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Soi même

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    Soi même 22 octobre 2013 09:28

    @ Andromede95  voici des photos donc visiblement vous n’avez aucune explication crédible :

    https://www.google.fr/search?q=metal+fondu&tbm=isch&tbs=simg:CAQSZRpjCxCo1NgEGgIIAwwLELCMpwgaPAo6CAESFKUD7AavA7kD7QbuBuUD5gO3A7UDGi DF-YZEn3elVuk4ivWYl6Rjm3AUm3WVeLGYC49XabRjlwwLEI6u_1ggaCgoICAESBHqcsZ4M&sa=X&ei=CiZmUs-GLYOc0QXkyYDgDw&ved=0CCgQwg4oAA&biw=960&bih=617

    https://www.google.fr/search?tbs=simg:CAESShpICxCwjKcIGiwKKggBEgTUBNUEGiD1d1WDB6SAJtZ4WPV3mcdxZgqE9dZww0f5KW 9mq2irmAwLEI6u_1ggaCgoICAESBGel8OoM&q=molten+metal+wtc&tbm=isch&sa=X&ei=SidmUqC4M4SL0AW03YGQAg&ved=0CDUQsw4&biw=960&bih=617


    « 1. Le métal fondu : s’écoulant et en flaques
     

    Plusieurs publications font état d’observation de métal fondu dans les sous-sols de chacun des trois bâtiments (les Tours Jumelles et le WTC 7). Par exemple, le Dr. Keith Eaton qui a visité Ground Zéro a déclaré dans The Structural Engineer :

    "On nous a montré de nombreuses diapositives fascinantes, allant du métal fondu, encore rouge de chaleur des semaines après l’événement, jusqu’à des plaques d’acier de 10 centimètres d’épaisseur sectionnées et pliées dans le désastre." (The Structural Engineer, du 3 septembre 2002, p. 6)

    L’existence de métal fondu à Ground Zéro a été rapportée par plusieurs observateurs (voir la première photographie ci-dessus), y compris par Greg Fuchek :

    Six mois après le 11 septembre, la température au sol variait de 315 à 815 °C, parfois plus. " Dans les premières semaines, quand un ouvrier dégageait une poutrelle d’acier des décombres, il arrivait que de l’acier fondu s’égoutte de son extrémité", a dit Fuchek. (Walsh, 2002)
    Sarah Atlas, de la Task Force One Urban Search and Rescue du New Jersey, a été l’une des premières sur les lieux, à Ground Zéro, avec Anna, son auxiliaire canin. En été 2002, elle rapporta ceci dans Penn Arts and Sciences :
    "Nulle âme qui vive". Les feux brûlaient et de l’acier fondu coulait dans les tas de ruines, se reformant toujours sous ses pieds. (Penn, 2002.)

    Notez que du métal fondu (sans doute pas seulement de l’acier ; voir l’étude ci-après) s’écoulait de bonne heure dans les décombres. Cela n’a donc rien à voir avec les flaques de métal fondu formées par des incendies souterrains après les effondrements.

    Une vidéo fournit un témoignage oculaire supplémentaire en ce qui concerne ce métal extrêmement chaud à Ground Zéro :
    http://plaguepuppy.net/.../red_hot_ground_zéro_low_quality.wmv

