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Serge ULESKI

Serge ULESKI

Aujourd’hui, si nous ne sommes sûrs de rien ni de personne, c’est que nous sommes infiniment plus nombreux qu’hier à chercher à savoir ; et plus nous serons nombreux à trouver et moins les évidences auxquelles il nous a si longtemps été demandé d’adhérer s’imposeront à notre esprit.
Ainsi va la recherche ! Vers un savoir de plus en plus complexe mais sans surprise car, ce savoir doublé d’une compréhension dévastatrice nous renverra fatalement à ce que nous sommes aussi - d’aucuns ajouteront -, et surtout : à cette nature en trompe l’oeil, dissimulatrice, accapareuse et rétentrice qu’est la nôtre.
Porteuse de tous les dangers, cette recherche expansionniste toujours plus performante et exigeante : le danger de nous laisser sans évidences et sans certitudes.
Du grain à moudre pour la réflexion et l'écriture... ce danger !
Nul doute !

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2013
  • Modérateur depuis le 13/04/2013
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 28 avril 2018 20:12
    Le grand mérite de cet humoriste-activiste c’est d’avoir compris que le succès et l’argent ça ne sert pas à acheter une Ferrari ; la liberté que procure le succès, l’argent et l’indépendance financière, ça sert à dire la vérité ....



  • 7 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 26 avril 2018 07:48

    @ezechiel

    Si je comprends bien c’est aussi déshonorant de participer au rassemblement de l’UOIF - d’y être inviter en tant que conférencier - que d’aller au dîner du CRIF !

    Ca me va. 

    Dans le cas contraire, votre commentaire n’est qu’une tentative d’amalgame destiné à brouiller le message de mon post qui rappelle qu’il y a bien quelque chose de pourri sous le ciel d’Israël car il semblerait bien que ce soient les voyous qui dictent sa conduite. 



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 25 avril 2018 10:25

    Pascal Boniface insulté et bousculé à l’aéroport de Tel-Aviv,dans l’indifférence générale ! Décidément, il y a bien quelque chose de pourri sous le ciel israélien et plus grand-chose à sauver non plus.

           Ici en France, pas un commentaire, aucune prise de parole individuelle, pas un mot pour dénoncer cette agression délibérée : seul un compte-rendu dans le pure style d’une dépêche de l’AFP est privilégié : ni dénonciation, ni solidarité, ni compassion.

    Là, force est de constater qu’il ne s’agit plus simplement d’un "deux-poids-deux-mensures" d’un cynisme consommé mais bien plutôt d’un désir punitif qui a pour arme "le silence" ; un silence qui en dit long : "Boniface ne méritait pas mieux !" Voilà ce qui nous est hurlé ! Punition que l’on réserve à tous ceux qui disent la vérité à propos de ce qu’il nous faut bien nous résoudre à appeler "Israël en France" - sionisme et chantage à l’antisémitisme -, de Dieudonné en 2003 (ceux qui ont cru pouvoir en réchapper en restant indifférent au sort de cet humoriste dans les mois qui ont suivi son sketch sur France 3, en seront pour leurs frais !), à Pascal Boniface en 2018, sans oublier ces milliers d’anonymes dont les carrières ont été brisées : universitaires, hommes et femmes politiques, journalistes et artistes. La France n’a plus rien à envier au maccarthysme des années 50 (aux USA) : après la chasse aux communistes, la chasse à tous ceux qui refusent de se taire à propos de cet "Israël en France" et de ses officines (CRIF, UEJF) est ouverte.

          Tous les amoureux de la liberté d’opinion doivent se faire entendre sans hésiter et sans tarder.




  • 4 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 4 mars 2018 20:45

    Un bon journaliste c’est un journaliste au chômage ou bien un journaliste à la tête de son propre média au service d’une information honnête, avisée et qui se fait l’écho de tout ce qui est pensé sur un sujet donné : ce qu’on appelle "un journalisme de toutes les intelligences et opinions". 

     

    On appellera de nos voeux une presse qui nous présentera tout ce qui se pense sur un sujet en particulier et pas simplement ce que la rédaction du journal souhaite donner à penser à ses lecteurs.

     

    Car à bien y réfléchir, les journaux indépendants financièrement ou pas (après tout, le groupe médias Lagardère est lui aussi financièrement indépendant), sont libres de tout sauf de l’opinion de ceux qui les dirigent, lesquels sont à l’origine de tous les choix éditoriaux qui sont faits. Or, des choix éditoriaux n’ont jamais fait avancer l’information quelle qu’elle soit sur quelque sujet que ce soit car, si un journal peut être libre, il ne l’est sûrement pas de sa propre propagande – choix par avance biaisé donc parce qu’en faveur d’une information aux couleurs du drapeau de la rédaction du journal.

     

    L’avenir n’est pas à « une information libre » qui n’est qu’un slogan… non, l’avenir est bien à toute l’information disponible sur un sujet donné ; une information qui, à un instant T, reprendrait toutes les analyses produites. Et cet avenir-là, qu’on le veuille ou non, souhaitable ou pas, c’est Internet et son temps réel qui l’a déjà sculptée et rendue quasiment inévitable.



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er mars 2018 10:55

    @Hieronymus

    C’est précisément ce que j’écris à propos de Lacroix Riz : qu’on ne pourrait pas lui faire confiance à propos de l’histoire du PCF et de la Révolution russe. D’où ma conclusion : nous avons besoin de l’amnésie de tous les historiens car il n’y a plus tête en l’air qu’un historien ; et l’Histoire c’est la guerre.

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