé (au demeurant sous contrainte), on n’était pas capables de dire s’ils allaient protéger de la contamination et de la diffusion les "vaccinés", on n’était pas capable d’expliquer leur accumulation au niveau des ovaires et de la moelle osseuse, on ignorait qu’ils pouvaient demeurer dans l’organisme près d’un mois, on oubliait un peu vite le taux d’effets secondaires et pire, on savait que les cobayes de l’expérience ne seraient jamais suivis médicalement, car si on peut suivre quelques milliers de cobayes, avec quelques centaines de millions on ne fait que du comptage de cadavres, au mieux, car on n’a ni les moyens humains ni les moyens financiers de le faire.
    Qu’on ait sciemment violé le "Code de Nuremberg" en faisant courir des risques injustifiés aux femmes en âge de procréer et aux jeunes (a minima), restera une marque d’infamie pour longtemps et de déshonneur pour tout ceux qui ont asséné ici et ailleurs que ceux qui refusaient de courir un risque incommensurable pour un bénéfice illusoire (la plupart ont un système immunitaire en état de marche) étaient au mieux des imbéciles, au pire des salauds.

    On a quand même injecté une triple dose d’un vaccin, censé protéger contre un variant qui avait disparu dès le début 2021, un peu comme ci on avait fait une triple injection contre le virus de la grippe de l’hiver 2019/2020 en 2021 et 2022...

    Jamais la vaccination et rarement la science n’auront été à ce point discréditées par la collusion entre acteurs qui avaient un intérêt bien compris à mentir et à faire taire tout débat.

    On ne ment pas à la Nature. Tôt ou tard nous saurons avec certitude où étaient les sages et où étaient les fous.

    J’ai mon idée la dessus.



  • vote
    jjwaDal 21 février 2023 16:05

    @wendigo
    Comparaison discutable et de portée limitée. Si votre hélicoptère est assez haut pour esquiver des tirs d’armes légères (le projectile luttant contre la gravité) aucune flèche ne l’atteindra avec une énergie cinétique suffisante pour créer un dommage. Bien sûr s’il fait du rase-mottes, même une branche balancée dans les pales va causer du dommage.
    Les appareils dont on a pu clarifier les performances à partir d’installations militaires "haut de gamme" sont capables de s’infliger des accélérations monstrueuses au point que voyant le signal (qui va à la vitesse de la lumière) de la flèche quittant l’arc, ils sont loin avant que la flèche atteigne l’endroit où ils étaient au moment du tir.
    Au demeurant la distance de la cible fait tout en donnant un temps de réaction confortable et quand vous survolez une planète étrangère vous vous donnez les marges de manoeuvre pour réagir, juste au cas où. Le "tictac" de l’incident "Nimitz" avait des caractéristiques de vol excluant que l’avion puisse le toucher, mais cependant il esquive le contact manifestement quand Fraser tente l’approche pour un contact visuel. Ce qui fait l’ovni "per se" est bien qu’il soit non identifiable, malgré tous les moyens mis en oeuvre qui auraient pu permettre l’identification.

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