    L’observateur note que la surface du métal est encore rougeâtre-orangée six semaines environ après le 11 septembre. Cela implique une grande quantité de métal à conductivité thermique assez basse et à capacité calorique relativement grande (c’est plutôt du fer que de l’aluminium) même dans un endroit souterrain. Comme le magma dans un cône volcanique, le métal peut rester chaud et fondu pendant longtemps - une fois que le métal est suffisamment chaud pour fondre en grande quantité et maintenu ensuite dans un endroit souterrain suffisamment isolé. De plus, comme supposé ci-dessous, les réactions du thermite peuvent bien avoir été la cause des quantités importantes (observées dans les flaques) de fer fondu à très haute température - au début au-dessus de 2.000°C. A ces températures, divers matériaux entraînés dans les flaques de métal fondu continueront à subir des réactions exothermiques qui tendront à maintenir les flaques chaudes pendant des semaines malgré des pertes en radiation et en conduction. Toutes les charges de découpe à base de thermite non mises à feu pendant l’effondrement contribueront aussi au chauffage prolongé.
    Ainsi, du métal fondu a été remarqué à plusieurs reprises et formellement signalé dans les décombres des Tours Jumelles et du WTC 7, métal qui ressemblait à de l’acier fondu, ou peut-être à du fer. Une analyse scientifique serait nécessaire pour établir de manière concluante sa composition précise.
    Je soutiens que ces observations sont compatibles avec l’utilisation de charges de découpe à haute température comme le thermite, le HMX ou le RDX, ou quelques combinaisons de ces produits, communément utilisés pour fondre/découper/détruire l’acier. Le thermite est un mélange d’oxyde de fer et de poudre d’aluminium. Les produits finaux de la réaction du thermite sont l’oxyde d’aluminium et le fer fondu. Ainsi, la réaction du thermite produit directement du fer fondu, et sa chaleur est suffisante pour faire fondre et même faire s’évaporer de l’acier entré en contact avec lui pendant la réaction. Voici l’équation de la réaction du thermite pour un mélange typique de poudre d’aluminium et de poudre d’oxyde de fer :


    2Al + Fe2O3 = Al2O3 + 2Fe (fer fondu), D H = - 853,5 kJ/mole. (ce site)

    D’autre part, la chute de bâtiments (sans produit incendiaire comme le thermite) produit une énergie cinétique insuffisante pour faire fondre de grandes quantités de métal ; les particules de métal fondu formées d’une manière ou d’une autre pendant l’effondrement ne se rassembleront pas en flaques de métal en fusion ! La table suivante fournit des données sur les températures de fusion du plomb, de l’aluminium, de l’acier de construction et du fer, avec les températures approximatives du métal en fonction de sa couleur. Notez que la température approximative d’un métal chaud est indiquée par sa couleur, tout à fait indépendamment de sa composition. (Une exception notable est l’aluminium liquide en train de s’écouler. A cause de son indice d’émission bas et de son indice de réflexion élevé, il semble gris-argenté à la lumière du jour après avoir coulé d’un ou deux mètres à l’air libre, indépendamment de la température atteinte par l’aluminium ruisselant du bâtiment. L’aluminium devient incandescent comme les autres métaux, mais faiblement, de sorte que dans l’air, à la lumière du jour, il semble gris-argenté selon des expériences faites à BYU. [Jones, 2006])
    Le thermite contenant son propre approvisionnement en oxygène, la réaction ne peut être étouffée, même avec de l’eau. L’usage de soufre associé au thermite, par exemple dans le thermate, va accélérer l’effet destructeur sur l’acier ; et, de fait, la sulfidation de l’acier de construction a été remarquée sur quelques-uns des rares éléments retrouvés dans les ruines du WTC, comme signalé dans l’annexe C du rapport de la FEMA. (FEMA, 2002  ; voir aussi
    Les rapports du gouvernement admettent que les incendies des bâtiments étaient insuffisants pour faire fondre les poutres en acier - alors d’où viennent les flaques de métal fondu ? Le Dr. Frank Gayle, un expert en métaux travaillant avec le NIST, a déclaré :

    Instinctivement, vous penserez que c’est le kérosène qui a provoqué un incendie aussi intense, et beaucoup de gens se sont figuré que c’est ce qui a fait fondre l’acier. En réalité, cela n’a pas été le cas, l’acier n’a pas fondu.
    (Field, 2005.)

    Aucun rapport officiel n’aborde le mystère des flaques de métal fondu. Pourtant, c’est manifestement un indice important de ce qui a causé l’effondrement des Tours et du WTC 7. Par conséquent, une analyse de la composition du métal déjà fondu, analyse conduite par un groupe scientifique qualifié, est requise. Cela pourrait bien devenir une expérience cruciale.
     
