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Tuco

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  • Premier article le 16/07/2018
  • Modérateur depuis le 23/07/2018
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  • 4 votes
    Tuco Tuco 31 juillet 2018 13:23
    Où donc peut bien aller une discussion fructueuse, si l’on ne trouve rien à contredire ce qui est proposé dans cette vidéo ? C’est, hélas, dans la situation dans laquelle je me trouve.

    Je ne saurais exprimer à quel point les femmes peuvent m’avoir déçu. Tout le temps en train de pleurnicher et de diaboliser la condition masculine ; dans l’incapacité, volontairement assumée, de surcroît, de reconnaître la moindre faute, sauf, bien entendu à en retourner les causes sur la gent masculine, etc., etc., etc... ad nauseam.

    Et pourtant ?... Que ferais-je sans elles ? Je ne peux absolument pas me passer d’en rêver tellement je suis seul. Chaque jour je les admire, je les regarde, et je les respecte. Chaque jour, depuis toujours. Mais je suis dans une situation d’ambivalence de représentations cognitives par rapport à elles : comment ne pas détester, sinon même mépriser au dernier degré cette faculté récurrente, carbonisée, à ne jamais reconnaître leurs torts, à être si indifférentes parfois, si inconséquentes, condescendantes et égoïstes ? Et puis : comment ne pas adorer leur présence, leur finesse d’esprit, leur courage, et tant d’autres qualités morales et intellectuelles, et bien sûr leur beauté, qui peut parfois nous bouleverser à un point tel, et nous rendre si heureux, comme si tout à coup, nous devenions vivants ?!

    Et puis le mensonge. Je suis parvenu à cette conclusion (...) que je crois fondée : si les femmes mentent tellement, c’est historiquement de notre faute, à nous, les hommes. Elles ont tant été recluses, et enfermées ; on les a tant obligées à se cantonner dans la sphère de l’intime et des intrigues de boudoir, tout en les humiliant de constamment les mettre à l’écart des affaires publiques en les croyant idiotes, qu’elles ont cultivé de telles compétences dans le mensonge, la dissimulation et la duplicité, qu’aucun homme n’est pas prêt de rejoindre avant longtemps.

    Bref, les femmes mentent, pour se protéger, d’une part, par Nature, laquelle ne les prédispose pas à prendre des coups, et d’autre part, selon des causes historico-sociales, je dirais. En somme, le mensonge est quelque chose de naturel, et de normal chez la femme, alors que chez l’homme, je le tiens, moi qui en suis un, pour quelque chose de pervers.

    Mais, qu’ont-elles fait, les femmes, de leur émancipation ? Sont-elles devenues plus fiables ? Hélas, je crains que non, mais ce n’est que mon jugement.

    Je m’arrête ici : non, la femme n’est pas l’avenir de l’homme, et l’homme non plus, sauf pour la procréation. Et ils sont donc égaux, aussi indispensables l’un à l’autre. Et la femme, comme créature supérieure moralement à l’homme, voilà une chose en laquelle je ne crois plus, et voilà encore une chose, qui au fond, n’a jamais existé. Ce ne fut encore qu’une de ces maudites "construction sociale", issue de l’idéologie constructionniste toujours à la mode..




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    Tuco Tuco 26 juillet 2018 09:59

    @gaijin

    Bon, écoutez : de toute évidence il s’agit d’un psychiatre qui pratique la psychanalyse, comme le font d’ailleurs beaucoup de psychiatres, notamment en France, où la majorité d’entre eux sont aussi formés à la psychanalyse... En plus, il est très clair qu’il s’agit d’une cure analytique. Et il n’est absolument pas incompatible d’être à la fois psychiatre et psychanalyste, comme vous le prétendez, renseignez-vous.

    Si vous pensez qu’il ne ressort rien de tel, (...) par rapport à ce que j’ai dit, soit vous êtes sourds, soit vous ne voulez pas entendre. Et je doute fort pour que vous soyez d’accord pour une critique de la psychanalyse, d’ailleurs....

    "Le type est violent et incohérent" ? C’est incroyable de dire des choses pareilles, cher monsieur, mais c’est normal, cela trahit que vous êtes encore un de ces fanatiques inconditionnels de la psychanalyse. Le patient se heurte à la mauvaise foi et à l’irresponsabilité la plus crasse de son analyste. C’est évident. Ce dernier se vautre dans le ridicule le plus complet, lorsque, sans raison valable, il finit par hurler "au secouuurs", "au secouuurs" Il n’y a aucun échange de coups, aucun.

    Fin de la discussion.



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    Tuco Tuco 26 juillet 2018 01:03
    Cet enregistrement démontre ce qu’est le contexte réel de la cure analytique, et où elle peut mener ses victimes : un contexte où le charlatanisme le plus délirant et irresponsable est dénié à toutes forces par le charlatan lui-même, au mépris de toute raison et de toute humanité.




  • 1 vote
    Tuco Tuco 26 juillet 2018 01:00

    @gaijin

    Mais le "contexte" est tout simplement le cadre de la cure analytique. Voilà le contexte.

    Le psychanalyste est mis en déroute par une procédure que tout psychanalyste redoute : la mise en place d’une quelconque procédure de preuve, et de la possibilité de témoigner de ce qui se passe vraiment au cours de ces cures, avec en prime, la parole du patient qui tente de mettre en demeure l’analyste de sortir de son propre carcan, véritable ceinture de chasteté : une mauvaise foi, et une stratégie de déni, les deux se trouvant à un niveau proprement inouï.

    L’on s’aperçoit aussi de quelque chose d’autre de particulièrement récurrent chez les psychanalystes : leur absence totale de scrupule, leur sens inné d’une irresponsabilité morale elle aussi totale vis-à-vis de leurs patients, et, pourquoi ne pas prononcer le mot : de la cruauté. Surtout si l’on songe que la malheureuse victime de cette analyste, a, de surcroit fait l’objet de internement de force à la suite de cette séance. On navigue alors dans les abysses les plus sombres et les plus scandaleuses de l’iniquité, car, si l’on en juge par le comportement tout à fait infantile du psychanalyste, c’est lui, qui aurait dû être interné et être mis, définitivement, hors d’état de nuire.



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    Tuco Tuco 23 juillet 2018 20:18

    Si par "spiritualité" vous permettez que l’on assimile le concept d’Esprit, lequel se rattache à la conscience dans les neurosciences, alors, le dialogue scientifique est non seulement possible, mais a déjà eu lieu. Par exemple, les travaux du Prix Nobel de médecine, John C. Eccles. Il a écrit un livre à ce sujet qui s’intitule : "Comment la conscience contrôle le cerveau" (Fayard). 


    Dans la tradition des neurosciences, le "corps", c’est le système nerveux central, et "l’esprit", c’est la conscience..

    Evidemment ces travaux sont maintenant jugés dépassés (à tort ou à raison), par ceux de Gérald Edelmann et Jean Pierre Changeux, eux aussi Prix Nobel, mais aussi par Lionel Naccache.

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