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Soi même

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    Soi même 1er novembre 2013 22:58

    @ Gaspard Delanuit, merci pour votre remarque, en même temps c’est idée doit faire son chemin auprès des hommes.
    Le fait d’en parler amènera tout où tard comme étant une alternative crédible à dépasser cette dualité mortifère qui s’empare du monde .

    Le véritable combat n’est pas de gagné sur les autres , c’est que tous ensembles nous ressentons la nécessité que notre destin nous appartiens et pour qu’il nous appartiens nous devons apporté de la clarté dans les institutions et les relations humaines.

    Il se pourrait que les hommes non pas encore assez souffert, pour reconnaître le bien fondé de ses implusions.



  • 1 vote
    Soi même 1er novembre 2013 18:06
    Qu’est-ce que la tri-articulation sociale ?

    La triarticulation sociale considère Culture, Economie et Etat comme trois principes autonomes ayant chacun leur propre logique. Plutôt que de vouloir redonner à l’Etat sa toute-puissance, la triarticulation sociale encourage toute tentative d’autogestion dans le domaine culturel et économique, pourvu que l’économie ne prenne pas la succession de l’Etat sous la forme d’un nouveau totalitarisme.

    On peut parler d’un principe de non-ingérence. Mais les acteurs ne sont plus les mêmes. Il ne s’agit plus d’un respect entre Etats, mais du respect réciproque entre culture, économie et état. Les frontières nationales perdent en importance. Culture et économie se donnent leurs propres frontières, sans se tenir à celles des Etats. La culture gagne en individualité ce que l’économie gagne en globalité.

    La culture au sens large, c’est-à-dire l’éducation y compris, gagne à être libre, pas d’une quelconque liberté nationale, mais d’une liberté individuelle. L’individu est bien sûr libre de choisir un groupe. Mais il doit aussi pouvoir choisir de n’appartenir à aucun groupe, de ne pas se tenir aux lignes de démarcations entre cultures. Chacun de nous est une minorité.

    A défaut d’être équitables, les prix n’ont de mondial que leur irresponsabilité. Compter sur le hasard du marché, c’est se tromper ou tromper l’autre. Pour éviter qu’il y ait des perdants, il faudrait commencer par s’associer de manière à avoir ensemble toutes les données nécessaires. La globalisation cesserait d’être un problème pour devenir le moyen d’une solidarité mondiale. Chacun de nous est l’humanité.

    Mises à part la culture et l’économie, il reste les questions démocratiques, où l’opinion de chacun de nous à le même poids que celle de l’autre. C’est le cas en particulier de la sécurité des travailleurs et consommateurs, ainsi que d’autres questions ayant trait à la sécurité. Le principe de la majorité a cependant ses limites. Ne pas en tenir compte incite soit à totaliser l’Etat, soit à le manipuler au profit d’intérêts économiques ou culturels. Ce refus d’une triarticulation sociale est à l’origine des dernières guerres.

    http://www.triarticulation.org/



  • vote
    Soi même 1er novembre 2013 15:08

    La question c’est le lien de vassalité de la politique à l’économie qui est la source de cette décomposition de nos sociétés qui oppresse la société civile, et tant qu’il n’aura pas une coupe franche entre la politique et l’économie on n’aura qu’un ersatz de société humaine.

    La décadence d’une société vient toujours quand elle veut resté sur un schémas de société connus et refuse que la forme qu’elle veut perpétuer ne correspond plus à l’enjeu que la société doit évoluer dans des nouvelle forme .

    Sans arrêt on nous rabâche les oreilles entre le clivage d’une société qui doit soit être Libéral où Communisme Socialiste, et personne mis ne veux, mis fait l’effort de comprendre que c’est une société trinitaire qui devrait émerger.

    Et il est vrai tant qu’il aura une chape de plomb sur le sujet, il n’aura rien de fructifère pour notre avenir !

    Et aura autant de d’intelutueux pour faire l’historique de notre décrépitude, et sortira de leurs chapeaux de miraculeuses contactions que des théories morts nées.



  • 1 vote
    Soi même 1er novembre 2013 14:40

    Ce n’est pas le problème de l’éolien qui est poser en réaliser, mais bien se profit éhonté sur l’ ersatz de la production industriel qui a fait le choix de l’obsolescence programmer.

    En se sens la politique philosophie de l’État est en responsable, car si d’un cote elle propose un crédit d’un impôt conséquent, de l’autre elle rechigne en amont à contrôler se qui est mis sur le marché.

    A se petit jeu, je donne pas cher à la pérennité de l’État dans l’avenir.



  • 8 votes
    Soi même 29 octobre 2013 11:10

    Giulietto Chiesa a bien résumer les véritables enjeux de ses opérations, c’est une opération de contrôle qui permet au cas où un haut dirigeant européen ne joue plus le jeux où qu’il est une vélite d’indépendance, d’être remit sur le droit chemin par des moyens approprier coercitifs, de pression, de chantage, où de monter de toute pièce une cabale qui ruinerait définitivement sa réputation et mettrait fin à sa carrière définitivement.

    le dossier sur L’enquête de l’UE sur Echelon est un bon exemple :

    http://strategique.free.fr/archives/textes/ech/archives_ech_15.htm

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