    Le Pr. Thomas Eagar expliquait en 2001 que les incendies du WTC n’auraient pas pu faire fondre l’acier :

    " Dans l’effondrement du WTC, le plus grand malentendu concerne le feu. Même aujourd’hui, les médias rapportent que l’acier a fondu (et beaucoup de scientifiques le croient). Il est dit que le kérosène brûle à très haute température, surtout en présence d’autant de carburant. Ce n’est pas vrai…. La température des incendies au WTC n’était pas exceptionnelle, elle n’était certainement pas capable de faire fondre l’acier.
    En science des combustions, il y a trois types élémentaires de flammes : le jet de feu, la flamme pré-mélangée et la flamme diffuse…. Dans une flamme diffuse, le carburant et l’oxydant ne sont pas mélangés avant l’allumage, mais circulent ensemble de manière incontrôlée et brûlent quand la proportion carburant / oxydant atteint une valeur permettant l’inflammation. Une cheminée est une flamme diffuse brûlant dans l’air, comme l’était le feu du WTC. Des trois types de flammes, ce sont les flammes diffuses qui produisent les plus basses intensités de températures. La température maximale atteinte par les flammes d’hydrocarbures (kérosène) brûlant dans l’air est d’environ 1000°C - sûrement pas suffisant pour faire fondre l’acier à 1500°C. "
    " Mais il est très difficile d’atteindre cette température maximale avec une flamme diffuse. Rien n’assure que le carburant et l’air, dans une flamme diffuse, soient mélangés dans les meilleures proportions… Voilà pourquoi les températures d’incendies résidentiels sont en général dans la gamme des 500 à 650 °C [Cote, 1992]. Il est reconnu que le feu du WTC était une flamme diffuse riche en carburant comme le démontrait l’abondante fumée noire…. Il est reconnu que l’acier de construction commence à se ramollir autour de 425°C et perd environ la moitié de sa solidité à 650°C [Cote, 1992]. C’est pourquoi on l’assouplit dans cette gamme de températures. Mais même une perte de 50% de sa solidité est toujours insuffisante, en elle-même, pour expliquer l’effondrement du WTC… Le WTC, en ce jour de faible vent, n’a probablement pas été soumis à une contrainte supérieure au tiers de celle permise par sa conception… Même avec sa solidité réduite de moitié, l’acier pourrait supporter encore deux à trois fois les contraintes imposées par un feu de 650°C. " (Eagar et Musso, 2001.)

    Nous reviendrons plus tard sur la question des contraintes induites par le feu et sur l’effondrement du WTC.
    Même sans une analyse directe des éléments, nous pouvons éliminer quelques métaux sur la base des données disponibles. La photographie présentée en introduction montre l’extraction d’un morceau de métal chaud de Ground Zéro. La partie inférieure, qui était la plus profondément enfouie dans les scories, est la plus chaude, et le métal apparaît de teinte jaune-vif, certainement au-dessus du rouge-cerise vif.. »

    http://i662.photobucket.com/albums/uu347/911conspiracytv/GZ_4144_fema-resized_molten-metal-on-beam.jpg

    Vous aurrais bien du mal à explique que ce sont les ferronniers qui sont à l’origine de cela , car il devrait apparaître une coupe fraîche du métal ,

    http://i662.photobucket.com/albums/uu347/911conspiracytv/GZ_4144_fema-resized_molten-metal-on-beam.jpg



  • vote
    Soi même 21 octobre 2013 22:16

    le pont d’Arcorle .



  • vote
    Soi même 21 octobre 2013 22:15

    Où lala , Valls se prend pour Bonaparte sur le pont d’Acorle .
    Je ne sais, si j’ai un pote qui ne fait les poches, je l’ appellerais ami ?



  • 7 votes
    Soi même 21 octobre 2013 21:50

    Visiblement Latigeur essaye d’imité mono, c’est raté, il ne parait plus âne que l’autre. !
     



  • vote
    Soi même 21 octobre 2013 21:46

    Je crois depuis cette affaire, il vole en rase- motte, !

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