Fantômette contre Jean Robin

@juanyves

Ca se discute. L’affrontement Conservateurs/gens normaux/enracinés contre Démocrates/tarés communautaristes, anti-humanistes asexués/consommateurs mondialisés messianiques ressemble aux Etats-Unis à une bonne petite guerre civile comme ils en ont déjà connu et il n’est pas sûr que les premiers soient vaincus. L’issue de cette guerre déterminera certes la marche du monde "occidental" par la suite.

"Collapsologie" maintenant... ce milieu d’incultes "nationalistes" me sidère. Soit ils sont en ménage avec une étrangère, soit baragouinent le franglais apprécié des jeunes consommateurs asexués, soit encore portent carrément un prénom ricain (Mike, Christopher). Pour le français simple et correct (des alarmistes professionnels, des catastrophistes, des bonimenteurs et autres chamanistes), on repassera.

@rinbeau

Pipeau-rinbeau mal écrit qui enterre Jaurès... n’inverse pas les rôles, la gauchiasse, c’est toi et tes congénères déconstruits barbouillant des inepties. 

@zzz999

J’ai découvert ce type, en effet, très intéressant. Il est loin d’être le seul à lutter contre cette idéologie décadente mortifère qui peut s’apparenter à de la misogynie pure ; aucun foutu monstroplante mâle n’est capable de définir ce qu’est une femme simplement parce qu’eux sont femmes nominalement... ils répètent à l’envi qu’ils le sont et on leur répète sans cesse également ; c’est une forme de psychose sociale. Ils se répètent sans arrêt que deux et deux font cinq... et prennent le nom pour la chose. Mais par-dessous, il y a aussi une haine profonde du sexe féminin, déjà présente chez les homosexuels, plus ou moins. 

Ce délire total anti-réel concerne également certaines femmes obèses qui se croient non seulement attirantes mais aussi... anorexiques. Je fais le lien encore avec les réactions hystériques des militants démocrates en 2016 : le ciel leur tombait sur la tête à ces pauvres attardés. Nous vivons depuis quelque temps le triomphe des tarés non-élevés, non-instruits, hyper-susceptibles et hyper-idéalistes à la fois, enfants attardés super-gâtés n’ayant jamais connu la contrainte, ni en "famille" (père absent, faible ou remplacé) ni à l’école. Leur mentalité est pétrie de peurs enfantines imaginaires. 

Je précise que les Américains réagissent déjà à cet extrémisme anti-humaniste et anti-féminin ; plusieurs Etats ont banni l’accès des monstroplantes mâles aux compétitions sportives féminines : voir par exemple le cas du nageur Lia Thomas, nul parmi les hommes, toujours premier devant les nageuses. La Chambre des Représentants elle-même l’a fait ; de façon absolument sectaire et aveugle, tous les Démocrates ont voté contre mais ils sont désormais en minorité. Que le féminisme en cinquante ans soit passé du droit des femmes aux droits de monstroplantes mâles à venir annuler tout effort féminin dans leurs propres compétitions ou à écrabouiller une gonzesse sur un ring (Alana MacLaughlin, né homme), en dit long sur la capacité de la gauche à se trahir, à fondamentalement s’auto-détruire.

@nono le simplet

Le servage en France depuis longtemps n’existait plus ; la condition de serf n’est pas non plus comparable à celle de l’esclave antique. Les serfs pouvaient se marier, fonder une famille. Moyennant taxe, ils peuvent transmettre la terre (tenure) qu’ils ont reçue du seigneur. Les libres étaient moins imposés, avaient plus grande mobilité, et théoriquement pouvaient seuls ester. Mais l’essor des villes, de la bourgeoisie ainsi que la naissance d’une classe de paysans aisée entre le XIe et le XIIIe siècle bouleversèrent, en partie, l’ordre social. "Aux XI-XIIIe s., on recense par exemple une vingtaine de nouveaux marchés en Saintonge et une soixantaine en Toulousain..." 

"Cependant, les recherches récentes tendent à montrer que, dès le Xe siècle, d’une part la distinction entre serfs (servi) et libres (liberi) ne représente pas une césure fondamentale, et d’autre part que l’existence de fortes communautés de paysans libres et maîtres de leur terre semble limitée à quelques contextes très particuliers." Histoire de France, dir. Joël Cornette (tome : "Féodalités")

Il n’y avait pas recoupement des conditions et des statuts : des serfs par exemple exercent "une fonction ministériale (intendant, tonloyer, meunier) indispensable au fonctionnement de la seigneurie." — "une situation assez fréquente dans les seigneuries épiscopales et monastiques."

De quoi donner du grain à moudre aux neuneux nés un 14 juillet, boumeurs simplets et autres kikoules républicains analphabètes.