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  • 3 votes
    rikoder 29 juillet 2013 13:29

    "Manifestement, tu n’a pas regard. le documentaire en entier. Aucun humain ne peut faire certains crops en quelques heures..."
    .
    LOL, bienvenue dans le panthéon de la connerie.



  • 2 votes
    rikoder 26 juillet 2013 10:05

    Booba n’est pas incompris.
    Il a importé violemment (en traduisant principalement - franchement pas dur) les textes US.
    Booba est un leader du Rap Game et donc contributeurs principal de la tartufferie du Rap français.

    du Rap engagé venu d’en bas et qui dit les vraies choses ?

    Lucio Bukowski (Oster Lapwasse) des lyonnais -> https://www.youtube.com/results?search_query=lucio+bukowski+oster+lapwass

    Nidraj (parigo pote de potes) -> https://www.youtube.com/watch?v=l5rc_OmblMQ&nbsp ;&nbsp ; https://www.youtube.com/watch?v=uz8QHc-HPfE

    Il y a des belges qui déchir(ai)ent -> https://www.youtube.com/watch?v=ViVAeMAseTk



  • 2 votes
    rikoder 19 juillet 2013 15:18

    "Et si le Moïse historique n’était autre que le Capitaine Haddock ?"
    .
    Quand est ce que Kind Raccoon nous fera une vidéo dessus pour dénoncer tout ça ? 
    J’ai hâte.



  • vote
    rikoder 8 juillet 2013 21:44

    "Je ne suis pas sûr que cela soit le sens du mot savoir selon cette vidéo."
    .
    Au premier abord, oui, en effet, mais celui qui voit via le sacré (foi) *selon les propos* du Rav n’est donc plus un croyant, il devient donc un sachant (puisqu’il ouvre le placard pour voir)
    Ce même sachant se sert donc du savoir (réel) pour alimenter sa foi : le sacré laisse donc place au savoir.
    Ca n’a donc plus rien de sacré, c’est le sens que j’attribue au "savoir" dans mon premier commentaire.



  • vote
    rikoder 8 juillet 2013 20:13

    Enfin quelque chose d’intéressant.
    .
    Je te rejoins sur ce dernier commentaire, en partie, et surtout dans sa superficialité. Dans sa profondeur plus subtile, alors nous divergeons.
    .
    "Le savoir tel que tu le décris ne libère pas."
    .
    Quelle description ? Définis ta notion de libération du savoir. Pourquoi sembles tu penser que le savoir devrait libérer (de quoi, de la religion ?) ? Ce n’est pas son rôle fondamental mais il peut compléter la religion si et seulement si le sacré devient une notion individuelle et non un mode de vie communautaire.
    Savoir et sacré se complémentent. Leur proportion sera inversée : moins de sacré (si ce n’est à l’échelle individuelle) et plus de savoir (avancée logique de notre civilisation).
    Pourquoi le savoir devrait il libérer ? Les croyants se sentent ils le besoin de savoir pour se libérer ?
    .
    " Il te fait juste passer d’une aliénation naturelle à une aliénation artificielle"
    .
    Absurdité sémantique, la conscience est par essence une aliénation.
    Tu sembles suggérer qu’une conscience peut se passer de sacré, c’est faux, il en va de même pour le savoir.
    Une conscience ne peut donc être "naturelle" ou "artificielle", elle est une somme dispropotionnée des deux, la majeure dépend de l’éducation et des convictions de l’individu donc de son expérience.
    .
    " la connaissance peut-être aussi dogmatique que le fait religieux"
    .
    C’est un cas particulier, en effet, le savoir a le potentiel d’être dogmatique si et seulement s’il est lui même fallacieux et subversif (donc reposant sur un modèle erroné).
    Le vrai savoir, donc le modèle le plus fidèle d’un système, n’a rien de dogmatique, tu me le concèderas volontiers.
    De plus, par essence, le sacré est dogmatique et il n’y a aucun cas particulier dans le sacré qui peut se passer du dit dogme.
    Hors, ce n’est pas le cas pour le savoir, absolumment pas (je sais que ma voiture démarrera demain matin, je ne crois pas, même si elle peut potentiellement ne pas démarrer, je sais qu’elle démarrera).
    .
    Un savoir dogmatique au niveau sémantique est un oxymore : on parle de savoir dogmatique pour des gens qui pensent avoir prouvé que les ET sont venus sur Terre cette année, pour des cons superficiels.
    On ne peut parler de dogmes du savoir à l’échelle de toute une civilisation, à moins que celle ci ne soit sous "peutri".
    Parler donc à notre échelle de la conversation de dogme(s) de la connaissance n’a pas de sens puisque ce soit disant dogme à une influence réelle, quantifiable dans ma vie de tous les jours, ce n’est donc pas un dogme (i.e. insert car analogy)
    Un "savoir dogmatique" est une pirouette sémantique qui n’a aucune application dans le réel si ce n’est la croyance d’un savoir, illusion parfaite derrière laquelle se cache le sacré (ou du moins le sacré de la conscience qui produit un tel raisonnement).
    .
    Finalement, accoudé au zinc, je te rejoins volontiers, mais je diverge vigoureusement s’il s’agit de s’attabler.
    .

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