A l’aide d’un idéateur expérimental, je m’amuse à trouver les motivations racialistes et ethnocentristes de ceux qui prétendent exprimer des opinions politiques, mais qui ont une sainte phobie de toute ingénierie sociale et de toute délibération réelle.
J’ajoute que dans ce débat, Bourdieu n’est pas la vedette, et qu’il n’est pas dans son élément, et que effectivement, il est acculé par la situation à ne sembler dire que des choses banales... et une carrément fausse.
Dans "ce que parler veut dire" il y a tous les articles les plus importants de l’articulation que propose Bourdieu.
Si quelqu’un ne veut faire l’effort de lire 10 pages de Bourdieu, ce qui m’étonnerait fort, il peut aller à la FNAC (si ça existe encore) et lire le petit chapitre titré "l’identité et la représentation" (que l’on trouve aussi dans "langage et pouvoir symbolique".
Une fois déniaisé, qu’il retourne écouter les coprophages...
C’est sûr que quand on a un Q.I qui ne nous permet que de collectionner des objets morts (histoire) et de faire de la ventriloquie de ses pulsions animales tribalistes et réactionaires, on voit la réflexivité de Bourdieu comme un hamster voit un ordinateur (un chauffage pas très puissant)
Pauvre ratapopulo qui préfère fantasmer sur le malheur de ses ennemis imaginaires, que de s’intéresser à la réalité telle qu’elle est.
Je ne connais aucun décroissant, et encore moins malthusien qui soit contre la technologie.
Par définition, c’est le contraire.
En général, ce sont les spoliateurs qui véhiculent l’idée que si on ne les laissent pas posséder et exploiter les moyens de production pour leur propre bénéfice d’abord, c’est que l’on veut revenir à la lampe à huile. C’est marrant de voir que cette dichotomie débile, comme toute les dichotomies imaginaires puisse attirer des gens ayant d’autres motivations, comme la merde, les mouches.